Love at first fall
Aloïs avait été à bord de son fier navire, longue-vue devant son œil valide afin de scruter les alentours lorsqu'il avait repéré le terrain de jeu parfait. A ce moment-là, il avait encore été dans sa chambre. Il aurait préféré être sur le pont mais Lunettes l'avait condamné à l'emprisonnement dans sa chambre devenu cellule jusqu'à nouvel ordre. Il commençait à croire qu'elle perdait le sens de l'humour avec l'âge. Ce n'était pas comme si c'était la première qu'il lui piquait une petite culotte pour l'accrocher en dessous du drapeau.
Enfin bon. Le résultat était là. Il n'avait pas le droit de sortir. Si Fortune avait passé environ cinq secondes devant la porte à lui parler, elle l'avait promptement abandonné en faveur des amusements au dehors. Cette traitresse.
A pas de velours, Aloïs se dirigea vers la porte et y colla son oreille. Des bruits de pas se faisaient entendre. Il y avait donc un garde.
Et bien puis ce que c'était comme ça, il n'aurait qu'à s'échapper par la fenêtre. Il écrivit une petite note pour dire qu'il s'était absenté et la déposa délicatement entre les bras de l'ours Mini-Jack 15. Une fois le mot bien calé dans les bras de la peluche, il se dirigea vers la fenêtre et examina ses options. Il était trop haut par rapport au sol pour sauter sans se faire mal. Ce qui ne voulait pas dire qu'il ne pouvait pas descendre. Avec un sourire triomphale il sautilla vers l'armoire et regarda dans l'espace entre le dos du meuble et le mur. Comme il le pensait son sucre d'orge Maxi-Magnum était toujours là.
Il l'attrapa et retourna à la fenêtre, plaçant le bout courbé de la canne à sucre sur le rebord et laissant tombé le reste par la fenêtre. Il enjamba ensuite le rebord de fenêtre, s'accrochant au sucre d'orge comme à une corde. ce fut un jeu d'enfant pour le Capitaine de se laisser glisser jusqu'au bout du sucre d'orge, assez près du sol pour se laisser tomber dans le sable. Les dunes amortirent sa chute et il se retrouva vite à gambader dans le désert.
Son évasion réussite il se mit en route vers le terrain de jeu qu'il avait repéré. A savoir une haute dune dont le versant offrait un magnifique terrain de roulement. Une fois arrivé à destination, Aloïs se mit en position optimale pour rouler jusqu'au bas de la dune: bras et jambes étendues, corps aussi droit que possible, placé de côté par rapport à la pente. Puis ce fut la descente.
Ayant donné un petit élan, Aloïs se retrouva à dégringoler jusqu'au bas de la dune, prenant de la vitesse rapidement. Il ne remarqua la présence d'une autre personne que lorsqu'il fit collision avec l'individu.
Enfin bon. Le résultat était là. Il n'avait pas le droit de sortir. Si Fortune avait passé environ cinq secondes devant la porte à lui parler, elle l'avait promptement abandonné en faveur des amusements au dehors. Cette traitresse.
A pas de velours, Aloïs se dirigea vers la porte et y colla son oreille. Des bruits de pas se faisaient entendre. Il y avait donc un garde.
Et bien puis ce que c'était comme ça, il n'aurait qu'à s'échapper par la fenêtre. Il écrivit une petite note pour dire qu'il s'était absenté et la déposa délicatement entre les bras de l'ours Mini-Jack 15. Une fois le mot bien calé dans les bras de la peluche, il se dirigea vers la fenêtre et examina ses options. Il était trop haut par rapport au sol pour sauter sans se faire mal. Ce qui ne voulait pas dire qu'il ne pouvait pas descendre. Avec un sourire triomphale il sautilla vers l'armoire et regarda dans l'espace entre le dos du meuble et le mur. Comme il le pensait son sucre d'orge Maxi-Magnum était toujours là.
Il l'attrapa et retourna à la fenêtre, plaçant le bout courbé de la canne à sucre sur le rebord et laissant tombé le reste par la fenêtre. Il enjamba ensuite le rebord de fenêtre, s'accrochant au sucre d'orge comme à une corde. ce fut un jeu d'enfant pour le Capitaine de se laisser glisser jusqu'au bout du sucre d'orge, assez près du sol pour se laisser tomber dans le sable. Les dunes amortirent sa chute et il se retrouva vite à gambader dans le désert.
Son évasion réussite il se mit en route vers le terrain de jeu qu'il avait repéré. A savoir une haute dune dont le versant offrait un magnifique terrain de roulement. Une fois arrivé à destination, Aloïs se mit en position optimale pour rouler jusqu'au bas de la dune: bras et jambes étendues, corps aussi droit que possible, placé de côté par rapport à la pente. Puis ce fut la descente.
Ayant donné un petit élan, Aloïs se retrouva à dégringoler jusqu'au bas de la dune, prenant de la vitesse rapidement. Il ne remarqua la présence d'une autre personne que lorsqu'il fit collision avec l'individu.
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