Je suis pas encore validée mais bah... J'ai eu le Seal of Approval de Matt alors autant partager. Ce sont juste des passages, parce que j'adore Milane et Valora (surtout Milane, c'est mon amour de ma vie), et que voilà.
On sent l'influence Pierre Bottero, OUI. J'ASSUME. J'AIME ELLANA. (Ca se voit pas, j'crois.)
Premier extrait :
Valora est la fille de Milane. C'est tiré d'un truc que j'ai commencé à écrire sur un voyage qu'elle a entamé pour aller retrouver son mentor, qui est parti... Comme un voleur en fait.
Valora fît tout doucement rouler ses yeux. Non convaincue de la façon dont elle devait décrire sa mère, elle s'accorda quelques secondes pour chercher, dans le silence, un quelconque moyen de comprendre elle-même ce que Milane lui inspirait.
Respect. Fascination. Amour infini.
Sa mère était un modèle qu'elle suivait de loin, sans jamais avoir l'impression de réellement s'en approcher. Là où Valora s'effondrait, Milane contournait les obstacles avec une aisance presque déconcertante, toute de finesse et de légèreté. Là où Valora se perdait, Milane se riait des lois, jouait avec le vent et n'écoutait que son cœur pour avancer. Elle était le jour et la nuit, l'ombre qui engloutissait la lumière et pourtant, aucune part de mal ne régnait en elle.
- Elle est, avec mon père, la définition parfaite de l'équilibre. Elle est belle, très belle même. Je lui ressemble beaucoup et pourtant, j'ai l'impression que je ne pourrais jamais l'égaler. Parce qu'en plus d'être belle, elle est forte et sage, insaisissable comme un rêve et malicieuse comme le vent. J'ai cherché les défauts en elle, une fois, et je cherche encore pour tout t'avouer. Elle en a, évidemment, elle est humaine mais elle brille si fort que c'est comme si que tout ce qu'elle faisait avait un sens. Même lorsqu'elle éclate juste de rire, toute seule, au beau milieu de la cuisine.
Deuxième extrait :
Duncan et le meilleur ami de Milane et accessoirement l'une des personnes que Valora respecte le plus. No comment, je suis très inspirée pour les noms ok.
Duncan et Milane. Milane et Duncan. Ils n’étaient rien de plus que deux collègues, deux amis, deux êtres qui n’avaient pas besoin de mots pour se parler. Ils étaient de ceux qu’on appelait « âmes sœurs » sans pour autant s’aimer. Il était la force, elle était la liberté. Deux insaisissables qui s’accordaient et donnaient les teintes chatoyantes de leur relation qui ne manquait pas de jeter ses couleurs aux yeux de ceux qui les entouraient.
- Me permettrais-tu de te faire part d’une remarque que tu jugeras sûrement désobligeante ?
- Je ne pense pas que mon désaccord t’empêcherait de la formuler.
- C’est vrai.
Il se pencha sur elle, imposant de son mètre quatre-vingt, puis reprit :
- Tu devrais surveiller ta ligne, Milane. Mon petit doigt me dit que tu as tendance à faire preuve de beaucoup de gourmandise, dernièrement.
Elle bougonna.
- Quel humour, vraiment !
- Je t’avais prévenue.
- Qui voile une tentative grotesque de me faire savoir que tu l’as remarqué. Depuis quand ?
- Depuis le début, Milane. Il est visible à qui sait regarder.
Elle ne dît rien de plus. Doucement, l’une de ses mains se posa contre la courbe légèrement prononcée de son ventre et elle se surprît à sourire au monde. Un sourire heureux mais discret. Pas assez discret pour échapper à Duncan.
Troisième extrait :
Et ça, c'est c'que Milane a dit à Valora quand elle avait... À peu près seize ans.
« J'étais comme toi, à ton âge. Insolente et persuadée de tout savoir mieux que n'importe qui. Obstinée et amoureuse d'une liberté que je pensais posséder. Sans comprendre qu'elle était comme l'amour, et le destin. Insaisissable et imprévisible. Lorsque je l'ai compris, à défaut de vouloir m'emparer d'une chose qui ne serait jamais mienne, j'ai décidé de la vivre. Je la vis encore aujourd'hui. Ceux qui ne savent voir diront que je suis enchaînée à mon mariage et à ma fille. Et pourtant, maintenant plus que jamais, Valora, j'ai l'impression d'être plus libre que n'importe quelle personne ayant croisé ma route au cours de mes nombreux voyages. J'avais peur lorsque tu es partie, la première fois. Mais tu es notre fille à Wedge et à moi. Et lorsque tu le comprendras, rien ne saura t'arrêter. Rien ne saura t'enchaîner. Pas même cette noirceur dans ton cœur qui te pousse à chercher à nous égaler. Tu n'as rien à nous envier, parce que je suis sûre que tes exploits dépasseront de loin les nôtres. Il n'y a aucune limite à un cœur qui veut avancer. La seule limite que tu t'imposes est celle de vouloir me ressembler. »
Voilààà, je suis loin du niveau de beaucoup de grands auteurs. (Et vachement loin de la plume de Pierre Bottero, mais je vous le partage quand même.
Enjoie, bisous. ♥
On sent l'influence Pierre Bottero, OUI. J'ASSUME. J'AIME ELLANA. (Ca se voit pas, j'crois.)
Premier extrait :
Valora est la fille de Milane. C'est tiré d'un truc que j'ai commencé à écrire sur un voyage qu'elle a entamé pour aller retrouver son mentor, qui est parti... Comme un voleur en fait.
Valora fît tout doucement rouler ses yeux. Non convaincue de la façon dont elle devait décrire sa mère, elle s'accorda quelques secondes pour chercher, dans le silence, un quelconque moyen de comprendre elle-même ce que Milane lui inspirait.
Respect. Fascination. Amour infini.
Sa mère était un modèle qu'elle suivait de loin, sans jamais avoir l'impression de réellement s'en approcher. Là où Valora s'effondrait, Milane contournait les obstacles avec une aisance presque déconcertante, toute de finesse et de légèreté. Là où Valora se perdait, Milane se riait des lois, jouait avec le vent et n'écoutait que son cœur pour avancer. Elle était le jour et la nuit, l'ombre qui engloutissait la lumière et pourtant, aucune part de mal ne régnait en elle.
- Elle est, avec mon père, la définition parfaite de l'équilibre. Elle est belle, très belle même. Je lui ressemble beaucoup et pourtant, j'ai l'impression que je ne pourrais jamais l'égaler. Parce qu'en plus d'être belle, elle est forte et sage, insaisissable comme un rêve et malicieuse comme le vent. J'ai cherché les défauts en elle, une fois, et je cherche encore pour tout t'avouer. Elle en a, évidemment, elle est humaine mais elle brille si fort que c'est comme si que tout ce qu'elle faisait avait un sens. Même lorsqu'elle éclate juste de rire, toute seule, au beau milieu de la cuisine.
Deuxième extrait :
Duncan et le meilleur ami de Milane et accessoirement l'une des personnes que Valora respecte le plus. No comment, je suis très inspirée pour les noms ok.
Duncan et Milane. Milane et Duncan. Ils n’étaient rien de plus que deux collègues, deux amis, deux êtres qui n’avaient pas besoin de mots pour se parler. Ils étaient de ceux qu’on appelait « âmes sœurs » sans pour autant s’aimer. Il était la force, elle était la liberté. Deux insaisissables qui s’accordaient et donnaient les teintes chatoyantes de leur relation qui ne manquait pas de jeter ses couleurs aux yeux de ceux qui les entouraient.
- Me permettrais-tu de te faire part d’une remarque que tu jugeras sûrement désobligeante ?
- Je ne pense pas que mon désaccord t’empêcherait de la formuler.
- C’est vrai.
Il se pencha sur elle, imposant de son mètre quatre-vingt, puis reprit :
- Tu devrais surveiller ta ligne, Milane. Mon petit doigt me dit que tu as tendance à faire preuve de beaucoup de gourmandise, dernièrement.
Elle bougonna.
- Quel humour, vraiment !
- Je t’avais prévenue.
- Qui voile une tentative grotesque de me faire savoir que tu l’as remarqué. Depuis quand ?
- Depuis le début, Milane. Il est visible à qui sait regarder.
Elle ne dît rien de plus. Doucement, l’une de ses mains se posa contre la courbe légèrement prononcée de son ventre et elle se surprît à sourire au monde. Un sourire heureux mais discret. Pas assez discret pour échapper à Duncan.
Troisième extrait :
Et ça, c'est c'que Milane a dit à Valora quand elle avait... À peu près seize ans.
« J'étais comme toi, à ton âge. Insolente et persuadée de tout savoir mieux que n'importe qui. Obstinée et amoureuse d'une liberté que je pensais posséder. Sans comprendre qu'elle était comme l'amour, et le destin. Insaisissable et imprévisible. Lorsque je l'ai compris, à défaut de vouloir m'emparer d'une chose qui ne serait jamais mienne, j'ai décidé de la vivre. Je la vis encore aujourd'hui. Ceux qui ne savent voir diront que je suis enchaînée à mon mariage et à ma fille. Et pourtant, maintenant plus que jamais, Valora, j'ai l'impression d'être plus libre que n'importe quelle personne ayant croisé ma route au cours de mes nombreux voyages. J'avais peur lorsque tu es partie, la première fois. Mais tu es notre fille à Wedge et à moi. Et lorsque tu le comprendras, rien ne saura t'arrêter. Rien ne saura t'enchaîner. Pas même cette noirceur dans ton cœur qui te pousse à chercher à nous égaler. Tu n'as rien à nous envier, parce que je suis sûre que tes exploits dépasseront de loin les nôtres. Il n'y a aucune limite à un cœur qui veut avancer. La seule limite que tu t'imposes est celle de vouloir me ressembler. »
Voilààà, je suis loin du niveau de beaucoup de grands auteurs. (Et vachement loin de la plume de Pierre Bottero, mais je vous le partage quand même.
Enjoie, bisous. ♥