Edward Frayer ♦ En cours

Edward a de magnifiques cheveux. De longs cheveux tout rose qui entourent un visage rond, fin qui paraissait féminin selon l'angle sous lequel on le regardait. Oui rose, vous l'avez bien lu. Les reflets pêches qui les parsèment, donnent cette originalité que peu de gens n'ont encore vu jusqu'ici. Le tout est généralement relevé en queue de cheval dans le but de les maintenir en place et de ne pas être gêné pendant qu'il travaille, mais, il lui arrive parfois de les laisser tout simplement onduler le long de ses épaules. D'ailleurs, il n'y a pas que ses cheveux qui sont roses... Ses yeux font aussi partis du lot. Grand ouverts, un peu froid et chaleureux en même temps, doux et sérieux également, ce sont des yeux qui reflètent des milliers d'expressions différentes, tantôt tristes, tantôt joyeuses, tantôt en colère. Quant à son nez, il est petit, légèrement relevé en trompette, respirant délicatement les fragrances qu'offre le monde. Sa bouche fine est quant à elle est mordillée, un tic d'Edward, qui apparaît souvent lorsqu'il est concentré ou stressé.

De taille moyenne, le jeune savant a des épaules pas très larges et pas de muscles dignes des bodybuilder, mais il n'était pas non plus un gringalet qui n'avait pas la peau sur les eaux. Plutôt beau, il aimait jouer de ses atouts pour séduire la gente féminine. Il a un torse assez plat, sa corpulence étant invisible dans ses vêtements qui flottait sa silhouette masculine. Vestimentairement parlant, il était rare de le voir sans sa blouse blanche propre ni sans ses outils d'ingénieurs usagés compte tenu de leur utilisation régulière. Portant un style reflétant sa classe sociale, il n'aimait cependant pas être ostentatoire et faisait de son mieux pour être "normal".

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Accenderat super his incitatum propositum ad nocendum aliqua mulier vilis, quae ad palatium ut poposcerat intromissa insidias ei latenter obtendi prodiderat a militibus obscurissimis. quam Constantina exultans ut in tuto iam locata mariti salute muneratam vehiculoque inpositam per regiae ianuas emisit in publicum, ut his inlecebris alios quoque ad indicanda proliceret paria vel maiora.

Quelle est son histoire ? Qu'est ce qui fit d'Edward l'homme qu'il est aujourd'hui ? Je vais vous le raconter, moi, la narratrice. Ses parents sont des gens riches, d'une famille aisée. Son père se nomme  Alexandre Freyer et sa mère Frau Löverne. Ils avaient toujours voulu avoir un enfant. Sa mère voulait une fille, mais son père voulait un garçon pour ainé. Et c'est le père qui eu raison, et c'est un matin du mois d'août que le petit garçon vit le jour. Lorsque le père appris qu'ils allaient avoir un garçon, il était presque à pousser les médecins pour le sortir lui même. Le sexe masculin était le sexe fort et il pensait que les filles n'avaient aucun rôle particulier. C'est pour cela qu'il était heureux en voyant Edward voir le jour. Alexandre racontait à tout le monde la nouvelle, fier et orgueilleux et voulait montrer sa force. Edward était un petit garçon qui faisait souvent des bêtises étant très jeune, mais qui s'était calmé rapidement au fil du temps. Lorsque son frère et sa sœur naquit, il avait bien compris que son rôle était de leur montrer l'exemple, et c'est ce qu'il fit. Il était toujours derrière eux limite à les stalker pour les protéger.« Maxine, tu n'as pas le droit de jouer avec les affaires à papa, sinon il va pas être content ! » fit-il à sa sœur avec un semblant de garçon en colère, ce qui n'avait rien de crédible. « Arrêtez de taper Terence ce n'est pas gentil ! » cria-t-il devant son frère plein de blessures pour que des garçons plus vieux arrêtent de faire du mal. C'est ce qu'à son âge il répétait souvent et même il en devenait agaçant pour ces derniers, si bien qu'il ne voulait plus jouer dès qu'il commençait à jouer les sur protecteur.

Durant toute son enfance, le petit Edward reçu une éducation stricte. Comme dit plus haut, les garçons de la famille, étaient ce qui comptait le plus dans la famille, selon leur père, et étant donné qu'il était l'aîné, il fut le plus sollicité pour être exemplaire au sein de la société et faire des Frayer une famille honorable et respectée pour son éducation et son rang. Il se souvient très des nombreuses gifles et de toutes ces punitions qu'il avait reçu, pour avoir joué avec Maxine, pour avoir lu des romans fantastiques et parfois à l'eau de rose (qui était pour lui une sorte d'échappatoire). Alexandre refusait pertinemment que ses fils soient influencé par la féminité de leur sœur et préférait qu'ils jouent au petits soldats, aux voiture, ce qu'Edward n'aimait pas. Terence et lui devaient montrer leur force et leur virilité, ce en quoi les deux frères luttaient. Terence était plus un révolutionnaire, un combattant qui criait, tapait tout ce qui était sur son chemin, partout dans la maison pour exprimer son mécontentement envers le patriarcat oppressant, contrairement à l’aîné, notre principal intéresse qui obéissait aux ordres du père plus facilement, plus aveuglément, cependant tiraillé entre l'obéissance et la fuite, préférant rester calme et réfléchi. C'est ce qui l'éloignait le plus de son frère et surtout de sa sœur.