Agartha. Un désert, où cohabitaient nomades et sédentaires. Cependant l'assèchement progressif des oasis développa la cupidité des sédentaires qui se mirent en guerre les uns contre les autres. Les cités tombèrent une à une devant ce fléau jusqu'à ce qu'il ne reste que 1400. Les nomades quant à eux préférèrent éviter ces conflits en priant leur Divinité de leur accorder un sommeil de deux millénaires. Mais quand ils se réveillèrent, ils furent non seulement confrontés à des citadins beaucoup plus avancés technologiquement mais aussi à une hostilité tangible. Hostilité contre ces nomades ressurgit du passé mais aussi hostilité au sein même de la ville de 1400. Puis une nouvelle guerre éclata : la Révolution. Est venu à nouveau le temps du choix : se battre ou partir ? Ainsi naquit l’Exode, un mouvement rassemblant nomades et citoyens souhaitant fuir la guerre en partant par-delà les montagnes vers un territoire glacé où vit un peuple étrange.

Lorsque le passé et le futur se rencontrent...

Le Deal du moment :
Xiaomi Mi Smart Camera 2K Standard Edition (design ...
Voir le deal
11.39 €

    Ce que vous faites c'est du tapage sur voie publique! [feat Maxine]

    Nour Mu'Zineb
    Nour Mu'Zineb

    Fille du Serpent
    Messages : 408
    Age : 27
    Date d'inscription : 24/10/2014
    Nour Mu'Zineb

    Nour Mu'Zineb
    Nour Mu'Zineb
    Fille du Serpent
    Just dance!

    Aloïs était plaqué contre le mur d'un bâtiment, genou au sol. Personne à bâbord, personne à tribord. La voie était libre. Aloïs se remit vivement sur ses pieds et s’épousseta dignement. L'air de rien, il rejoignit la grande rue pleine de passants, ne prêtant aucune attention aux regards qui le suivait.

    Il avançait d'un pas nonchalant, balayant la foule d'un regard impassible. Où était les beaux garçons quand on avait besoin d'eux? Pas qu'il ait vraiment besoin d'eux mais bon...Pour une fois qu'il avait du temps libre...Bon d'accord il avait toujours du temps libre. Le temps libre était sa vie entière. Mais aujourd'hui était un bon jour, car aujourd'hui avait bien commencé. Dès son levé il avait annoncé à son équipage qu'il avait eut un rêve prémonitoire. Selon sa vision, les maléfiques Cyberbirds leur avaient lancé une malédiction et la seule façon de s'en débarrasser était de faire la danse du ventre sur la place du marché. Les moussaillons ne pouvant supporter une telle humiliation avaient tout fait pour l'arrêter et il s'ensuivit une splendide partie de cache-cache. Aloïs, ou plutôt Capitaine Chapel, venait tout juste d'échapper à ses poursuivants.

    Des vociférations captèrent son attention et il repéra un duo d'hommes baraqués se hurlant dessus. Les yeux remplis d'étoiles, Aloïs bondit vers la dispute. Il s'assit sur un tonneau qui passait par là, croisa les jambes magistralement et dégaina un paquet de popcorn. Il se mit à mâchouiller en regardant le conflit les yeux brillants. Lorsque le premier coup de poing parti, Aloïs donna un grand cri d'encouragement.

    "Bien joué! Mets-en une à droite maintenant!"

    Passant un bras autour des épaules d'un innocent passant, il l'attrapa et le força à regarder le 'match' avec lui. Entre deux encouragements, le jeune homme tentait de convaincre le pauvre homme de parier avec lui mais cela resta sans résultats. Aloïs en fut un peu déçu mais sa déception fut vite oubliée lorsqu'un ours en peluche géant portant un panier de bonbons passa à proximité. Aloïs abandonna promptement sa victime et le combat pour courir après l'ours géant.

    Il ne mit pas longtemps à lui mettre la main dessus et passa dix bonnes minutes à choisir les confiseries qu'il voulait manger. Lorsque l'ours dut partir il balaya son bras d'un côté puis de l'autre en guise de 'au revoir', sa bouche étant déjà pleine de bonbons. Une fois qu'il se fut empiffré, le jeune Capitaine reprit ses déambulations.

    Le jeune homme sourit avec satisfaction. Quelle belle journée! Soudainement il bondit gracieusement en avant, atterrissant sur la pointe de son pied. Puis pliant sa deuxième jambe et joignant ses bras tendu au dessus de sa tête, il effectua une parfaite pirouette de danse classique. Il finit sa pirouette en tendant une jambe derrière lui et ses bras de chaque côté, le visage radieux et les yeux pleins d'étoiles.

    "Euh, excusez-moi...Vous avez fait tomber votre porte-feuille..." dit une voix derrière lui.

    Une petite goutte de sueur perla sur sa tempe mais son sourire ne faillit pas. Il fit une pirouette pour faire face à son interlocuteur.

    "Merci bien, gente dame. Vous venez de me sortir d'un mauvais pas." annonça-t-il majestueusement en reprenant possession de son porte-feuille.
    Code by Frosty Blue



    HRP:
    Maxine Frayer
    Maxine Frayer

    Citadine
    Arme : Deux Katanas
    Messages : 167
    Date d'inscription : 30/06/2014
    Maxine Frayer

    Maxine Frayer
    Maxine Frayer
    Citadine

    « Soirée nomade en famille »
    Une banane sur le visage tu marches tranquillement entre les étals d’un petit marché de 1400 qui proposait de merveilleux produits pour cuisiner de bons plats. Ce soir comme tout les jeudis soir tu fais la cuisine pour tes loulous avec chaque soir une cuisine du monde, tu es plutôt douée en cuisine tu ne le caches pas ! 
    « Ça a l’air bon ça, je vais en prendre… »
    Il fallait que tu suives un certain budget alors il faut que tu fasses attention à ce que tu achètes, que le nécessaire, la cuisine est déjà bien remplie. 
    « Reviens ici sale voleuse ! » 
    Des cris d’enfant en pleurs résonnaient dans ton dos, alors que tu te retournes une petite tête blonde te fonces dessus en même temps manquant de te faire trébucher sous le choc dans tes jambes, tu te retiens et regardes de plus près ce qui t’attrape la jambe. 
    « Que …qu’est ce que… »
    En même temps un homme de forte corpulence, mal rasé, bredonnant, avec des habits tachés lui courrait après. Par réflexe tu lâches tes affaires qui s’éparpillent par terre et prend la petite fille, oui car c’était une petite fille, de 6 ou 7 ans tu penses. La serrant contre toi tu ne comprends pas tout à fait ce qui ce passe mais tu te sens obligée de la protéger. Fixant l’homme qui s’arrête tout essoufflé devant toi tu ne lâches pas la fillette. 
    « M…merciii…ma…made…mademoiselle …foufeee elle court vite cette morpione ! Donnez la moi s’il vous plait…. »
    « Je ne pense pas, ce n'est qu'une enfant ! » 
    Ton ton est sec et presque méprisant, la petite en sanglots dans tes bras tremble comme une feuille, ça se voit qu’elle est terrorisée par cet homme, mais pourquoi il la poursuit ? Surtout en hurlant « sale voleuse »
    « Je peux savoir ce que vous lui voulez ? »
    Toujours aussi sèche, mais gardant ta douceur naturelle, il faut dire que ta petite moue de poupée et tes cheveux roses ne donnent aucunement un signe de danger venant de toi. Tu ne lâches pas le morceau voulant savoir le fin mot de cette histoire blottissant plus la petite fille contre toi pour essayer de la rassurer tant bien que mal. L’homme te fixe d’une façon si surpris que ça en devient bizarre. 
    « Cette gamine ma volé des marchandises ! »
    « Quelles marchandises ? »
    « heu..je…du pain et un morceau de viandes je crois. »
    « Vous croyez ou vous en êtes sûr, faut savoir ? »
    Ton regard été déterminé, tu répons du tac au tac. Vu le regard qu’il te jette ça se voit que tu l’embêtes dans ses démarches suspicieuses sur cette enfant. Regardant une dernière fois l’enfant qui en effet tenait contre elle un morceau de pain et une poche de petits bouts de viande, tu tournes le dos à l’homme lui tendant le reste de l’argent que tu as encore sur toi. Tu as compris que la pauvre petite n’avait pas fait cela par méchanceté mais juste pour se nourrir …. ta bonté te tuera un jour, mais au moins tu ne laisses pas une enfant le ventre vide.
    « Tenez ça couvrira ce qu'elle vous a volé, laissez-la tranquille maintenant ! »

    Voilà un début de journée bien mouvementé, toi qui ne tiens qu'à faire quelque emplettes te retrouve encore avec ton uniforme de militaire. Bref n'ayant plus un sous en poche tu décides donc de rentrer avec juste ce qu'il faut pour cuisiner un repas venu des nomades. Marchant la tête haute mais quand même effacée dans la foule tu rebrousses chemin vers ton appartement non loin quand un envergant croise ton champ de vision dans des pirouettes et des joues aussi gonflées que des hamsters devant des graines de tournesol. Aujourd'hui ils se sont tout donné le mot ou quoi, tu essaies de faire abstraction mais la malchance si on peut appeler ça comme ça te suis une fois de plus. Voulant avancer et le détourner tu écrases quelque chose sous tes pieds. En sautillant par pur réflexe tu reconnais vite un portefeuille en cuir noir. Perplexe tu lèves le regard sur l'homme devant toi qui arbore des poses assez excentriques et .... Gracieuse, ce qui est assez choquant en fait, plus que surprenant. Faire ce genre de choses en public est tout sauf commun pour toi. M'enfin chacun sa vie on va dire. Exaspérée tu ramasses le portefeuille et approche de ce joyeux luron. et lui donne timidement le portefeuille.

    "Merci bien, gente dame. Vous venez de me sortir d'un mauvais pas." Souriant pour faire bonne figure. "Faites plus attention la prochaine fois" Tu décides de continuer ton chemin ne voulant pas être une fois de plus, embarquée dans quelque chose qui ne te concerne pas. Mais sans comprendre un petit groupe de personnes commence à faire barrage devant toi. Au vu de leur regard, ils ne sont pas là pour toi. Mais pour le jeune homme à la dance facile. Déglutissant tu regardes discrètement le jeune homme pour savoir ce qu'il va bien pouvoir faire et tu vois les hommes se séparer pour passer à côté de toi et se diriger directement vers lui. Figée tu comprends vite, n'étant pas si stupide et naïve qu'ils ne sont pas là pour discuter. Frémissant, tu vois l'un des hommes venir à prendre le danseur par le col et sans comprendre ni vraiment réfléchir, tu approches vivement. "Les regroupements de personne sont interdits, et encore plus dans ce que vous comptez entreprendre...." Autant au début de ta phrase tu étais vindicative, autant des lors que celui qui menace cet artiste, enfin tu le penses au vu de ses manières. Ce regard qui te fusille et te menace clairement tu commences à déglutir et devenir hésitante. "Je...Je suis soldat, laissez-le si vous ne voulez pas ...." Tu ne peux pas faire une suite de tes pseudos menace et tu te retrouves nez à nez avec un véritable mur au vu de ta petite taille. Les yeux levés tu le fixes avec un regard de chien battu presque, son sourire montre facilement son assurance face à une brindille comme toi. "N...Nous ne sommes pas obligés d'en arriver aux mains....." Tu sers fortement ton sac de denrée comme une bouée de sauvetage. "Comme c'est mignon, tu vas nous faire quoi? Nous frapper avec tes petits bras?" Fronçant les sourcils tu n'apprécies pas ses insinuations et gonfles les joues comme une enfant. "Faites attention, je ne suis pas aussi menaçante que vous mais je sais me défendre !" Sans le vouloir tu attires les attentions des autres casseurs qui en rigolent de façon assez moqueuse.
    Nour Mu'Zineb
    Nour Mu'Zineb

    Fille du Serpent
    Messages : 408
    Age : 27
    Date d'inscription : 24/10/2014
    Nour Mu'Zineb

    Nour Mu'Zineb
    Nour Mu'Zineb
    Fille du Serpent
    Save a lady in distress

    La jeune fille, car c'était une jeune fille qui l'avait interpellé, eut un petit sourire gênée. Probablement, car elle était impressionné par sa majesté. Pas qu'il ait lui-même un quelconque intérêt pour son interlocutrice. Elle était de sexe féminin après tout et suite à un terrible traumatisme dans son enfance, Aloïs s'était définitivement détourné de cette espèce immonde qu'était les femmes. Romantiquement en tout cas. Comment avait-il été traumatisé demandez-vous? L'évènement avait été d'une telle horreur qu'il ne pouvait décemment en parler dans un endroit où il pouvait potentiellement être entendu par des âmes délicates.

    Malgré son manque d'intérêt pour sa personne, Aloïs lui offrit un sourire. Histoire de faire bonne figure. La fille, sans aucun doute intimidé par sa grandeur, s'empressa de se détourner afin de reprendre sa route. Elle fut cependant arrêté par une meute d'hommes en colère, qu'Aloïs avait peut-être, éventuellement, croisé, par hasard, un jour. Bref, il les connaissait. Il ne savait plus exactement d'où mais leur face écrasées et leurs cicatrices pour le moins défigurantes lui rappelaient quelque chose. Le souvenir était juste un tantinet trop flou pour qu'il en tire de quelconques informations.

    Les hommes contournaient la jeune fille, qui maintenant qu'il s'y intéressait, possédait une étonnante chevelure rose. Étonnante, parce qu'il n'était pas entièrement sure que ces cheveux soient teints. Enfin, surtout parce qu'il n'aurait jamais choisi d'avoir des cheveux roses. Si par malchance il était né comme ça, il ne les aurait pas gardés aussi longs que la jeune fille.

    Bref, tout ça pour dire que le danger approchait et qu'il était grand temps de considérer une retraite stratégique.

    "Les regroupements de personne sont interdits, et encore plus dans ce que vous comptez entreprendre...." intervint Cheveux-Roses.

    Elle fut promptement fusillée du regard par l'un des molosses.

    "Je...Je suis soldat, laissez le si vous ne voulez pas ...." bégaya la jeune fille qui paraissait encore plus petite opposée au géant.
    "N...Nous ne sommes pas obligés d'en arrivée aux mains....."

    Aloïs aurait applaudi son courage, sauf qu'il n'avait aucune envie de rappeler sa présence à des types qui avait clairement l'intention de le réduire en bouilli de pirate. En fait, il ne devrait même pas s'attarder pour regarder la jeune fille se débattre entre les mains de ces sombres abrutis et décamper. Malheureusement, il n'avait pas encore réussi à se débarrasser du dernier filament de décence qui restait en lui, et celui-ci le forçait à rester.

    "Comme c'est mignon, tu vas nous faire quoi? Nous frapper avec tes petits bras?"

    Bon point, Monsieur Muscle. Que comptait-elle faire? Parce que lui, personnellement, envisageait plutôt mal l'option du conflit. Que pouvait-il faire? Vu la quantité plus que minimale de muscle dans son propre corps (si l'on faisait abstraction des muscles cérébraux) se battre n'était vraiment pas une possibilité viable. Ceci étant dit, il n'avait pas encore dit son dernier mot!

    Il manqua la réplique de Cheveux-Roses, si occupé était-il à fouiller dans ses poches. Vu le temps et l'effort que cela lui demanda, on eut pu croire qu'il en avait un nettement plus grand nombre et de beaucoup plus profondes qu'il n'en avait vraiment. Mais enfin, qui savait ce qu'il cachait dans ses vêtements?

    Il finit par sortir un ours en peluche bleu, rapiécé à plusieurs endroits et le posa au sol, sur ses deux pattes.

    "Je compte sur toi, Mini-Jack." souffla-t-il à la soi-disant 'version portable de Stingy Jack'; ou plutôt l'une des nombreuses versions portables.

    Il tourna la clé mécanique se trouvant sur le dos de la peluche et l'ours se mit à marcher vers le groupe d'hommes.

    "Allons, allons, mes enfants! Ne vous battez pas!" s'exclama Aloïs jovialement, à l'adresse du groupe. "Voici un cadeau pour vous réconcilier."

    L'attention générale se tourna vers l'ours en peluche qui se dirigeait vers eux. les hommes regardèrent le jouet, hébétés. Aloïs sourit machiavéliquement. Bande d'abrutis. Ils n'étaient que des amateurs s'ils se laissaient surprendre par si peu.

    Il compta jusqu'à trois et s'élança vers la jeune fille. Au même moment, le nounours explosa, libérant une fumée épaisse de couleur bleue. Aloïs, attrapa la jeune fille par le bras, la localisant de mémoire. Sentant un bras fin dans sa main il devina sans problème qu'il avait trouvé la bonne personne. Il la tira derrière lui, sortant à toute allure du nuage de fumée, et s'engouffrant dans une ruelle voisine.

    Ils ne couraient que depuis environ cinq minutes, lorsqu'Aloïs s'arrêta brusquement, respirant péniblement.

    "Aaah! J'en peux plus! C'est trop d'exercice pour moi." se plaignit-il, plié en deux.

    Pour s'aider à se remettre de cet effort éreintant, le jeune pirate sortit un paquet de bonbons au chocolat et se mit à s'empiffrer. Il avait rempli sa bouche deux fois lorsqu'il se rappela qu'il était accompagné. Il jeta un coup d'oeil à la jeune fille, puis à son paquet de bonbons. Faisant montre d'un effort monumentale il tendit le paquet à la jeune fille, son visage exprimant son extrême réticence.

    "Tu en veux?" lui demanda-t-il de la même façon que quelqu'un aurait pu demander: 'tu vas me tuer?'.
    Code by Frosty Blue



    HRP:
    Maxine Frayer
    Maxine Frayer

    Citadine
    Arme : Deux Katanas
    Messages : 167
    Date d'inscription : 30/06/2014
    Maxine Frayer

    Maxine Frayer
    Maxine Frayer
    Citadine

    Fronçant les sourcils, cet air menaçant fut tout de suite balayé par ton nez en trompette et ton minois de poupée rose. Ne cherchant pas à répondre à ses provocations, tu lèves le bras « RANCKER ! » Ton petit compagnon, tout terrain sautillant presque vers toi dans des petits bruits de tintinnabulant incompréhensible se posa entre toi et les hommes. Un silence se posa tu en as presque oublié le jeune homme qui est à l'origine de ce petit spectacle. « Active l'option t..... » Tu es réellement prête à faire preuve de combativité mais l'arrivé d'un ....Une peluche, oui c'est bien ça une peluche certainement automatisée. Se dandiner devant toi. « C'est...Quoi.... » Par réflexe tu tournes la tête au-dessus de tes épaules pour regarder le jeune homme aux cheveux bleus l'air de dire ''mais que fais-tu ?'' Le petit ourson avance et se mobilise devant les hommes baraqués « Allons, allons, mes enfants! Ne vous battez pas! Voici un cadeau pour vous réconcilier.» Tout comme les brutes épaisses tu fixes curieusement cette petite peluche, que compte-t-il faire avec ce petit objet ? Tu restes un peu vexée de te faire stopper dans ton élan de défense aux civils.

    Sans comprendre un bruit sourd se fait entendre et par réflexe tu met tes bras sur ton visage pour te protéger, comme tu peux surprise par une fumée de couleur bleu électrique qui coupe toute visibilité. Tu ne peux prendre le temps de respirer ou comprendre et agir que ton bras droit se fait happer et tirer brusquement dans cette fumée sans nom, écarquillant les yeux tu ne peux que suivre si tu ne veux pas tomber comme une cruche par terre tant tu es emporté de force. Sortant du nuage tu reconnais la tignasse bleutée de celui qui est à l'origine de tout ça. Tu ne peux te dérober à sa poigne et le suis malgré tout empruntant des ruelles tout en s'éloignant grandement du lieu de conflit. Courant dernier lui tu te fais subitement surprendre de nouveau par un arrêt plus que brutal au point que tu te le prends de pleins fouets par l'élan de la course et tombes sur ton arrière-train « tshhh doucement ! » Le regardant avec une petite bouille ronchonne tu vois le jeune homme passablement épuisé par cette petite course. Tu peux dire qu'il n'est pas le plus endurant des fuyeur ! Te relevant doucement tu époussètes ton vêtement et redresses tes cheveux. Ton petit Rancker tourbillonnant autour de toi via ses pieds qui lui servent de pales à élices tu lui demandes de revenir sur le sol pour ne pas épuiser sa batterie. Un petit bruit de papier chiffonné attire ton attention. Le pseudo-cavaleur est littéralement en train de ce goinfré de bonbons. Levant un sourcil, tu le regardes perplexe et curieuse. « Tu en veux ? »

    Tu restes un peu pantoise et dis non de la tête par réflexe. « Ça va aller ? » Tu approches un peu, âpres tout il a failli être victime de grosses brutes et lui mange des bonbons. « Qu'avez-vous fais pour mettre ses hommes aussi en colère ? » Tu ne démords pas, surement ton côté militaire qui prend le dessus. Soupirant longuement, tu entends des cris de braillard et des bousculades « ils vous cherchent ! » Tu le regardes et lui prends son paquet de bonbons. « On doit partir maintenant ! » A ton tour de le tirer et de le guider dans les rues allant vers des grandes avenues bondées de monde pour se fondre dedans et essayer d'enfin les semer. L’entraînant avec toi tu lui tiens fermement le bras « comment vous appelez vous ? » Ralentissant les pas tu te faufiles avec lui dans une foule suivant le mouvement avant de le regarder « Moi c'est Maxine....Autant savoir avec qui on prend la fuite » souriante tu veux garder bonne figure et ne pas le stresser d'autant plus qu'il pourrait l'être. Même si son comportement te prouve le contraire, a force de vouloir faire attention aux autres, tu t'imagines qu'ils sont tous aussi fragiles que toi. Tu perds de vue les hommes qui doivent eux même se mordre les lèvres en voyant la foule. Une chose de fait, vous ne les auras plus sur le dos au moins. Arrêtant de marcher tranquillement contrairement à son arrêt brutal de tout à l'heure tu le regardes avec de grands yeux améthyste. « Si vous connaissez ses hommes vous pouvez venir avec moi porter plainte et arrêter leur agissement.. » Penchant la tête on aurait facilement dit un petit Teckel rose bonbon qui cherche une pseudo-approbation de ses actions de la part de son interlocuteur.
    Nour Mu'Zineb
    Nour Mu'Zineb

    Fille du Serpent
    Messages : 408
    Age : 27
    Date d'inscription : 24/10/2014
    Nour Mu'Zineb

    Nour Mu'Zineb
    Nour Mu'Zineb
    Fille du Serpent
    Die from sweets-loss

    Rose-Bonbon le regarde. E le regarde. Et le regarde encore. Et puis vient le signe de la libération, le miracle qui sauve l'humanité, la colombe qui annonce la paix et non l'apocalypse, elle dit 'non'. De la tête. Mais 'non', tout de même. Un rayon de soleil perce les nuages imaginaires et englobe Aloïs de lumière divine alors qu'il atteint la béatitude.

    "Ça va aller?" lui demande la fille.

    Oui, il allait bien. Il n'aurait jamais pu se sentir mieux qu'en ce moment précis, inondé de la grâce divine. Son grand sourire et son visage exprimant la joie absolue devait être une réponse suffisante et il ne prit donc pas la peine de formuler verbalement sa réponse.

    "Qu'avez-vous fais pour mettre ses hommes aussi en colère?"

    Il suffit d'une question pour que son bonheur absolu se brise. Une goutte de sueur apparu sur sa tempe et un petit rire nerveux lui échappa. E bien c'était que...comment expliquer cela? Ce genre de situation délicate nécessitait que l'on prenne certaines indispensables précautions, car qui savait quelles âmes sensibles pouvaient se trouver à proximité? Et bien entendu personne ne pouvait souhaiter infliger à ces esprits délicats des blessures et profondes et...Bon très bien, il ne se souvenait plus. Mais comment dire ça à cette chère Rose-Bonbon?

    "Oh! Quel bel oiseau! Je dois dire que je n'en avait jamais vu d'une couleur aussi exotique!" s'exclama-t-il optant pour une diversion.

    Bienheureusement, la jeune fille n'eut pas le temps de commenter sa tentative pour le moins pathétique de changement de sujet car des grognements se firent entendre, annonçant l'arrivée de leurs poursuivants.

    "Ils vous cherchent!" s'exclama Rose-Bonbon et le Capitaine dut se retenir de dire quelque chose dans le genre 'Ah bon?! Tu crois!'.

    Mais elle devait pouvoir lire ses pensées car l'instant d'après elle le regarde avec des yeux diaboliques. Il sut à ce moment-là que quelque chose d'affreux allait se passer mais il ne put réagir à temps. Le moment d'après se passa au ralenti. Il vit la main de la jeune fille s'approcher de son trésor et se refermer dessus. Puis son précieux paquet de bonbons commença à s'éloigner de lui, ses mains suivant sa course, tentant de le reprendre. Il n'y parvint pas, et fut laissé dépouiller et le cœur brisé.

    "On doit partir maintenant!"

    Elle lui attrapa le bras et le tira sans mal derrière elle, le jeune pirate étant soudainement devenu aussi mou et peu réactif qu'une poupée de chiffons.

    "Comment vous appelez vous?" il entendit vaguement la question de la jeune fille mais ne put se résoudre à répondre. "Moi c'est Maxine....Autant savoir avec qui on prend la fuite."

    Elle finit par s'arrêter doucement et se retourna vers lui. Il ne comprenait pourquoi elle continuait de vouloir lui adresser la parole. Cette voleuse de bonbons n'avait-elle donc aucune pitié? Il sentait son corps se dessécher comme s'il avait passé une semaine sans boire en plein désert.

    "Si vous connaissez ses hommes vous pouvez venir avec moi porter plainte et arrêter leur agissement..."

    Porter plainte...Oui il allait porter plainte contre cette voleuse! Il ne laisserait plus personne souffrir comme il avait souffert! Mais en attendant, ses jambes lâchèrent sous lui et il s'effondra à terre, les larmes aux yeux.

    "Mes bonbons!" geignit-il la mort dans l'âme. "Qu'ai-je fait pour que l'on m'inflige ça?!"
    Code by Frosty Blue



    HRP:


    Dernière édition par Aloïs Chapel le Dim 21 Déc - 11:49, édité 2 fois
    Maxine Frayer
    Maxine Frayer

    Citadine
    Arme : Deux Katanas
    Messages : 167
    Date d'inscription : 30/06/2014
    Maxine Frayer

    Maxine Frayer
    Maxine Frayer
    Citadine
    Essoufflée un peu de votre course, tu le regardes prise au dépourvue de le voir à genoux de la sorte, paniquant un peu tu te demandes ce qui lui prend. Il peut être blessé sans le savoir, ou alors le contre coup de ce qui c’est passé, le stress tu ne sais pas. Redressant une mèche rebelle, tu approches inquiète avant de te figer en entendant ses paroles. "Mes bonbons!". Ses bonbons ? Ce cinéma pour des pauvres bonbons ? Tu le regarde ébahie. On croirait voir un enfant de quatre ans faire un caprice en pleine rue, gênée que les passants vous regardent perplexes, amusés ou alors contrariés de voir de tels comportements en public. Tu ne sais pas vraiment où te mettre et approches vivement. « À quoi vous jouez bon sang ! » gonflant les joues tu ne comprends pas sa réaction si disproportionnée pour une chose aussi futile. Lui fourrant ses satanés bonbons dans les bras tu le regardes durement presque vexée de son attitude. « Vos bonbons comptent plus que votre sécurité…quel âge avez-vous pour réagir de la sorte ! » Timide oui, mais pas cachottière, tu es franche de nature et ne tourne pas autour du pot sans être méchante ni agressive.

    Le laissant sur le bitume tu soupires gravement et le regarde « je vois que vous n’avez pas plus d’intérêt pour ces problèmes qui vous suivent que l’aide que j’essaie de vous apporter… J’ai d’autres choses à faire, alors excusez-moi de vous laisser en tête à tête avec cette poche de sucreries. Je pense que vous vous en sortirez tout seul je me trompe ? » Tu ne t'attendais pas à un désintérêt aussi brut, certes tu as l'habitude de passer inaperçue malgré tes actes mais pas face à un paquet de bonbon, à croire que ton élan de générosité et ta compréhension, malgré, ce qui te saute aux yeux, qu'il ne doit pas être blanc comme neige au vu de ses agresseurs. Te retournant une dernière fois tu le regardes des tes yeux rose chamallow. « Ne soyez pas surpris si nos chemins se recroisent Monsieur... Je ne suis pas dupe et au vu des gens qui vous courent après, je pense que vous baignez dans des choses pas nettes. Je suis gentille mais les lois passent avant, j'aurais pu être conciliante mais après ce soudain désintérêt de votre part je comprends facilement que vous êtes un solitaire. » redressant promptement ton uniforme tu tournes les talons et reprends ton chemin un peu en colère soupirant ton petit rancker venant virevolté pour rouler à côté de toi.
    HRP:
    Nour Mu'Zineb
    Nour Mu'Zineb

    Fille du Serpent
    Messages : 408
    Age : 27
    Date d'inscription : 24/10/2014
    Nour Mu'Zineb

    Nour Mu'Zineb
    Nour Mu'Zineb
    Fille du Serpent
    Kidnap an (almost) innocent lamb

    "À quoi vous jouez bon sang!" s'exclama Cheveux-Roses.

    Rose-Bonbon avait des drôles de réactions, nota Aloïs de son poste, c'est-à-dire en se roulant piteusement par terre. La jeune fille avait gonflé ses joues sous le coup de l'énervement et ressemblait désormais à un genre de hamster transgénique. C'était très mignon.

    "Vos bonbons comptent plus que votre sécurité…quel âge avez-vous pour réagir de la sorte!" ajouta-t-elle en lui fourrant ses divines sucreries dans les bras.

    C'est tout ce qu'il fallut à Aloïs pour retrouver son énergie et sa bonne humeur.

    "J'ai vingt ans, pourquoi?" dit-il l'air innocent, ou du moins aussi innocent qu'il pouvait paraître en s'empiffrant de confiseries.

    Rose-Bonbon l'ignora royalement et continua sa tirade de femme mature et sans aucun humour.

    "Je vois que vous n’avez pas plus d’intérêt pour ces problèmes qui vous suivent que l’aide que j’essaie de vous apporter… J’ai d’autres choses à faire, alors excusez-moi de vous laisser en tête à tête avec cette poche de sucreries. Je pense que vous vous en sortirez tout seul je me trompe ?" dit-elle le regardant de haut, Aloïs étant toujours assis au sol. "Ne soyez pas surpris si nos chemins se recroisent Monsieur... Je ne suis pas dupe et au vu des gens qui vous courent après, je pense que vous baignez dans des choses pas nettes. Je suis gentille mais les lois passent avant, j'aurais pu être conciliante mais après ce soudain désintérêt de votre part je comprends facilement que vous êtes un solitaire."

    Elle comprenait facilement des choses bizarres celle-là. Tremper dans des trucs pas nets, évidemment. Il était pirate après tout. Mais solitaire? Dès la naissance il avait eu de la compagnie sous la forme de sa soeur jumelle. En grandissant il avait cassé les pieds de Sin et Alix avant d'évoluer et de devenir capitaine d'un équipage de malfrats. Moins solitaire que ça, tu meurs.

    C'est ce qu'il aurait bien voulu lui dire sauf que la jeune femme lui tourna promptement le dos et se remit en route.

    Les lèvres du capitaine s'étirèrent en un sourire mesquin. Si elle croyait s'en tirer comme ça...Pensait-elle vraiment pouvoir lui tenir la jambe à débiter des âneries pendant au moins une minute et pouvoir se barrer aussi facilement? Il ne pensait pas non. Il la rattrapa donc prestement et l'arrêta en posant une main ferme sur son épaule.

    "Je pense que nous avons un malentendu." affirma-t-il avec une heureuse conviction. "Nous allons en discuter autour d'un chocolat chaud."

    Ce n'était pas une question parce que même s'il lui était venu à l'idée de refuser il l'y aurait emmenée de force. Il n'attendit pas qu'elle lui réponde avant de l'entraîner vers un salon de thé avoisinant. Cinq minutes plus tard, ils étaient assis l'un en face de l'autre avec deux tasses de chocolat chaud devant eux.

    "Voyez-vous ma chère Maxine, l'important n'est pas tant de savoir le comment du pourquoi ces charmants mastodontes me courraient après mais plutôt de se dire que c'est grâce à cela que nous avons fait cette merveilleuse rencontre." lui dit-il avec l'air d'un prêtre prêchant la Bonne Nouvelle. "C'est pourquoi je vous pardonne ce vol de bonbons, malgré qu'il ait été un coup sous la ceinture. Mais pour en revenir à cette course contre l'adversité, je pense que plutôt que de jurer contre le mauvais sort qui a placé ces gens à mes trousses il faut prendre parti de la situation pour s'amuser."

    Tout en blablatant des choses qu'il ne comprenait qu'à moitié lui-même (surtout parce qu'il ne s'écoutait pas), Aloïs admirait le liquide brun, évaluant le breuvage. Il finit par prendre une gorgée et son visage se métamorphosa. D'homme très sérieux, il devint homme comblé ce qui se traduisit par un genre de ramollissement général pour enfin ressembler à un personnage de bande dessinées avec les joues rondes et les yeux remplis d'étoiles.

    "Aaah...Le chocolat chaud il n'y a que ça de vrai..." soupira-t-il, ayant tout à fait oublié le sujet de conversation précédent.
    Code by Frosty Blue



    HRP:
    Maxine Frayer
    Maxine Frayer

    Citadine
    Arme : Deux Katanas
    Messages : 167
    Date d'inscription : 30/06/2014
    Maxine Frayer

    Maxine Frayer
    Maxine Frayer
    Citadine

    Prise au dépourvue tu te retrouve tirée avec ce jeune homme comme une gamine dans un centre commerciale, tu ne sais pas trop comment réagir voulant lui faire lâcher. "Je pense que nous avons un malentendu. Nous allons en discuter autour d'un chocolat chaud." Écarquillant les yeux tu ne sais plus si quoi faire mis a part suivre par obligation. Ni une ni deux vous vous retrouvez assis autour d'un chocolat fumant. Soupirant d'agacement tu commences à te dire que tout tourne autour de l'amusement avec ce jeune homme, qui à de plus le même âge que toi. "Voyez-vous ma chère Maxine, l'important n'est pas tant de savoir le comment du pourquoi ces charmants mastodontes me courraient après mais plutôt de se dire que c'est grâce à cela que nous avons fait cette merveilleuse rencontre. C'est pourquoi je vous pardonne ce vol de bonbons, malgré qu'il ait été un coup sous la ceinture. Mais pour en revenir à cette course contre l'adversité, je pense que plutôt que de jurer contre le mauvais sort qui a placé ces gens à mes trousses il faut prendre parti de la situation pour s'amuser." Pantoise tu le regardes fixement. Pour ne pas mentir, tu as beaucoup de mal à le comprendre tout à coup. Sans le vouloir un « hein ? » Sort bruyamment de ta bouche, ce qui ne te ressemble pas d'habitude. Gonflant les joues tu te penches sur la table et le fixe « s'amuser....C'est bien ce que je me disais, tout ceci n'est qu'un jeu pour vous. Vous ne mesurez pas les conséquences de vos actes, et préférez jouer les enfants face à l'adversité en fait.... »

    "Aaah...Le chocolat chaud il n'y a que ça de vrai..." Figée tu le regardes dépasser par son comportement « mais vous ne m'écoutez même pas en fait..... » Soupirant tu pousses ta tasse vers sa direction et paies pour les deux même, te levant tu le regardes entre l'inquiétude et l'agacement. « Faites attention....Ce comportement vous causera bien des soucis un jour, je ne sais pas si vous êtes du bon côté ou pas mais je pense qu'on se recroisera aux vues de vos actions et de vos fréquentations ....Alois. » Approchant tu décides de te pencher sur lui « vous ne m'écoutez pas.... » Posant ta main sur son chocolat tu cherches à joindre son regard. « Je vais passer pour une méchante voleuse de chocolat mais je suis inquiète pour vous ! » Relâchant ton regard tu te redresses « je pense que je vais vous laissez, vous n'avez pas l'air de plus porter attention aux gens qu'à vos sucreries. Faites attention à vous malgré tout Alois » Souriant sincèrement tu lui laisses les deux chocolats et appel le serveur « servez une gaufre au chocolat pour ce Monsieur merci » laissant de quoi la payer tu le laisse a son histoire d'amour entre le chocolat chaud et lui. Tu ne sais pas trop ce qu'il va advenir de ce petit personnage mais tu penses e recroiser un jour.
    Nour Mu'Zineb
    Nour Mu'Zineb

    Fille du Serpent
    Messages : 408
    Age : 27
    Date d'inscription : 24/10/2014
    Nour Mu'Zineb

    Nour Mu'Zineb
    Nour Mu'Zineb
    Fille du Serpent
    Get yourself in an impossible situation

    "mais vous ne m'écoutez même pas en fait....." soupira Maxine en réponse à son commentaire sur le chocolat chaud.

    Aloïs qui avait justement choisi ce moment pour lui prêter son attention en aurait presque pouffer. Il préféra cependant garder son expression d'homme comblé un petit peu pus longtemps. Maxine avait des réactions amusantes. Ce devait être un truc de soldat, parce qu'il s'amusait comme un petit fou avec Matt aussi. Mais Rose-Bonbon l'amusait d'une façon différente.

    Matt savait qui était Aloïs et il faisait son boulot. Certes, ça tournait toujours en partie de chat et ils arrivaient parfois que prit dans une conversation des plus intéressante ils en oublie leurs différents. Mais à la base, c'était une relation purement professionnelle. Maxine, elle, ne savait pas qu'il était pilleur et donc, techniquement son ennemi. Elle se doutait bien qu'il était un peu louche, mais elle ne savait pas à quelle point. Imaginer son expression lorsqu'elle s'en rendrait compte le fit sourire béatement. Que d'amusement en perspective!

    Une main se posant sournoisement sur sa tasse le ramena brusquement à la réalité. Il leva vivement le regard vers Maxine qui s'était levé et la fixa avec méfiance.

    "Je vais passer pour une méchante voleuse de chocolat mais je suis inquiète pour vous !" lui dit-elle.

    Quelle ironie!

    "Je pense que je vais vous laissez, vous n'avez pas l'air de plus porter attention aux gens qu'à vos sucreries. Faites attention à vous malgré tout Alois."

    Oui, décidément quelle ironie. Elle choisissait toujours des moments où il l'écoutait pour dire qu'il ne l'écoutait pas! Il la regarda partir avec amusement, vite distrait par l'arrivée d'une gaufre au chocolat. Le dessert fit remonter la voleuse de bonbons dans son estime. Cette fille savait cerner les gens!

    Une dizaine de minutes plus tard, un Aloïs repu et désaltérer quitta les lieux, retournant à ses déambulations dans la rue. A peine avait-il mit le pied dehors qu'on lui rentra dedans avec une telle force qu'il s'écrasa au sol. Le rustre tombant sur lui. Souffle coupé, Aloïs tenta de se débattre contre le poids de son assaillant.

    "Je meurs!" geignit-il en se contorsionnant.

    "Il est là! Le voleur a été arrêté! cria un illustre inconnu quelque part au dessus de lui.

    Le poids se volatilisa et après un soupir d'aise, Aloïs laissa libre cours à sa surprise.

    "Le QUOI?!" s'étrangla-t-il alors qu'un homme (l'illustre inconnu?) le tirait sur ses pieds.

    "Le voleur, monsieur. Cet homme vient de braquer une banque." lui répondit l'homme jovialement. "Moi et une militaire lui courions après. Vous nous avez vraiment aidé!"

    En sacrifiant sa vie, oui! Non mais il en avait des bonnes lui! Aloïs s'apprêtait à bouder lorsqu'il vit la militaire. Il écarquilla les yeux et ses lèvres s'étirèrent en un immense sourire.

    "Maxine!" s'exclama-t-il, bonne humeur retrouvée, en bondissant vers sa victime son amie.
    Code by Frosty Blue



    HRP:
    Maxine Frayer
    Maxine Frayer

    Citadine
    Arme : Deux Katanas
    Messages : 167
    Date d'inscription : 30/06/2014
    Maxine Frayer

    Maxine Frayer
    Maxine Frayer
    Citadine
    Mais bon sang….. ca ne va donc jamais s’arrêter ? Tes paquets dans les bras tu entends encore cette douce mélodie du « au voleur » à croire que la populace c’est donné le mot en ce jour, ton jour ! tu n’es pas de repos aujourd’hui, mais demander un jour supplémentaire pour ses faits ne ferra que rire ton supérieur.  "Il est là! Le voleur a été arrêté!.  Soupirant tu essaies tout de même de suivre l’affaire, tu reste en toute circonstance une soldat. Avançant tu te fige et grimace un peu malgré toute la gentillesse que tu développe. Soit c’est une grosse blague soit le destin s’acharne contre toi, la devant toi quel scène plus improbable que celle-ci pouvait se dérouler sous tes yeux. Ce cher goinffre ou terreur de la sucrerie se retrouve une nouvelle fois meler à une affaire louche. A croire qu’ils les attirent comme une mouche et du miel. Sans comprendre pourquoi tu commences a esquivé la scène comme une voleuse. Pourquoi essayes-tu de fuir ? Peu être par ce que tu souhaite enfin vivre ta journée comme tu le sens ! "Maxine!" Et mince….il ta vue, la faute à pas de chance n’est ce pas. Tu ne peux plus reculer cette fois, c’est avec un long soupire que tu avance vers lui gonflant les joues un peu en colère. « A quoi vous jouez ! ca vous suffit pas de vous faire attaquer par des gros loubars vous ….raah vous êtes pénible ! » Regardant les autres officiés tu te présente et leur explique que tu fais partie de l’armée de terre « je vais me charger de ce jeune homme…que je connais quelque peu, je vous laisse l’autre individu merci »

    Approchant tu laisse les officiers le libérer de son poids avant de lui laisser le temps de ce relever, tu ne peux l’aider tu as les mains prises par tes danrés. « Vous allez me suivre cette fois….vous ne n’avez pas le choix et je vous arrête tout de suite ! Vous n’allez pas esquiver cette fois on va au poste! » Marchant tu lui emboite le pas « je ne sais pas comment vous faites pour attirer autant d’ennuie ! ca vous amuse on dirait…. » Le regardant tu lui donne un coup de coude «  et je vous prierez de m’écouter cette fois…. Je ne vous paierais pas de chocolat ou quoi que ce soit, normalement je suis en congé la alors je suis déjà bien gentille de m’occuper de vous » une pointe d’agacement se fait sentir dans ta voix mais ta bouille de poupée te coupe toute crédibilité. Inspirant grandement tu te sens mal de le réprimander comme un gosse. Te pinçant les lèvres tu le regarde du coin de l’œil et baisse la tête « je….je suis désolé de vous parler sur ce ton….je ne veux pas paraitre méchante mais …comprenez un peu la situation » gênée, mais alors véritablement dans l’embarra tu t’arrête et le fixe « vous pouvez partir…. Je me suis emportée je pense, je n’ai pas de raison de vous amener au poste » t’écartant tu lui indique qu’il peut partir s’il le veut.
    Nour Mu'Zineb
    Nour Mu'Zineb

    Fille du Serpent
    Messages : 408
    Age : 27
    Date d'inscription : 24/10/2014
    Nour Mu'Zineb

    Nour Mu'Zineb
    Nour Mu'Zineb
    Fille du Serpent
    Annoy Bubble-Gum to death

    Le sourire d'Aloïs ne fit que s'élargir lorsqu'il vit l'expression déconfite de la jeune fille. Il était prêt à mettre sa main au feu qu'elle venait de penser quelque chose du genre: "Mince! Il m'a vu". Pauvre femme! M'enfin c'était naïf de penser qu'elle pouvait lui échapper!

    Visiblement, elle avait finit par comprendre ce dernier point car elle se dirigeait maintenant vers lui, les joues gonflées sous le coup de la colère et en poussant un long soupir.

    "A quoi vous jouez ! Ca vous suffit pas de vous faire attaquer par des gros loubars vous ….raah vous êtes pénible !" dit-elle avant d'enchaîner sur des présentations à l'intention des autres officiers de l'armée.

    Aloïs la regarda faire l'air intéressé du touriste à une exposition. C'était étonnant qu'aucun d'entre eux ne l'ai reconnu. Les cheveux vert d'eau et le style vestimentaire pirate était pas hyper-commun pourtant...C'était surement parce qu'il ne faisait pas d'affiches 'Wanted'. Si seulement il faisait des affiches 'Wanted' avec son visage placardé sur tous les murs de la ville...Aloïs poussa un soupir désireux, les yeux remplis d'étoiles.

    et je vous prierez de m’écouter cette fois…. Je ne vous paierais pas de chocolat ou quoi que ce soit, normalement je suis en congé la alors je suis déjà bien gentille de m’occuper de vous"

    C'est à ces mots qu'Aloïs revint soudainement à la réalité. Il constata qu'il s'était mit à marcher en rêvassant et que Maxine était à ses côtés.

    "Je dirais même plus: vous êtes la bonté incarnée!" approuva-t-il l'air entendu, comme s'il ne venait pas tout juste de se réveiller.

    Maxine prit soudain un air coupable. Ah! Les compliments! Ça fait toujours mouche!

    "Je….je suis désolé de vous parler sur ce ton….je ne veux pas paraitre méchante mais …comprenez un peu la situation" dit-elle l'air gênée. "Vous pouvez partir…. Je me suis emportée je pense, je n’ai pas de raison de vous amener au poste."

    Aloïs se préparait à enchainer sur un long discours sur les Droits de l'Homme et le pouvoir de l'émotion mais fut coupé net dans son élan par une vibration. Intrigué, il dégaina son téléphone portable et observa l'écran.

    Vous avez un nouveau message de Lunettes.

    Le visage du Capitaine se décomposa. Il se mordit la lèvre inférieure et l'air d'un invidu louche et parano (ce qu'il était) il commença à regarder dans tous les sens. Rassuré par le fait que son membre d'équipage et accessoirement baby-sitter n°1, n'était pas dans les parages, il ouvrit le message avec précaution.

    Deux secondes plus tard, le téléphone avait disparu dans les confins de son habit et il faisait de nouveau face à Maxine, sourire charmeur aux lèvres et une goutte de sueur perlant sur sa tempe.

    "Et bien la Chère Maxine, il semble que le devoir m'appelle." s'exclama-t-il, sa voix trahissant sa tension. "Je vais devoir vous quitter là mais je suis sur que l'on se reverra très bientôt."

    La prochaine fois que l'armée se lancerait à sa poursuite par exemple. Que d'amusement en perspective! Enfin, ça c'était s'il survivait jusque-là. Le message nouvellement reçu semblait envoyer des ondes maléfiques et il n'était pas entièrement sur qu'il avait envie d'être retrouvé par l'expéditeur...
    Code by Frosty Blue



    HRP:
    Contenu sponsorisé


    Contenu sponsorisé

    Contenu sponsorisé
    Contenu sponsorisé

      La date/heure actuelle est Jeu 28 Mar - 10:16