Loupez un repas, voyez le résultat...
- Aïeuh !, s'exclama le boulet du siècle.
Explications. Il venait tout juste de se lever, et pourtant, sa maladresse avait déjà frappé. C'est de la jambe droite qu'il se leva. Sauf que sur le côté droit de son lit, il n'y avait pas son plancher plus bas, mais un mur. Comprenez donc que se réveiller en se frappant, cela faisait mal, même pour la montagne de muscles qu'il était. Enfin, montagne... Non, pas pour autant, mais nous n'étions pas si loin du compte. C'est en grognant qu'il roula de l'autre côté... Et tomba de son lit. D'où son exclamation, vous comprenez à présent. Il s'étira donc sommairement tandis qu'un serpent avançait insidieusement dans sa chambre. Matt s'habilla de sa tenue habituelle, costard noir, tee-shirt blanc, veste noire à l'intérieur rouge par-dessus le tout. Vous lui direz, s'habiller en noir au beau milieu du désert, c'est pas terrible. Ouais, sans aucun doute. Sauf que 1400 était un joyau de la technologie, alors évidemment que les matières utilisés pour les vêtements étaient adaptés à cette chaleur et la régulait afin qu'elle n'étouffe pas le porteur. Bah ouais, faut être intelligent, hein.
Une fois habillé, c'est un serpent blanc aux yeux rouges qui vint s'enrouler autour de la cuisse de notre boulet du siècle, pour remonter en enroulant son torse et faire émerger sa tête du tee-shirt du Lieutenant Reeds. Il prit son petit-déjeuner... son repas de midi ? Il regarda l'heure sur sa montre ( déjà 13h33 bon dieu ) et vit qu'il avait plusieurs messages. Vous connaissez les montres de 1400 ? Et bien elles faisaient office de montre, téléphone portable, les appels se faisant par projection de la personne appelée au-dessus de la montre comme un hologramme, et d'autres fonctions étaient ajoutées en fonction de la Guilde et du rang occupé dans cette dernière. Pour sa part, il avait un GPS intégré lui indiquant la direction du vent et sa force, la température ambiante, ainsi que la position de toutes les personnes de sa division se matérialisant sous forme d'un hologramme-carte. Une révolution de la technologie, cette montre. C'est ce à quoi il pensait alors qu'il mangeait et qu'il consultait ses messages. L'unité de patrouille l'avait bel et bien écouté en patrouillant aux alentours de la ville par la voie des airs. Et apparemment... Il y avait une urgence. Délaissant son repas, il sortit en trombe et alla les retrouver au point de rassemblement habituel.
Sauf qu'une fois sur place, il relut ses messages et nota immédiatement le « Lieutenant, nous avons repéré les Pilleurs ! En plein dans une Fabrique d'Armes ! ». Il grogna et leur ordonna de l'y attendre sans faire de conneries plus stupides qu'eux. Comment ça, le Lieutenant avait un sale langage ? Il s'adressait à sa division, nuance de taille. Son nodachi passé dans son fourreau accroché à sa ceinture, il se mit à courir vers l'endroit convoité. Ouais, c'est sans compter sur son sens de l'orientation absolument pourri. Rien à faire, il connaissait cette ville par cœur, et il arrivait encore à s'y perdre. En regardant autour de lui, il remarqua l'endroit bien familier où il adorait prendre une tasse de café. Les rives de 1400. Il grommela et envoya à son tour un message. Pendant un court instant, il s'arrêta tandis que White en profita pour cacher sa tête dans une manche de la veste du boulet du siècle, devenant ainsi invisible, plus silencieux et insaisissable que jamais. Il envoya à l'unité un :
« Code couleur. Code couleur. Pourpre. Que dix d'entre vous viennent me rejoindre immédiatement sur les rives de 1400. Le reste, vous vous occupez de ces pilleurs, je veux les voir saucissonnés bien serré au point de rassemblement dans moins de deux heures. Aucun retard toléré, si l'un d'entre vous traîne, c'est mon nodachi qui le décapitera. Idem si un seul de ces pilleurs nous échappe. Roger ? »
- 13h57min58s
« Roger, Lieutenant Reeds ! »
Un nomade était devant lui, parmi les dunes de sable depuis lesquelles l'eau de l'oasis n'était pas visibles. Comment il le savait ? Soyons sérieux, un nomade, ça se reconnaît à des kilomètres à la ronde. Il posa la main sur son arme... Et trébucha sur un minuscule grain de sable en s'étalant de tout son long sur la dune. Shit. Il avait été silencieux, si silencieux que le nomade ne l'avait pas remarqué, et bien sûr, sa maladresse avait une nouvelle fois frappé. Alors là, il s'était fait avoir en beauté... Il réussit à se relever calmement. Enfin, 'souplement' aurait été plus juste. Parce qu'il pestait, notre Lieutenant.
- Génial, au lieu de Pilleurs, je me farcis un nomade... Rah, mais j'en ai marre ! J'ai même pas fini de manger bordel ! , fulmina-t-il.
Explications. Il venait tout juste de se lever, et pourtant, sa maladresse avait déjà frappé. C'est de la jambe droite qu'il se leva. Sauf que sur le côté droit de son lit, il n'y avait pas son plancher plus bas, mais un mur. Comprenez donc que se réveiller en se frappant, cela faisait mal, même pour la montagne de muscles qu'il était. Enfin, montagne... Non, pas pour autant, mais nous n'étions pas si loin du compte. C'est en grognant qu'il roula de l'autre côté... Et tomba de son lit. D'où son exclamation, vous comprenez à présent. Il s'étira donc sommairement tandis qu'un serpent avançait insidieusement dans sa chambre. Matt s'habilla de sa tenue habituelle, costard noir, tee-shirt blanc, veste noire à l'intérieur rouge par-dessus le tout. Vous lui direz, s'habiller en noir au beau milieu du désert, c'est pas terrible. Ouais, sans aucun doute. Sauf que 1400 était un joyau de la technologie, alors évidemment que les matières utilisés pour les vêtements étaient adaptés à cette chaleur et la régulait afin qu'elle n'étouffe pas le porteur. Bah ouais, faut être intelligent, hein.
Une fois habillé, c'est un serpent blanc aux yeux rouges qui vint s'enrouler autour de la cuisse de notre boulet du siècle, pour remonter en enroulant son torse et faire émerger sa tête du tee-shirt du Lieutenant Reeds. Il prit son petit-déjeuner... son repas de midi ? Il regarda l'heure sur sa montre ( déjà 13h33 bon dieu ) et vit qu'il avait plusieurs messages. Vous connaissez les montres de 1400 ? Et bien elles faisaient office de montre, téléphone portable, les appels se faisant par projection de la personne appelée au-dessus de la montre comme un hologramme, et d'autres fonctions étaient ajoutées en fonction de la Guilde et du rang occupé dans cette dernière. Pour sa part, il avait un GPS intégré lui indiquant la direction du vent et sa force, la température ambiante, ainsi que la position de toutes les personnes de sa division se matérialisant sous forme d'un hologramme-carte. Une révolution de la technologie, cette montre. C'est ce à quoi il pensait alors qu'il mangeait et qu'il consultait ses messages. L'unité de patrouille l'avait bel et bien écouté en patrouillant aux alentours de la ville par la voie des airs. Et apparemment... Il y avait une urgence. Délaissant son repas, il sortit en trombe et alla les retrouver au point de rassemblement habituel.
Sauf qu'une fois sur place, il relut ses messages et nota immédiatement le « Lieutenant, nous avons repéré les Pilleurs ! En plein dans une Fabrique d'Armes ! ». Il grogna et leur ordonna de l'y attendre sans faire de conneries plus stupides qu'eux. Comment ça, le Lieutenant avait un sale langage ? Il s'adressait à sa division, nuance de taille. Son nodachi passé dans son fourreau accroché à sa ceinture, il se mit à courir vers l'endroit convoité. Ouais, c'est sans compter sur son sens de l'orientation absolument pourri. Rien à faire, il connaissait cette ville par cœur, et il arrivait encore à s'y perdre. En regardant autour de lui, il remarqua l'endroit bien familier où il adorait prendre une tasse de café. Les rives de 1400. Il grommela et envoya à son tour un message. Pendant un court instant, il s'arrêta tandis que White en profita pour cacher sa tête dans une manche de la veste du boulet du siècle, devenant ainsi invisible, plus silencieux et insaisissable que jamais. Il envoya à l'unité un :
« Code couleur. Code couleur. Pourpre. Que dix d'entre vous viennent me rejoindre immédiatement sur les rives de 1400. Le reste, vous vous occupez de ces pilleurs, je veux les voir saucissonnés bien serré au point de rassemblement dans moins de deux heures. Aucun retard toléré, si l'un d'entre vous traîne, c'est mon nodachi qui le décapitera. Idem si un seul de ces pilleurs nous échappe. Roger ? »
- 13h57min58s
« Roger, Lieutenant Reeds ! »
Un nomade était devant lui, parmi les dunes de sable depuis lesquelles l'eau de l'oasis n'était pas visibles. Comment il le savait ? Soyons sérieux, un nomade, ça se reconnaît à des kilomètres à la ronde. Il posa la main sur son arme... Et trébucha sur un minuscule grain de sable en s'étalant de tout son long sur la dune. Shit. Il avait été silencieux, si silencieux que le nomade ne l'avait pas remarqué, et bien sûr, sa maladresse avait une nouvelle fois frappé. Alors là, il s'était fait avoir en beauté... Il réussit à se relever calmement. Enfin, 'souplement' aurait été plus juste. Parce qu'il pestait, notre Lieutenant.
- Génial, au lieu de Pilleurs, je me farcis un nomade... Rah, mais j'en ai marre ! J'ai même pas fini de manger bordel ! , fulmina-t-il.
Dernière édition par Matt Reeds le Jeu 5 Fév - 18:04, édité 1 fois