Lockheart Benjamin
j'ai qu'un seul point commun avec les emmerdes.. J'arrive toujours quand on ne m'attend pas.
Nom de l'avatar || Source
"Mon nom est Lockheart Benjamin et je suis un garçon de 21 ans. Je suis hétéro et je suis actuellement célibataire. Mon principal défaut est d'être entêté et ma qualité majeure est ma gentillesse."
► Nomade ou Citadin? Citadin ( Ancien Militaire )
► Le Groupe: La Révolution.
► Taille: 1m85
► Poids: 75,3 kg
► Arme: J'ai deux armes : vous avez le choix entre un pistolet complètement surpuissant mais dont la probabilité de fonctionnement efficace est tellement nulle que je m'en sers uniquement pour me gratter le dos, à raison d'une chance sur un million qu'il fonctionne et d'une chance sur un milliard que le recul s'annule. Car en effet, si j'arrive à tirer, mais que le recul ne s'annule pas, je me disloque à cause de la puissance déployée. Je remercie un de mes papounets de me l'avoir construit, de me l'avoir fabriqué, mais à ce niveau c'est du foutage de gueule. Et comme deuxième arme, toujours grâce à la même personne, je dispose d'une épée qui est en fait une IA de troisième génération prénommée REX (pour Recherche et Eliminations Xtrêmes) qui se charge de se battre pour moi à condition que, selon elle, je balance de bonnes punchlines.
► Famille: NON
► Date de Naissance: Inconnue
► Emploi: Sans Emploi.
Pourquoi ? Pourquoi est-ce que, bien souvent, les gens veulent connaître mon physique ? Je veux dire, il est banal. Je suis un mec physiquement banal. Et pas que physiquement, d'ailleurs, mais ça nous y reviendrons plus tard.
Pour le moment, je vais satisfaire votre curiosité exécrable. Commençons par le haut de ma tête où se trouve des cheveux châtains très foncés, presque noirs, coupés et rasés courts. Vous descendez, vous tombez sur mes yeux bleus. Ils sont bleus, je ne peux pas en dire plus... à moins ce que vous vouliez une teinte de bleu particulière mais je ne vous ferai pas ce plaisir.
Et pour ce qui est de mon apparence globale, je suis quelqu'un de grand, de plutôt large, sans forcément être extrêmement bien bâti. Disons que j'ai juste sur moi le nécessaire pour pouvoir vous filer une patate mais je ne suis pas aussi résistant qu'un tank sur jambes. Je porte souvent une tenue militaire basique et, dans la plupart des cas, c'est ainsi que vous me verrez. Sinon, j'ai pour habitude de porter une veste et des mitaines en cuir, sans doute pour le côté rebelle.
N'oublions pas, dans ce cas de figure, le jean et les rangers. Qu'est-ce que je pourrais rajouter d'autre ? J'ai un tatouage qui part de mon cou, va dans mon dos et se termine au niveau de mon avant-bras droit en s'enroulant autour de moi. Il s'agit d'un tatouage tribal quelconque que je dois à un « collègue de travail ». Je n'ai rien d'autre à dire sur mon physique.
Pour le moment, je vais satisfaire votre curiosité exécrable. Commençons par le haut de ma tête où se trouve des cheveux châtains très foncés, presque noirs, coupés et rasés courts. Vous descendez, vous tombez sur mes yeux bleus. Ils sont bleus, je ne peux pas en dire plus... à moins ce que vous vouliez une teinte de bleu particulière mais je ne vous ferai pas ce plaisir.
Et pour ce qui est de mon apparence globale, je suis quelqu'un de grand, de plutôt large, sans forcément être extrêmement bien bâti. Disons que j'ai juste sur moi le nécessaire pour pouvoir vous filer une patate mais je ne suis pas aussi résistant qu'un tank sur jambes. Je porte souvent une tenue militaire basique et, dans la plupart des cas, c'est ainsi que vous me verrez. Sinon, j'ai pour habitude de porter une veste et des mitaines en cuir, sans doute pour le côté rebelle.
N'oublions pas, dans ce cas de figure, le jean et les rangers. Qu'est-ce que je pourrais rajouter d'autre ? J'ai un tatouage qui part de mon cou, va dans mon dos et se termine au niveau de mon avant-bras droit en s'enroulant autour de moi. Il s'agit d'un tatouage tribal quelconque que je dois à un « collègue de travail ». Je n'ai rien d'autre à dire sur mon physique.
Je ressemble à ça...
Vous tenez vraiment à savoir ce qui se passe dans ma tête ? Je vous le dis de suite, c'est un bordel sans équivalent. Pourquoi ? Parce que j'ai reçu une éducation horrible. J'y reviendrai plus tard lorsque je vous raconterai mon histoire mais, pour faire simple, je suis quelqu'un de tellement compliqué et de tellement ambigu que je ne me comprends pas moi-même.
La seule chose que je sais sur moi, c'est que je suis quelqu'un de très théâtral, dans ma façon de parler, dans ma façon d'être et dans ma façon d'agir. Je suis comme un metteur en scène manipulateur qui veut que la scène qu'il joue lui-même en tant qu'acteur se déroule parfaitement. Je suis prêt à tout mettre en œuvre, pour que ce que j'imagine se réalise. Manipulation, extorsion, mensonge, et j'en passe.
Et pourtant, du haut de mes vingt-et-un ans, personne n'imagine que j'ai un tel caractère ; surtout que, bien souvent, je me fais passer pour le petit mouton blanc, tout gentil, qui veille sur les autres et qui ne pourrait pas faire de mal à une mouche. Quelqu'un en qui vous pouvez avoir confiance jusqu'au jour où je décide que vous ne me servez plus à rien et que je me débrouille pour directement vous jeter. À vos yeux je ne serais jamais un fautif mais entre mes mains vous n'êtes que mon pion.
À ce moment-là de la lecture, vous devez sans doute vous dire que je suis un enfoiré. C'est pour ça que je vais faire quelques précisions. Je ne deviens un enfoiré que pour atteindre mon but, un but précis et personnel, un but de vengeance. Même si la vengeance n'est pas mon véritable but, c'est juste pour me donner un côté martyr. Tout ça pour dire que le jour où j'aurais vraiment envie de réussir quelque chose, là, je deviendrais un enfoiré.
D'ici là, je vous assure que je suis quelqu'un de plutôt serviable, de plutôt gentil, je sais écouter les gens, je sais servir de confident. Et je suis loin d'être stupide, mais bon, je pense que vous l'avez déjà remarqué. J'ai pas grand-chose d'autre à dire sur mon caractère étrange. Si je devais rajouter une dernière phrase je dirais que mon caractère dépend de la personne que j'ai en face. Si vous êtes une bonne personne, je serais un bon ami. Si vous êtes un connard ou une salope, je me débrouillerai pour vous achever dans votre propre sang, en vous faisant subir au centuple toute la souffrance que vous aurez répandue. Et dans le désert brûlant, votre tombe deviendra un oasis d'hémoglobine.
La seule chose que je sais sur moi, c'est que je suis quelqu'un de très théâtral, dans ma façon de parler, dans ma façon d'être et dans ma façon d'agir. Je suis comme un metteur en scène manipulateur qui veut que la scène qu'il joue lui-même en tant qu'acteur se déroule parfaitement. Je suis prêt à tout mettre en œuvre, pour que ce que j'imagine se réalise. Manipulation, extorsion, mensonge, et j'en passe.
Et pourtant, du haut de mes vingt-et-un ans, personne n'imagine que j'ai un tel caractère ; surtout que, bien souvent, je me fais passer pour le petit mouton blanc, tout gentil, qui veille sur les autres et qui ne pourrait pas faire de mal à une mouche. Quelqu'un en qui vous pouvez avoir confiance jusqu'au jour où je décide que vous ne me servez plus à rien et que je me débrouille pour directement vous jeter. À vos yeux je ne serais jamais un fautif mais entre mes mains vous n'êtes que mon pion.
À ce moment-là de la lecture, vous devez sans doute vous dire que je suis un enfoiré. C'est pour ça que je vais faire quelques précisions. Je ne deviens un enfoiré que pour atteindre mon but, un but précis et personnel, un but de vengeance. Même si la vengeance n'est pas mon véritable but, c'est juste pour me donner un côté martyr. Tout ça pour dire que le jour où j'aurais vraiment envie de réussir quelque chose, là, je deviendrais un enfoiré.
D'ici là, je vous assure que je suis quelqu'un de plutôt serviable, de plutôt gentil, je sais écouter les gens, je sais servir de confident. Et je suis loin d'être stupide, mais bon, je pense que vous l'avez déjà remarqué. J'ai pas grand-chose d'autre à dire sur mon caractère étrange. Si je devais rajouter une dernière phrase je dirais que mon caractère dépend de la personne que j'ai en face. Si vous êtes une bonne personne, je serais un bon ami. Si vous êtes un connard ou une salope, je me débrouillerai pour vous achever dans votre propre sang, en vous faisant subir au centuple toute la souffrance que vous aurez répandue. Et dans le désert brûlant, votre tombe deviendra un oasis d'hémoglobine.
Ce qui se passe dans ma tête
Vous voulez donc connaître mon histoire, pleine de rebondissements, pleine d'excitation, pleine de folie... et bien la voici. Avec la musique la plus épique, les effets spéciaux les plus probants de l'industrie du cinéma, voici ma vie, révélée sous vos yeux ébahis, en direct, en 3D, et sans coupure pub.
Tout commence sans doute lorsque j'étais en train de sortir du ventre de ma mère, que je ne connais pas, tout comme je ne connais pas mon père. C'est dramatique, n'est-ce pas ? Allez-y, vous pouvez pleurer, l'histoire d'un orphelin dans le désert aussi chaud et humide que le pagne d'un guerrier dudit désert. Blague à part, il est vrai que je n'ai pas connu mes parents. À la place, j'ai eu la chance d'être adopté par un groupe de soldats plutôt particuliers.
Je ne me vois pas vous les présenter tous, mais pour simplifier, je vais rapidement lister les principaux, les leaders de ce groupe psychédélique complètement perché dont le seul but semblait et semble toujours, être, s'amuser. Par exemple, il y a un pyromane, un expert de la gatling, un astiqueur de grenades, un amateur de battes cloutées et de lances-roquette, pour ne citer que les plus emblématiques. Je précise qu'ils sont vingt-huit, au cas où vous soyez curieux.
Normalement, avec une telle présentation, vous devez être en train de penser que ma vie fut horrible. En l'occurrence, pas vraiment. Outre le fait de vivre dans un désert, grosso modo, dans mon cas, j'avais plutôt de la chance, parce que malgré leur folie, vu que c'était des soldats, j'ai reçu une éducation militaire. Une bonne éducation. Suffisamment bonne pour ne pas être con, pour ne pas être inculte, mais malheureusement trop basique pour que je finisse par vouloir apprendre par moi-même. Ça résume plutôt bien ma jeunesse. Après j'ai pas grand-chose à raconter sur ma vie parce que ce sont ces mecs-là qui ont fait de moi ce que je suis aujourd'hui et qu'ils m'utilisent pour leurs fins personnelles. En effet, je marque mieux. Je laisse une meilleure image. Je suis un peu devenu leur mascotte, avec le temps. Un mélange entre un fils, un frère d'armes, et une mascotte sous-payée. Jusqu'à ce que souffle le vent de la révolution. Et puisque ce n'était plus assez drôle de n'être que de simples militaires, ils ont décidé de devenir des révolutionnaires. Je n'ai pas eu mon mot à dire, j'ai dû les suivre…
Tout commence sans doute lorsque j'étais en train de sortir du ventre de ma mère, que je ne connais pas, tout comme je ne connais pas mon père. C'est dramatique, n'est-ce pas ? Allez-y, vous pouvez pleurer, l'histoire d'un orphelin dans le désert aussi chaud et humide que le pagne d'un guerrier dudit désert. Blague à part, il est vrai que je n'ai pas connu mes parents. À la place, j'ai eu la chance d'être adopté par un groupe de soldats plutôt particuliers.
Je ne me vois pas vous les présenter tous, mais pour simplifier, je vais rapidement lister les principaux, les leaders de ce groupe psychédélique complètement perché dont le seul but semblait et semble toujours, être, s'amuser. Par exemple, il y a un pyromane, un expert de la gatling, un astiqueur de grenades, un amateur de battes cloutées et de lances-roquette, pour ne citer que les plus emblématiques. Je précise qu'ils sont vingt-huit, au cas où vous soyez curieux.
Normalement, avec une telle présentation, vous devez être en train de penser que ma vie fut horrible. En l'occurrence, pas vraiment. Outre le fait de vivre dans un désert, grosso modo, dans mon cas, j'avais plutôt de la chance, parce que malgré leur folie, vu que c'était des soldats, j'ai reçu une éducation militaire. Une bonne éducation. Suffisamment bonne pour ne pas être con, pour ne pas être inculte, mais malheureusement trop basique pour que je finisse par vouloir apprendre par moi-même. Ça résume plutôt bien ma jeunesse. Après j'ai pas grand-chose à raconter sur ma vie parce que ce sont ces mecs-là qui ont fait de moi ce que je suis aujourd'hui et qu'ils m'utilisent pour leurs fins personnelles. En effet, je marque mieux. Je laisse une meilleure image. Je suis un peu devenu leur mascotte, avec le temps. Un mélange entre un fils, un frère d'armes, et une mascotte sous-payée. Jusqu'à ce que souffle le vent de la révolution. Et puisque ce n'était plus assez drôle de n'être que de simples militaires, ils ont décidé de devenir des révolutionnaires. Je n'ai pas eu mon mot à dire, j'ai dû les suivre…
L'histoire de ma vie
HRP
Dans la réalité je suis...
► Pseudo(s) fréquent(s): N/A.
► Tu as quel âge ? 21 ans.
► Tu nous as trouvés où ? Chez une amie.
► Est-ce que c'est ta première inscription sur un forum RPG? Non.
► Comment tu trouves le forum? Complètement taré.
► T'as un autre compte? Lequel? Nan.
► T'as pas un truc à nous dire hein? Un handicap moteur qui me fait taper pas vite. C'pas un problème. /O/ Tant que tu donnes des nouvelles, c'est good.
► Code du règlement: Bouffé par l'emmerdeur du TIF, pour te desservir.
► Tu as quel âge ? 21 ans.
► Tu nous as trouvés où ? Chez une amie.
► Est-ce que c'est ta première inscription sur un forum RPG? Non.
► Comment tu trouves le forum? Complètement taré.
► T'as un autre compte? Lequel? Nan.
► T'as pas un truc à nous dire hein? Un handicap moteur qui me fait taper pas vite. C'pas un problème. /O/ Tant que tu donnes des nouvelles, c'est good.
► Code du règlement: Bouffé par l'emmerdeur du TIF, pour te desservir.
Code de Frosty Blue de Never Utopia
Dernière édition par Benjamin Lockheart le Sam 11 Nov - 23:48, édité 3 fois