Lorsqu'on a une journée de repos, on en profite. Et c'est que Néo décide de faire en ce beau jour ensoleillé. Il se prépare pour une promenade dans le désert, autour de l'Oasis. Prenant de quoi boire et manger.
Il enfile sa bonne vieille veste en cuir, range son collier de l'armée sous son t-shirt préféré, le noir et jaune, (ou jaune et noir comme vous voulez, mais Néo préfère noir et jaune.)., il "coiffe" ses cheveux blonds d'un coup de brosse, les rendant ainsi plus ébouriffé encore que s'il s'était fait explosez un pétard dans sa chevelure. Il ajuste sa veste, positionne sa plume au bon endroit et sort, fermant son appart à clé, cela va de soi.
Il fait signe à ses voisins d'un sourire amical et ils lui rendent avec chaleur
- Bonjour Néo ! cela fait longtemps dit moi ! Tu étais passé où ?
-Salut Bonnie ! Je patrouillais en ville et je dormais chez un collègue.
-Il y ont eu des soucis ?
-Un peu. Rien de grave. La police avait juste besoin de mes talents !
Il se met à rire, d'un rire franc est rassurant et elle rit avec lui.
-Très bien ! passe une bonne journée ! fait attention à toi.
-Toujours ma belle !
Un clin d'oeil fait rougir la jeune femme qui rentre aussitôt. Néo souris et part. L'absence de son sniper était étrange mais si soulageant. Il avait quand même un couteau, au cas où. On ne sait jamais du côté désertique ce qui pourrait se passer.
En chemin, il sifflote, laissant à son passage une fine mélodie que personne n'entend, trop
pressé par leurs occupations pour écouter quoi que se soit. Une petite fille par contre le remarque et semble fascinée. Il lui sourit et s'approche d'elle.
-Bonjour jeune demoiselle.
-Bonjour, monsieur.. Puis-je voir la plume...
-Bien sûr, tiens.
Il retire son collier et le pose dans les petites mains de la fillette.
-Elle est magnifique...
-c'est un cadeau de ma petite soeur.
Elle le rend et lui sourit en murmurant de la garder précieusement avant de filée. Il la regarde disparaître, remet son bijou et souris avant de reprendre son chemin.
Arrivé à l'entrée du désert, Néo chantonne encore. Il est heureux et serein. Il ne se doute pas de la rencontre qu'il va faire plus tard..
Ses pieds ballaient le sable, faisant de la poussière. Il marche le long de l'Oasis sans but ni rien. Il est tout sourire, les mains dans les poches de son jean noir, une toute fine brise vient jouer dans ses cheveux. Oui. Il est heureux. Heureux d'être vie, heureux de faire partie de l'armée de terre, heureux de pouvoir respirer.
C'est alors qu'un petit cri l'arrête. Près d'un palmier, une chose sombre essaie de bouger. En s'approchant lentement, Néo comprend alors que c'est un jeune aigle. Si Néo se souvient bien, c'est un Aquila Fasciata. Il a l'air blessé... Néo s'arcroupi et l'examine sans le toucher. Une de ses ailes forme un mauvais angle et dessous une tache rouge. Blessure. Il respire, c'est le principal.
-Je dois le soigner ! Mais comment ?
Néo prend délicatement l'oiseau dans ses mains et fait chemin arrière. Il court, traverse la ville, bousculant des passants et reçoit des flopées d'injures, mais ne ralentit pas. Il fonce au laboratoire. Sans ralentir, il ouvre les portes à la volée et rentre, toujours avec la même allure. Dans les couloirs, les gens l'insulte aussi en, s'écartant pour ne pas se faire accrocher quand.. BOUM !
Sonné, le jeune militaire ne pige pas ce qui vient de ce passé. C'est alors qu'une masse rose apparaît dans son champ de vision. Croyant délirer, il ferme les yeux et les rouvre. La masse rose est toujours là mais cette fois, elle entoure un visage ..
-Je cherche un vétérinaire pour cet aigle... S'il vous plaît.. Ou puis-je.. Sa voix se brise, et Néo observe l'homme à l'étrange chevelure.
Il enfile sa bonne vieille veste en cuir, range son collier de l'armée sous son t-shirt préféré, le noir et jaune, (ou jaune et noir comme vous voulez, mais Néo préfère noir et jaune.)., il "coiffe" ses cheveux blonds d'un coup de brosse, les rendant ainsi plus ébouriffé encore que s'il s'était fait explosez un pétard dans sa chevelure. Il ajuste sa veste, positionne sa plume au bon endroit et sort, fermant son appart à clé, cela va de soi.
Il fait signe à ses voisins d'un sourire amical et ils lui rendent avec chaleur
- Bonjour Néo ! cela fait longtemps dit moi ! Tu étais passé où ?
-Salut Bonnie ! Je patrouillais en ville et je dormais chez un collègue.
-Il y ont eu des soucis ?
-Un peu. Rien de grave. La police avait juste besoin de mes talents !
Il se met à rire, d'un rire franc est rassurant et elle rit avec lui.
-Très bien ! passe une bonne journée ! fait attention à toi.
-Toujours ma belle !
Un clin d'oeil fait rougir la jeune femme qui rentre aussitôt. Néo souris et part. L'absence de son sniper était étrange mais si soulageant. Il avait quand même un couteau, au cas où. On ne sait jamais du côté désertique ce qui pourrait se passer.
En chemin, il sifflote, laissant à son passage une fine mélodie que personne n'entend, trop
pressé par leurs occupations pour écouter quoi que se soit. Une petite fille par contre le remarque et semble fascinée. Il lui sourit et s'approche d'elle.
-Bonjour jeune demoiselle.
-Bonjour, monsieur.. Puis-je voir la plume...
-Bien sûr, tiens.
Il retire son collier et le pose dans les petites mains de la fillette.
-Elle est magnifique...
-c'est un cadeau de ma petite soeur.
Elle le rend et lui sourit en murmurant de la garder précieusement avant de filée. Il la regarde disparaître, remet son bijou et souris avant de reprendre son chemin.
Arrivé à l'entrée du désert, Néo chantonne encore. Il est heureux et serein. Il ne se doute pas de la rencontre qu'il va faire plus tard..
Ses pieds ballaient le sable, faisant de la poussière. Il marche le long de l'Oasis sans but ni rien. Il est tout sourire, les mains dans les poches de son jean noir, une toute fine brise vient jouer dans ses cheveux. Oui. Il est heureux. Heureux d'être vie, heureux de faire partie de l'armée de terre, heureux de pouvoir respirer.
C'est alors qu'un petit cri l'arrête. Près d'un palmier, une chose sombre essaie de bouger. En s'approchant lentement, Néo comprend alors que c'est un jeune aigle. Si Néo se souvient bien, c'est un Aquila Fasciata. Il a l'air blessé... Néo s'arcroupi et l'examine sans le toucher. Une de ses ailes forme un mauvais angle et dessous une tache rouge. Blessure. Il respire, c'est le principal.
-Je dois le soigner ! Mais comment ?
Néo prend délicatement l'oiseau dans ses mains et fait chemin arrière. Il court, traverse la ville, bousculant des passants et reçoit des flopées d'injures, mais ne ralentit pas. Il fonce au laboratoire. Sans ralentir, il ouvre les portes à la volée et rentre, toujours avec la même allure. Dans les couloirs, les gens l'insulte aussi en, s'écartant pour ne pas se faire accrocher quand.. BOUM !
Sonné, le jeune militaire ne pige pas ce qui vient de ce passé. C'est alors qu'une masse rose apparaît dans son champ de vision. Croyant délirer, il ferme les yeux et les rouvre. La masse rose est toujours là mais cette fois, elle entoure un visage ..
-Je cherche un vétérinaire pour cet aigle... S'il vous plaît.. Ou puis-je.. Sa voix se brise, et Néo observe l'homme à l'étrange chevelure.