Aaliyah Fael Noori
« Abyssus abyssum est. »
Kazuki Fuuchouin || Get Backers
"Mon nom est Aaliyah ( qui signifie « sublime, noble, étincelante » et « femme de feu » ) Fael ( « celui/celle qui enseigne » ) Noori ( « l'homme de feu » et « la flamme qui guérit » ) et je suis une femme de 25 ans. Je suis indifférente et je suis actuellement insaisissable. Mon principal défaut est ma nonchalance et ma qualité majeure est mon ouverture d'esprit."
► Nomade ou Citadin ? Nomade.
► Le Groupe: Favori de la Gazelle.
► Taille: 1m69.
► Poids: 51kg, peut-être un peu moins.
► Arme: ... Boomerang, arc et flèches. Quelques débris de verre, aussi.
► Famille: Deux frères et une soeur cadets. Mes parents sont toujours en vie actuellement.
► Date de Naissance: Une nuit calme, alors que ma mère était en train de sombrer. Je lui ai fait comprendre que je voulais voir les étoiles.
► Emploi: Je fabrique des objets divers en verre et j'en revends certains au Bazar. Soigneuse, sinon.
Je possède une très longue chevelure brune qui m'arrive au haut des cuisses à peu près. J'ai une peau d'un rose pâle que j'entretiens avec des produits de 1400 trouvés au Bazar, les citadins nomment cela « crème hydratante » ou quelque chose dans ce genre-là qui veut dire la même chose. J'ai une corpulence fine et une poitrine aussi plate qu'une planche à pain pour mon plus grand bonheur.
Mes yeux ont une heterochromia iridium, ce qui signifie que dans mon iris un bleu ciel se mélange à un marron rocheux. Plus la lumière sera forte, plus le marron rocheux se répandra dans mon iris et plus l'ombre sera grande, plus le bleu ciel se répandra dans mon iris. Jamais une couleur va dominer l'autre, cela dit. Et tant qu'on est sur les couleurs, j'ai une synesthésie musicale. Les sons que j'entends m'apparaissent sous forme de couleurs.
Je m'habille en règle générale avec tout un tas de tissus de couleur claire, variant entre le blanc, le jaune, le rouge et parfois le rose. Il m'arrive de m'habiller qu'avec un tee-shirt blanc à manches longues aux terminaisons volantes qui laisse mes épaules dénudées avec un simple jean quand je vais dans 1400. J'ai emprisonné deux mèches dans deux morceaux de tissu blanc, et j'ai cousu à celui de droite des grelots. J'emprisonne le reste de mes cheveux dans mon dos dans un morceau de tissu blanc plus grand quand je travaille le verre ou quand j'en ai envie.
Mon boomerang est sous mes couches de tissu ( ou sous mon tee-shirt à manches longues quand je suis dans 1400 ), mon carquois ( avec mon arc et mes flèches dedans ) barre en diagonale mon dos. Yon porte deux carquois de flèches de réserve et un arc de rechange. J'ai tout le temps une ceinture à la taille avec plein de petites sacoches où j'entrepose onguents et plantes médicinales, ainsi que du fil, des aiguilles de suture et quelques bandages. Quand je pars en cueillette, je prends une saccoche plus grande. Les saccoches de Yon, entreposées dans un coin de la tente, ne servent que lorsque je vais vendre des objets en verre au Bazar.
Mes yeux ont une heterochromia iridium, ce qui signifie que dans mon iris un bleu ciel se mélange à un marron rocheux. Plus la lumière sera forte, plus le marron rocheux se répandra dans mon iris et plus l'ombre sera grande, plus le bleu ciel se répandra dans mon iris. Jamais une couleur va dominer l'autre, cela dit. Et tant qu'on est sur les couleurs, j'ai une synesthésie musicale. Les sons que j'entends m'apparaissent sous forme de couleurs.
Je m'habille en règle générale avec tout un tas de tissus de couleur claire, variant entre le blanc, le jaune, le rouge et parfois le rose. Il m'arrive de m'habiller qu'avec un tee-shirt blanc à manches longues aux terminaisons volantes qui laisse mes épaules dénudées avec un simple jean quand je vais dans 1400. J'ai emprisonné deux mèches dans deux morceaux de tissu blanc, et j'ai cousu à celui de droite des grelots. J'emprisonne le reste de mes cheveux dans mon dos dans un morceau de tissu blanc plus grand quand je travaille le verre ou quand j'en ai envie.
Mon boomerang est sous mes couches de tissu ( ou sous mon tee-shirt à manches longues quand je suis dans 1400 ), mon carquois ( avec mon arc et mes flèches dedans ) barre en diagonale mon dos. Yon porte deux carquois de flèches de réserve et un arc de rechange. J'ai tout le temps une ceinture à la taille avec plein de petites sacoches où j'entrepose onguents et plantes médicinales, ainsi que du fil, des aiguilles de suture et quelques bandages. Quand je pars en cueillette, je prends une saccoche plus grande. Les saccoches de Yon, entreposées dans un coin de la tente, ne servent que lorsque je vais vendre des objets en verre au Bazar.
Je ressemble à ça...
- Réalisme. Un con est un con, une personne qui donne sans rien attendre en retour est une personne généreuse. À quoi ça sert de faire des détours ? Je nomme les objets, comportements, personnes et autres par ce qu'ils sont. Ce n'est pas de la franchise, juste une recherche des mots précis. Point barre.
- Insensibilité. Mon détachement vis à vis des comportements qui m'entourent amène souvent les autres à penser que je suis insensible. C'est faux. J'ai juste une capacité à me focaliser que et seulement que sur ce que je fais et d'ignorer tout le reste ( sauf si un élément de « tout le reste » est plus important que ce que je fais ). Attention, ça ne veut pas pour autant dire que je ne vous vois plus ou que je ne vous entends plus. Insensibilité ? Non. Je sais seulement apprécier ce que je fais.
- Fermeté. Quand je dis non, c'est non, et si l'autre ne comprend pas je ne bougerai pas tant que mon « non » ne lui est pas monté au cerveau. Je suis campée sur mes positions, je reste fidèle à mes idéologies mais ce n'est pas pour autant que je suis fermée d'esprit. Quelqu'un peut me montrer son point de vue sur une question, je l'écouterai et resterai ouverte ; comprendre un point de vue n'est cependant pas l'adopter comme un lézard. Je suis et resterai intègre et, malheureusement pour vous, je suis quelqu'un de tenace qui n'abandonne pas facilement.
- Nonchalance. Je manque cruellement de vivacité et d'énergie. Cela se traduit dans mes gestes par une lenteur naturelle, et cela se voit dans ma façon d'agir ou de répondre. Je ne me fiche pas de ce qu'on me dit, je ne suis pas sans émotions, j'ai ma manière de réagir. La nuance est de taille. Il n'y a que lorsque j'enseigne quelque chose ou que je suis en train de fabriquer un objet en verre que j'ai un peu plus d'entrain, et encore. Si quelqu'un m'attaque ? Je ne réagis pas, Yon est toujours dans le coin et il fait faire dodo à mes agresseurs.
- Bonne mémoire. Ma synesthésie musicale me confère une excellente vue et ouïe, j'ai aussi hérité du bon sens olfactif familial. Pour ces trois sens, j'ai une excellente mémoire. Ce que je vois, que je sens ( par le nez ) et que j'entends, je le retiens. Ça ne fait pas de moi quelqu'un de rancunier. J'ai simplement une bonne mémoire.
- Bon fond. J'ai beau paraître très terre à terre avec mon réalisme, je ne suis pas dénouée d'humour pour autant. Je suis très calme et patiente, je ne laisse pas mes sentiments ou mes émotions me dicter ma conduite. Contrairement à ce que je peux laisser penser, je ne laisserai jamais quelqu'un blessé seul. Excepté s'il est tombé par terre et qu'il n'a rien mais qu'il chouine parce qu'il est tombé.
Ce qui se passe dans ma tête
Chapitre I : Enfance
Je suis dans les montagnes avec ma mère, elle m'apprend à reconnaître les bonnes herbes médicinales ainsi que les précautions à prendre pour les cueillir. La semaine dernière, elle m'avait montré une herbe, plutôt sèche, et m'avait dit qu'il fallait l'arracher lentement pour pouvoir garder les racines. Cette herbe est en face de moi, et je me contente de la fixer, accroupie.
- Liyah ?
La voix de ma mère a une couleur douce, un vert feuille des palmiers apaisant. C'est agréable. Je regarde l'herbe et la prends de mes deux mains pour essayer de l'arracher lentement. Un pli de concentration sur mon front se forme. J'ai l'impression que cette herbe va s'arracher à tout moment. Je plisse les yeux et je m'arrête, grattant autour de l'herbe pour me faciliter la tâche. La terre dans les montagnes est plutôt dure et je toise l'herbe avec une lueur de défi.
- Liyah, tu m'écoutes... ?
J'attrape une roche et m'apprête à creuser tout autour... mais encore une fois, je m'arrête. Et si je cassais les racines sans le vouloir ? Je pose la roche à côté de moi, reprends l'herbe à deux mains et tire lentement avec soin. Une minute après, l'herbe en main, je me tourne vers ma mère et lui montre l'herbe et ses racines, avec ma nonchalance habituelle.
- Je t'ai écoutée. J'ai juste reconnu une herbe que tu m'avais montrée, je voulais essayer de la cueillir moi-même. Pardon.
Ma mère soupire un peu en souriant légèrement. Elle ramasse ma petite saccoche, me la tend et se remet à parler de sa voix douce.
- Tu as eu les bons réflexes. Ranges cette herbe à sa place dans sa saccoche. Si tu voulais les cueillir avec moi, il fallait le dire tu sais... ?
- Je préfère te regarder d'abord. Je peux commettre des erreurs et mal cueillir sinon.
Ma mère sourit et pose une main sur ma tête en la tapotant gentiment. Je range l'herbe et ses racines dans ma saccoche. C'est à partir de ce moment-là qu'elle s'est mise à tout m'expliquer, me montrant une fois comment faire et me laissant mettre ce qu'elle dit en pratique ensuite. J'aime beaucoup la voix de ma mère. Calme, douce, jamais forte. C'est apaisant. C'est reposant, aussi.
Aaliyah a cinq/six ans, ici.
Chapitre II : Adolescence
- Liyah ! Tu m'aides à façonner une gazelle ?
- J'arrive.
La voix de mon père est plus forte que celle de ma mère, plus rude, mais elle a une couleur chargée de signification. Un mélange entre le marron rocheux et le doré du sable. J'aime bien cette couleur, même si je préfèrerai que mon père parle moins fort. La couleur de sa voix est trop dense quand il hausse le ton et c'est dérangeant.
Une fois arrivé dans l'atelier de mon père, qui se situe sous terre ( à l'endroit où on passe nos Saisons des Tempêtes ), je m'attèle immédiatement à la tâche. Avec une grande minutie, je sors le verre encore chaud du four, j'attends quelques instants avant de commencer à façonner une gazelle. Philein est là, avec le petit dernier de quatre ans, Waël.
Waël court un peu partout, sautille, veut me prendre les outils des mains pour tout faire à ma place. Absorbée par ce que je fais, je l'ignore et reste concentrée. Quelques heures plus tard, après avoir bien soufflé le verre et l'avoir moulé, le verre s'est refroidi et je le retire du moule. Ce n'est qu'à ce moment-là que je me tourne vers mon plus jeune frère et que je m'accroupis pour être à sa taille.
- Il faut que tu sois patient, Waël. Ce n'est pas en courant partout que tu apprendras comment faire, il faut d'abord que tu regardes comment papa fait en lui posant des questions quand tu ne comprends pas.
- Pourquoi papa ne m'apprend pas ?
- Parce qu'il ne peut enseigner à Philein et à toi en même temps.
- Pourquoi tu ne m'apprends pas, alors ?
- Parce que tu ne me l'as pas demandé, Waël.
Mon petit frère me regarde avec des yeux brillants et un petit sourire naît sur mes lèvres. Je tourne la tête vers papa qui hôche la tête et dit seulement à mon petit frère.
- Tu dois écouter Liyah, d'accord Waël ? Mais pour l'instant, il faut qu'on aille manger.
Aaliyah a onze/douze ans.
Chapitre III : Adulte.
C'est ma Cérémonie de passage à l'âge adulte. Les guerres font ravage depuis un moment, à croire que les citadins n'ont pas compris comment survivre dans le désert d'Agartha. À faire les malins comme ils le font, ils risquent de tout perdre. S'entretuer pour augmenter ses apports en eau et en nourriture est puéril. Et s'ils ne connaissent pas le désert, ils sont les seuls à blâmer, ils ne cherchent pas à le connaître. Enfin, je peux m'estimer heureuse il n'y a pas de bruits en cette fraîche soirée.
Le Doyen du Clan s'avance vers moi, je suis au centre d'un cercle formé par les Favoris de la Gazelle, il se racle la gorge et déclare juste après.
- Aaliyah. Tu ne rechignes jamais à enseigner ton savoir aux autres membres de ta famille, au Clan. Tu le fais avec un rare entrain, même, et toujours avec une rare bonne humeur., dit-il, marquant une pause avec un sourire en coin. Ceux qui me connaissent ont un peu rigolé, ou souri. Même si nous savons tous que tu es une femme, ton corps et ton caractère peuvent parfois faire douter ceux qui ne te connaissent pas. Et c'est pour cela, Aaliyah, que tu seras aussi Fael « celui ou celle qui enseigne ».
Je souris, m'incline et le remercie. Je repars m'asseoir et regarde d'autres personnes du Clan avoir leur Cérémonie. La couleur de la voix du Doyen est étrange. Pleine de vie, claire, mais aussi pleine d'espoir. Une couleur qui impose respect et douceur. Un bleu ciel qui, sans être apaisant, incite à la paix intérieure. Je lève la tête vers les étoiles lorsque toutes les Cérémonies sont achevées quand, soudainement, tous les Anciens se rassemblent autour du Doyen. Pour une fois nous allons tous nous retirer dans le Sanctuaire de la Gazelle pour prier, Lui demander de nous accorder un long sommeil et de nous réveiller quand les guerres auront cessé.
Avant de partir, je plisse les yeux et regarde autour de moi. Quand nous défaisons tous nos tentes, je prends un bracelet en perles de verre plus bleutées que transparentes et le passe à mon poignet. Mes parents, qui ont vu mon geste, hôchent la tête et sourient pour approuver mon choix. Je me rends alors dans le Sanctuaire avec tout le Clan, et au fil de la prière, mes paupières se ferment.
Aaliyah a 18 ans.
***
Cela fait sept ans maintenant que je me suis réveillée. Je suis accompagnée par un militaire de 1400, que je connais depuis que je me suis réveillée du Grand Sommeil. Je suis actuellement sur le dos de Yon, un Oryx qui marche au bord de l'oasis pour être à l'ombre des palmiers. Je sais déjà vers où il m'emmène, je m'y suis préparée. Le militaire, en tenue de civil, me suit tout en me parlant de ses journées.
- Et donc, quand je suis rentré dans ma maison...
- ... tu as reçu un appel de ton Lieutenant ?
- Du tout ! Noël approche, et j'avais envie que tu voies la neige. Tu nous emmènes où, exactement ?
- Nulle part, c'est Yon qui guide.
Il sourit, taquin, et me regarde en marchant à côté de moi. Il a la voix d'un rouge un peu délavé, je ne saurais décrire la couleur de sa voix. Je l'aime, en tous cas.
- Excusez-moi, votre Altesse. Sa Majesté Yon nous emmène où ?
- À son troupeau, je pense.
- Troup-... Dans le désert ?
- Agartha n'est pas dépourvu d'animaux à l'état sauvage, tu sais ?
Yon ralentit le pas et je prends sa corne pour me poser doucement au sol. Je regarde mon ami, flatte son encolure et le laisse s'allonger à l'ombre. Le militaire, nommé Lyunn, manque de s'exclamer en voyant le troupeau d'Oryx. Je pose ma main sur ses lèvres pour lui intimer de se taire.
- Ne cries pas, tu vas les effrayer. Ils sont dangereux quand ils paniquent. Reste là tant que tu n'es pas calmé.
Je vais lentement vers le troupeau, chaque Oryx redressant la tête en me voyant approcher, mais ils continuent leur sieste quand ils comprennent que je n'ai pas de mauvaise intention ou quand certains d'entre eux me reconnaissent. Je les regarde et je soigne les Oryx qui sont blessés. Lentement, sans gestes brusques, après avoir eu leur consentement. Loin de moi l'envie de me faire embrocher par deux cornes, s'ils ne veulent pas de mon aide ça veut dire qu'ils peuvent encore se débrouiller sans aide extérieure. Là-dessus, les Oryx sont beaucoup plus honnêtes que les humains et leur fierté, même si elle est compréhensible en un sens.
Une fois que c'est fait, je retourne vers Lyunn qui me prend dans ses bras et m'embrasse. Je souffle un peu pour le taquiner mais je lui rends son baiser.
- Tu as voulu m'offrir ton cadeau de noël à l'avance ?
- ... En quel honneur ?
- C'est magnifique.
Je souris et me baisse vers Yon pour lui murmurer à l'oreille.
- Yon, t'as entendu ? Il te remercie du cadeau que tu lui as offert.
Yon lève la tête vers moi et émet un léger bruit, puis il s'endort à nouveau. Je rigole un peu mais je ne m'attends pas à ce que Lyunn me prenne dans ses bras et me soulève du sol en me serrant contre lui. Je l'embrasse et lui demande :
- ... Il ne s'est vraiment rien passé avec ton Lieutenant ?
- Si. Des Mad Storm sont tombés sur nous pendant qu'on pourchassait des Adorateurs du Scorpion ce matin.
- ... Vous avez attaqué les Mad Storm... ?
- On s'est surtout défendu des Mad Storm. C'est le Lieutenant Reeds qui a fait quasiment tout le boulot à lui seul.
- Demandez-leur la permission avant de les tuer, au moins votre esprit ne sera pas torturé...
- Hein ? Mon esprit n'a pas été affecté par ç-...
- Mensonge.
- Mensonge ?
- Mensonge. Tu m'as prise dans tes bras de peur que je m'enfuie en apprenant que tu as tué, non ? Tu m'as dit que tu as tué des Mad Storm pour te protéger, ça ne fait pas de toi un criminel.
Lyunn me regarde et m'embrasse. Je lui réponds et je descelle nos lèvres pour sécher ses larmes. Pas de bruit de sanglots. Je plisse les yeux et pose mes pieds au sol, sans briser notre étreinte.
- Comment peux-tu être aussi détachée ? Pour me protéger ou pas, je n'ai pas à tuer quelqu'un.
- Tu aurais préféré mourir ? Tu n'aurais pas eu de regrets ?
- Non pour les deux, évidemment que j'aurais eu des regrets ! C'est bien pour protéger les êtres humains en général et 1400 que j'ai choisi l'Armée de l'Air ! Tu le sais très bien !
- Alors tu as bien fait de te protéger en plus d'avoir fait ton boulot et d'être resté intègre. Point barre.
Lyunn me fixe et dépose sa tête sur mon épaule, en me serrant davantage contre lui. Je pose une main sur sa tête, en douceur, et je l'amène à s'asseoir contre le flanc découvert de Yon. L'Oryx redresse brusquement la tête mais, en voyant que c'est nous, il se rendort aussitôt. Lyunn pleure toujours en silence sur mon épaule.
Je le laisse pleurer.
Aaliyah a 25 ans.
L'histoire de ma vie
C'est un Oryx mâle, mesurant un mètre vingt au garrot. La longueur de son corps est de un mètre soixante-dix-huit pour approximativement deux cents kilogrammes. Il possède deux grandes cornes, droites, sur la tête. Il change de nom tous les ans, en fonction de son âge. En ce moment il a quatre ans et s'appelle Yon. Je l'ai rencontré bébé, il s'est attaché à moi, je l'ai gardé. Il a vite grandi. Je suis toujours impressionnée de voir qu'il se nourrit surtout d'herbe sèche et de racines mais qu'il ne boit pas beaucoup. S'il peut éviter les rayons du soleil il les évite, mais il n'est jamais bien loin de là où je suis. Quand je me déplace, je suis souvent sur son dos. Je l'aime bien et ça a l'air d'être réciproque. De temps à autres, une fois par semaine le plus souvent, il m'emmène voir son troupeau.
Yon
HRP
Dans la réalité je suis...
► Pseudo(s) fréquent(s): Glass. Miaou/meow marche aussi.
► Tu as quel âge? L'âge de mon lapin en peluche.
► Tu nous as trouvé où ? C'est lui *désigne son lapin en peluche* qui m'a dit où vous étiez.
► Est-ce que c'est ta première inscription sur un forum RPG? ... Non.
► Comment tu trouves le forum? Très bien, sinon j'serais pas ici eh.
► T'as un autre compte? Lequel? Je ne vois pas de quoi vous voulez parler.
► T'as pas un truc à nous dire hein? Oh voyons, bien sûr que non... *sort une tonne de parchemins*
► Code du règlement: Tué par Hafsa qui n'avait que ça à faire.
► Tu as quel âge? L'âge de mon lapin en peluche.
► Tu nous as trouvé où ? C'est lui *désigne son lapin en peluche* qui m'a dit où vous étiez.
► Est-ce que c'est ta première inscription sur un forum RPG? ... Non.
► Comment tu trouves le forum? Très bien, sinon j'serais pas ici eh.
► T'as un autre compte? Lequel? Je ne vois pas de quoi vous voulez parler.
► T'as pas un truc à nous dire hein? Oh voyons, bien sûr que non... *sort une tonne de parchemins*
► Code du règlement: Tué par Hafsa qui n'avait que ça à faire.
Code de Frosty Blue de Never Utopia
Dernière édition par Aaliyah Noori le Mar 5 Jan - 18:44, édité 22 fois