Akmar Ihsan Rezki
Fais attention à toi, ta santé, c'est important
Kuroko Tetsuya || Kuroko no basket
"Mon nom est Rezki Akmar Ihsan et je suis un garçon biologiquement parlant de 20 ans. Je suis bisexuel et je suis actuellement libre comme l'air (célibataire). Mon principal défaut est mon manque d'égard pour ma santé et ma qualité majeure est ma générosité."
► Nomade ou Citadin? Nomade ( Favori de la Gazelle )
► Le Groupe: Exode
► Taille: 1m74
► Poids: 69 Kg
► Arme: son sourire?
► Famille: Un petit frère et une maman
► Date de Naissance: Soleil couchant, léger vent, temps sec
► Emploi: Guérisseur
J'ai les cheveux bleu clair, je ne sais plus trop pourquoi ils sont comme ça, peut-être ont-ils été plus sombres que ça lors de ma naissance. Ce qui est assez drôle vu qu'ils ont plus ou moins la même teinte que le ciel quand le soleil le traverse. En parlant de l'astre du jour, j'ai la peau pâle à force de donner mon sang à tort et à travers ; je suis devenu plus clair. Je ne me souviens pas exactement à quelle période le bronzage naturel que j'ai a fini par quitter mon corps, et ce, définitivement. Tout ce que je dois faire à cause de cette peau, c'est me couvrir plus contre l'étoile unique qui éclaire nos journées. Je porte d'ailleurs régulièrement quelque chose sur la tête, un turban ou une autre pièce de tissu qui masque un peu ma chevelure qui est assez courte, bien que certaines mèches viennent me chatouiller le cou.
Pour mes vêtements, j'aime les choses simples, je n'aime pas me prendre la tête. J'essaye quand même d'être présentable. Pas sûr que mes patients apprécient un guérisseur débraillé. Pour ma corpulence, je suis assez maigre, même si je suis quand même un peu musclé. Marcher et s'occuper des malades ça sculpte un peu un corps. Je ne suis pas le plus musclé des guérisseurs. Mais assez pour tenir certains patients que mon calme n'arrive pas à apaiser.
Mais je pense que, malgré mes cheveux et mes yeux bleus, je n'ai pas grand chose de particulier. Je suis un nomade assez ordinaire. Je ne souhaite pas vraiment me démarquer. Si bien qu'il m'arrive de surprendre les gens quand je les approche. Tant que je ne leur fais pas avoir des attaques, ça va.
Pour mes vêtements, j'aime les choses simples, je n'aime pas me prendre la tête. J'essaye quand même d'être présentable. Pas sûr que mes patients apprécient un guérisseur débraillé. Pour ma corpulence, je suis assez maigre, même si je suis quand même un peu musclé. Marcher et s'occuper des malades ça sculpte un peu un corps. Je ne suis pas le plus musclé des guérisseurs. Mais assez pour tenir certains patients que mon calme n'arrive pas à apaiser.
Mais je pense que, malgré mes cheveux et mes yeux bleus, je n'ai pas grand chose de particulier. Je suis un nomade assez ordinaire. Je ne souhaite pas vraiment me démarquer. Si bien qu'il m'arrive de surprendre les gens quand je les approche. Tant que je ne leur fais pas avoir des attaques, ça va.
Je ressemble à ça...
Je n'aime pas voir les gens souffrir, du coup, je suis souvent le premier à aider mon prochain. Souvent, en m'oubliant, enfin, c'est ce que dit ma maman. Elle est sûrement trop protectrice. Comme pas mal de mamans. Je ne peux pas lui en vouloir pour ça, c'est une femme adorable, même si elle n'aime pas comment je vis. Elle déplore tellement mon manque de considération envers ma santé. À force de donner, je suis un peu fragile. Ce qui crée des cris dès que j'éternue ou que je tombe malade. Ce qui est tout même assez régulier, la pauvre. Je l'aime, ma maman, mais je n'ai pas envie de changer ma façon de vivre. Je suis têtu sur ce point. Rendre le sourire à une personne qui ne va pas bien est une de mes priorités.
Je n'aime pas vraiment la violence, je suis même quelqu'un de doux. On dit souvent qu'on peut me faire confiance. Je ne trahis pas mes amis. Même si ces derniers font des erreurs, je pardonne. Ce côté de ma personnalité m'a déjà fait du mal mais ce n'est pas en devenant méchant que je pourrais les aider. Je suis devenu guérisseur pour aider le plus de monde. Je donnerai encore de mon temps et de mon sang à mes patients.
D'une nature bienveillante, je me suis souvent retrouvé à conseiller les gens. J'essaye de faire de mon mieux pour aider ces âmes perdues dans leur mental. La santé mentale a un impact sur la santé physique. L'inverse aussi, même si c'est ce qui se remarque le moins. Je ne suis pas le plus renseigné des hommes mais les anecdotes de mes patients, je les écoute. Je sépare ce qui est dit sur le coup de l'émotion et le reste. Même une personne dans son monde peut avoir un discours pertinent. Ce n'est pas toujours simple de défaire les nœuds de ces pensées qui semblent appartenir à un autre monde.
Je tiens beaucoup à ma maman et mon frère. Ils sont souvent ceux qui sont le plus chouchoutés par ma générosité. Mon cadet en profite un peu pour me soutirer ce qu'il désire et je n'ai pas le cœur de le lui refuser. Je préfère le voir heureux que triste. Je sais qu'il lui arrive encore de pleurer mon père. C'est pareil pour ma mère. Cette blessure se cicatrisera avec le temps. Comme celle à la surface de mes patients. J'ai bon espoir.
En bref faire le bien, c'est ma vie, ma philosophie. Je n'en démordrai pas. Même si c'est dangereux pour moi.
Je n'aime pas vraiment la violence, je suis même quelqu'un de doux. On dit souvent qu'on peut me faire confiance. Je ne trahis pas mes amis. Même si ces derniers font des erreurs, je pardonne. Ce côté de ma personnalité m'a déjà fait du mal mais ce n'est pas en devenant méchant que je pourrais les aider. Je suis devenu guérisseur pour aider le plus de monde. Je donnerai encore de mon temps et de mon sang à mes patients.
D'une nature bienveillante, je me suis souvent retrouvé à conseiller les gens. J'essaye de faire de mon mieux pour aider ces âmes perdues dans leur mental. La santé mentale a un impact sur la santé physique. L'inverse aussi, même si c'est ce qui se remarque le moins. Je ne suis pas le plus renseigné des hommes mais les anecdotes de mes patients, je les écoute. Je sépare ce qui est dit sur le coup de l'émotion et le reste. Même une personne dans son monde peut avoir un discours pertinent. Ce n'est pas toujours simple de défaire les nœuds de ces pensées qui semblent appartenir à un autre monde.
Je tiens beaucoup à ma maman et mon frère. Ils sont souvent ceux qui sont le plus chouchoutés par ma générosité. Mon cadet en profite un peu pour me soutirer ce qu'il désire et je n'ai pas le cœur de le lui refuser. Je préfère le voir heureux que triste. Je sais qu'il lui arrive encore de pleurer mon père. C'est pareil pour ma mère. Cette blessure se cicatrisera avec le temps. Comme celle à la surface de mes patients. J'ai bon espoir.
En bref faire le bien, c'est ma vie, ma philosophie. Je n'en démordrai pas. Même si c'est dangereux pour moi.
Ce qui se passe dans ma tête
Mon histoire commence comme tant d'autres, celle de deux êtres qui s'aiment. De cet amour naissent des tas d'enfants. C'est une histoire que l'humanité répète sans cesse.
Je ne me souviens pas de beaucoup de choses quand j'étais petit, d'après ma mère. À l'époque, elle m'a appris à partager. Et depuis, j'y suis devenu accroc. Elle dit que la première chose que j'ai donné était mon doudou. J'ai du mal à me dire que j'ai fait ça. Quand je vois les jeunes enfants tellement attaché à ces choses... Pourtant, elle n'en démord pas, donc c'est sûrement la vérité. Ma mère ment que pour les choses graves ou pour exagérer ma générosité. Je ne me souviens pas de ces histoires, j'étais si jeune. Comme si je me rappelais toutes ces fois où j'ai partagé quelque chose. Ma mère encourageait mes dons, d'ailleurs, quand j'étais plus jeune. Je ne sais pas à quel âge précisément elle commencé à dire que j'en faisais trop. C'est environ à la naissance de mon petit frère.
Il y a eu cette période, où tout le monde a dormi. Je n'arrive pas à croire qu'on ait dormi si longtemps. Si ça pouvait être un monde sans guerre, c'est l'idéal. Sauf que je me souviens gamin comme j'ai trouvé impressionnant toute cette technologie. Comment en était-on arrivé là. Mon jeune frère est plus habitué à cette dernière. Peut-être que, contrairement à moi, il n'a pas de souvenir de l'ancienne époque. Je trouve ça génial ce long sommeil mais le décalage m'est encore, par moments, difficile. Je me suis adapté à lui. Cette période restera là où elle est, c'est-à-dire dans le passé, comme mon père. C'est peut être pour ça que je parais maladroit avec la technologie.
Mon père état un homme un peu sévère mais sage, il m'a expliqué beaucoup de choses. Je garde de cet homme un excellent souvenir. Mais la mort a fini par l'enlever à notre petite famille. Il a eu moins de temps avec mon frère cadet. C'est pour ça que je suis là pour lui. Être un guide plus qu'un frère. Contrairement à moi, mon frère ne donne pas sans compter. Il est généreux à sa façon, je ne lui en veux pas. Je me souviens encore de ce jour où il est parti « rejoindre les étoiles », comme le dit parfois mon cadet. Un jour comme tant d'autres. Il me racontait une de ses histoires, je le regardais avec fascination, je me demandais souvent s'il vivait ce qu'il racontait. Il m'a toujours dit que je comprendrais quand je serai plus grand. Ces histoires, je les raconte parfois aux enfants ou aux personnes un peu stressés. Ça peut aider. Il allait revenir, ma mère avait fait un des plats dont il raffolait. Mais ce soir, il n'est pas rentré, ni les jours suivants. Bien sûr, le clan avait prévenu ma mère mais elle n'avait pas voulu les croire. Les jours qui suivaient ont été horribles. Je me souviens de ma mère malade à en mourir et mon petit frère qui demandait la présence de sa mère. Si petit. Je me suis occupé de lui avec plaisir. Calmement, j'ai aidé ma mère mais ce n'était pas toujours facile. Je crois que c'est d'elle que je tiens mon côté obstiné. Avec le recul. Je le remarque. Je lui dois beaucoup, aussi à mon père, mais ses histoires et surtout sa fin ne m'ont pas encouragé à suivre sa voie, celui de soldat. De guerrier fort et défendant le peuple.
C'est assez vite que je me suis dirigé vers le métier de guérisseur, j'étais l'apprenti d'un homme très sage. Un peu pervers sur les bords. Si bien que j'ai eu du mal avec lui au départ. Sa façon d'être n'était pas la meilleure pour moi mais il savait beaucoup de choses ; lui aussi avait un tas d'histoires mais, contrairement à mon père, ces anecdotes me font plus rire. Bien que je me souvienne que je n'étais pas si réceptif à l'époque. Trop innocent, trop naïf sûrement. Je voulais apprendre, j'ai appris. De façon pas toujours égale mais ces connaissances sont précieuses.
Je suis devenu guérisseur. Au début, je ne savais pas trop comment faire mais donner mon sang semblait la meilleure solution. J'en ai donné un peu au début mais, plus temps passait, plus j'en donnais. C'était quelque chose qui guérissant la plupart de mes patients. Ça faisait toujours plaisir d'aider. Petit à petit, les gens m'ont fait confiance, pas que pour les soigner mais aussi pour leur donner des conseils. J'en ai aidé plus d'un. J'essaye toujours de choisir les bons remèdes qu'il faut utiliser. Les histoires de mon père m'aident, ces dernières s'ajoutent à d'autres anecdotes ; celles qui sont racontées par ces gens que je sauve. Elles ne sont pas toutes à prendre au premier degré. Certaines doivent être déchiffrées.
J'ai grandi depuis que je suis né et, pourtant, le monde me paraît toujours aussi grand. La découverte de ces autres terres, recouvertes de glace, ce sable si froid qu'il en fait mal à la main, en est la preuve. Cet endroit a aussi ces mystères, comme le désert en cache sous ce sable qui s'accumule. La bataille n'est pas toujours une solution. Je préfère prendre les choses au calme et discuter. C'est pour cela que je ne possède pas d'arme. Je ne suis pas du genre à change d'avis sur quelque chose dont je suis sûr. Têtu, non juste obstiné.
Je ne me souviens pas de beaucoup de choses quand j'étais petit, d'après ma mère. À l'époque, elle m'a appris à partager. Et depuis, j'y suis devenu accroc. Elle dit que la première chose que j'ai donné était mon doudou. J'ai du mal à me dire que j'ai fait ça. Quand je vois les jeunes enfants tellement attaché à ces choses... Pourtant, elle n'en démord pas, donc c'est sûrement la vérité. Ma mère ment que pour les choses graves ou pour exagérer ma générosité. Je ne me souviens pas de ces histoires, j'étais si jeune. Comme si je me rappelais toutes ces fois où j'ai partagé quelque chose. Ma mère encourageait mes dons, d'ailleurs, quand j'étais plus jeune. Je ne sais pas à quel âge précisément elle commencé à dire que j'en faisais trop. C'est environ à la naissance de mon petit frère.
Il y a eu cette période, où tout le monde a dormi. Je n'arrive pas à croire qu'on ait dormi si longtemps. Si ça pouvait être un monde sans guerre, c'est l'idéal. Sauf que je me souviens gamin comme j'ai trouvé impressionnant toute cette technologie. Comment en était-on arrivé là. Mon jeune frère est plus habitué à cette dernière. Peut-être que, contrairement à moi, il n'a pas de souvenir de l'ancienne époque. Je trouve ça génial ce long sommeil mais le décalage m'est encore, par moments, difficile. Je me suis adapté à lui. Cette période restera là où elle est, c'est-à-dire dans le passé, comme mon père. C'est peut être pour ça que je parais maladroit avec la technologie.
Mon père état un homme un peu sévère mais sage, il m'a expliqué beaucoup de choses. Je garde de cet homme un excellent souvenir. Mais la mort a fini par l'enlever à notre petite famille. Il a eu moins de temps avec mon frère cadet. C'est pour ça que je suis là pour lui. Être un guide plus qu'un frère. Contrairement à moi, mon frère ne donne pas sans compter. Il est généreux à sa façon, je ne lui en veux pas. Je me souviens encore de ce jour où il est parti « rejoindre les étoiles », comme le dit parfois mon cadet. Un jour comme tant d'autres. Il me racontait une de ses histoires, je le regardais avec fascination, je me demandais souvent s'il vivait ce qu'il racontait. Il m'a toujours dit que je comprendrais quand je serai plus grand. Ces histoires, je les raconte parfois aux enfants ou aux personnes un peu stressés. Ça peut aider. Il allait revenir, ma mère avait fait un des plats dont il raffolait. Mais ce soir, il n'est pas rentré, ni les jours suivants. Bien sûr, le clan avait prévenu ma mère mais elle n'avait pas voulu les croire. Les jours qui suivaient ont été horribles. Je me souviens de ma mère malade à en mourir et mon petit frère qui demandait la présence de sa mère. Si petit. Je me suis occupé de lui avec plaisir. Calmement, j'ai aidé ma mère mais ce n'était pas toujours facile. Je crois que c'est d'elle que je tiens mon côté obstiné. Avec le recul. Je le remarque. Je lui dois beaucoup, aussi à mon père, mais ses histoires et surtout sa fin ne m'ont pas encouragé à suivre sa voie, celui de soldat. De guerrier fort et défendant le peuple.
C'est assez vite que je me suis dirigé vers le métier de guérisseur, j'étais l'apprenti d'un homme très sage. Un peu pervers sur les bords. Si bien que j'ai eu du mal avec lui au départ. Sa façon d'être n'était pas la meilleure pour moi mais il savait beaucoup de choses ; lui aussi avait un tas d'histoires mais, contrairement à mon père, ces anecdotes me font plus rire. Bien que je me souvienne que je n'étais pas si réceptif à l'époque. Trop innocent, trop naïf sûrement. Je voulais apprendre, j'ai appris. De façon pas toujours égale mais ces connaissances sont précieuses.
Je suis devenu guérisseur. Au début, je ne savais pas trop comment faire mais donner mon sang semblait la meilleure solution. J'en ai donné un peu au début mais, plus temps passait, plus j'en donnais. C'était quelque chose qui guérissant la plupart de mes patients. Ça faisait toujours plaisir d'aider. Petit à petit, les gens m'ont fait confiance, pas que pour les soigner mais aussi pour leur donner des conseils. J'en ai aidé plus d'un. J'essaye toujours de choisir les bons remèdes qu'il faut utiliser. Les histoires de mon père m'aident, ces dernières s'ajoutent à d'autres anecdotes ; celles qui sont racontées par ces gens que je sauve. Elles ne sont pas toutes à prendre au premier degré. Certaines doivent être déchiffrées.
J'ai grandi depuis que je suis né et, pourtant, le monde me paraît toujours aussi grand. La découverte de ces autres terres, recouvertes de glace, ce sable si froid qu'il en fait mal à la main, en est la preuve. Cet endroit a aussi ces mystères, comme le désert en cache sous ce sable qui s'accumule. La bataille n'est pas toujours une solution. Je préfère prendre les choses au calme et discuter. C'est pour cela que je ne possède pas d'arme. Je ne suis pas du genre à change d'avis sur quelque chose dont je suis sûr. Têtu, non juste obstiné.
L'histoire de ma vie
HRP
Dans la réalité je suis...
► Pseudo(s) fréquent(s): On m'apelle Ruru, mais vous pouvez dire Ak
► Tu as quel âge? 3 décénies
► Tu nous as trouvé où ? Partenaire
► Est-ce que c'est ta première inscription sur un forum RPG? Nope
► Comment tu trouves le forum? JOULI
► T'as un autre compte? Lequel? Nope
► T'as pas un truc à nous dire hein? PASTAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
► Code du règlement: Well done. ;p Il était bon à manger celui-là. **
► Tu as quel âge? 3 décénies
► Tu nous as trouvé où ? Partenaire
► Est-ce que c'est ta première inscription sur un forum RPG? Nope
► Comment tu trouves le forum? JOULI
► T'as un autre compte? Lequel? Nope
► T'as pas un truc à nous dire hein? PASTAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
► Code du règlement: Well done. ;p Il était bon à manger celui-là. **
Code de Frosty Blue de Never Utopia
Dernière édition par Akmar Rezki le Ven 20 Oct - 17:11, édité 7 fois