MAXINE FRAYER
You Know my Name not my Story
Yuzuriha Inori || Guilty Crown
"Mon nom est Maxine Frayer et je suis une fille de 20 ans. Je suis hétérosexuelle et je suis actuellement célibataire. Mon principal défaut est ma timidité et ma qualité majeure est ma générosité."
► Nomade ou Citadin? Citadin
► Le Groupe: Armée de terre
► Taille: Un mètre soixante cinq
► Poids: Cinquante sept kilos
► Arme:
Les armes blanches, ne me demandez pas pourquoi mais cette douceur rose, s'est découvert un certain don pour le maniement des armes blanches, surtout les grandes lames, telle que sa préférée le katanas, léger, fluide, l'arme parfait pour sa petite taille fluette. Elle en détient deux actuellement qui lui permet de ce déplacer rapidement ce qui est un avantage pour elle.
► Famille: Des parents comme tout le monde et deux grands frèresCf son histoire.
► Date de Naissance: Le 10 Juin.
► Emploi:
Elle est dotée d'une silhouette féline, un corps plutôt harmonieux et voluptueux à certains endroits, mêlant douceur et charme. Bien qu'elle s'amuse parfois à user de ses charmes pour taquiner. C'est une arme parfois de ressembler à un ange. Malgré cette apparence des plus appréciable, elle n'est pourtant que de passage. Mais vos yeux se rivent sur elle. Juste l'espace d'un instant, votre regard se fige. Et quelques secondes plus tard, on l'oublie. Voilà comment ça marche avec Max. D'un regard doux et calme, elle vous adresse un sourire. Son visage, gracieux et joli, vous attire, elle vous envoûte. Vos yeux se posent immédiatement sur sa silhouette élancée dont les formes en feraient envier plus d'un. Elle parait si avenante et agréable que vous aurez tout de suite envie de lui adresser la parole, de venir la serrer dans vos bras, de balader vos mains sur cette peau de porcelaine. Cette femme n'est pas une beauté fatale. C'est une demoiselle avec beaucoup de charme, c'est tout, mais ce n'est pas forcément celle dont on se rappelle le plus quand on la croise dans la rue. Pourtant, elle aime attirer l'attention, mais cela dépend des situations, sinon à force, elle passe pour une fille superficielle et elle déteste avoir cette impression.
Maxine, comment la décrire ? Vous voyez, selon les gens ça varie. Certains la voient comme une femme de passage, une fois que vos regards se perdent ailleurs, vous oubliez qu'elle vous a dévisagé de ses yeux Roses, captivants et hypnotisant d'un Rose améthyste qui vous rappelle vos moments de repos lorsque vous regardiez un ciel lors d'un coucher de soleil et ses nuages teintés de mille couleurs roses. Et puis pour d'autres, c'est une tout autre histoire, certains n'arrivent tout simplement pas à sortir cette jeune femme de leur tête. Il faut dire que parfois elle vous hante jours et nuits, au point de revenir la voir aussi souvent que le temps vous en offre l'occasion. Elle vous dévore l'esprit, presque à la manière d'une sangsue. Enfin passons... Cette petite Aphrodite mesure un mètre soixante-cinq. De longues jambes vertigineuses et fines, pour une masse de 57kg. Mince, mais qui a tout de même quelques formes. Notamment une chute de reins assez captivante. Quant à sa poitrine... Nous pouvons dire que Mère Nature l'a vraiment bénie. En ce qui concerne son visage, là encore, une finesse impeccable. De beaux traits fins, de fines lèvres, roses et pulpeuses, un petit sourire mesquin souvent collé à son visage.
Elle a toujours cet air un peu naïf, ingénu voir enfantin, on pourrait croire pouvoir la mener du bout du nez ! Mais ce sera plutôt l'inverse qui se produira, méfiez-vous des apparences. Cette jeune femme est bien des choses, pas forcément très agréables à savoir, mais bon que voulez-vous... Personne n'est parfait. Maxine possède également un teint de peau assez pâle, comme de la porcelaine. Ce sont simplement ses origines qui lui offrent ce petit atout de plus. Elle aime par ailleurs les mettre en valeur ses yeux. De même que sa chevelure. Rose ? Oui de magnifiques cheveux Roses, longs, ondulés. Ce genre de physique n'est pas commun, une belle "Rose" aux yeux aussi roses. Qu'en dites, vous ?
Maxine, comment la décrire ? Vous voyez, selon les gens ça varie. Certains la voient comme une femme de passage, une fois que vos regards se perdent ailleurs, vous oubliez qu'elle vous a dévisagé de ses yeux Roses, captivants et hypnotisant d'un Rose améthyste qui vous rappelle vos moments de repos lorsque vous regardiez un ciel lors d'un coucher de soleil et ses nuages teintés de mille couleurs roses. Et puis pour d'autres, c'est une tout autre histoire, certains n'arrivent tout simplement pas à sortir cette jeune femme de leur tête. Il faut dire que parfois elle vous hante jours et nuits, au point de revenir la voir aussi souvent que le temps vous en offre l'occasion. Elle vous dévore l'esprit, presque à la manière d'une sangsue. Enfin passons... Cette petite Aphrodite mesure un mètre soixante-cinq. De longues jambes vertigineuses et fines, pour une masse de 57kg. Mince, mais qui a tout de même quelques formes. Notamment une chute de reins assez captivante. Quant à sa poitrine... Nous pouvons dire que Mère Nature l'a vraiment bénie. En ce qui concerne son visage, là encore, une finesse impeccable. De beaux traits fins, de fines lèvres, roses et pulpeuses, un petit sourire mesquin souvent collé à son visage.
Elle a toujours cet air un peu naïf, ingénu voir enfantin, on pourrait croire pouvoir la mener du bout du nez ! Mais ce sera plutôt l'inverse qui se produira, méfiez-vous des apparences. Cette jeune femme est bien des choses, pas forcément très agréables à savoir, mais bon que voulez-vous... Personne n'est parfait. Maxine possède également un teint de peau assez pâle, comme de la porcelaine. Ce sont simplement ses origines qui lui offrent ce petit atout de plus. Elle aime par ailleurs les mettre en valeur ses yeux. De même que sa chevelure. Rose ? Oui de magnifiques cheveux Roses, longs, ondulés. Ce genre de physique n'est pas commun, une belle "Rose" aux yeux aussi roses. Qu'en dites, vous ?
Je ressemble à ça...
De nature joyeuse, vous verrez souvent Maxine avec le sourire, en train de rire ou tout simplement de bonne humeur... Du moins il faut la connaître depuis un certain temps pour voir que ce n'est qu'une grotesque façade, un masque qu'elle s'est résiliée à porter. Elle a une grande capacité de juger le mental de la personne dès le premier regard qu'elle pose sur vous, jusqu'à présent, elle ne s'est encore jamais trompée. Elle peut déduire d'un simple regard si vous êtes ou non digne de confiance, fréquentable ou dangereux. La détermination est un trait de caractère qui définit bien Maxine, si elle a un but, elle fera tout pour l'atteindre même si cela doit prendre des années étant donné qu'elle est patiente. Sa joie peut partir d'un coup, comme si quelqu'un avait soufflé dessus, souvent quand elle parle de ses parents. Plutôt gentille, elle ne cherchera pas à vous embêtez ou à faire exprès de dire de chose pour vous blessez mais elle restera franche. Elle est très gourmande et plutôt curieuse. Du fait de ses origines et de son passé , elle fait souvent des cauchemars la nuit et elle peut partir se balader au milieu de la nuit sans prévenir personne pour se changer les idées. Courageuse, téméraire, toujours prête à en découdre. Un jeu contre la survie s'installe dans sa vie, être seule c'est être maudit, elle se le répète sans cesse, à chaque minute, à chaque seconde de sa vie... Chasser et ne pas être chassé, elle a l'esprit vif, tout comme son corps agile, que ce soit au combat ou simplement quand elle marche, vous restez impressionné par la facilité dont elle fait preuve quand elle traverse la foule, comme si aucun obstacle ne pouvait la retenir, une démarche féline qui retient votre souffle.
Elle pense beaucoup aux autres et n'hésite pas à venir en aide à des inconnus. Malheureusement à cause de sa naïveté, elle se fait souvent avoir et en paye parfois les frais. On pourrait dire que la demoiselle ne voit pas assez la réalité en face, préférant vivre dans ses rêves hauts en couleurs, qu'elle est trop optimiste, mais c'est cela qui fait son charme. Elle n'accorde pas beaucoup d'importance aux bijoux qu'elle voit dans les vitrines ou que portent les gens, si quelqu'un lui offre un collier, celui-ci aura pour elle cent fois plus de valeurs que n'importe quelle pierre précieuse. On pourrait également croire qu'elle peut faire confiance à n'importe qui, dans certains cas cela s'avère vrai, mais quand une histoire y implique des personnes qui lui sont chères, elle n'hésite pas à ignorer des gens ou à être malhonnête. Cependant si Max fait quelque chose qu'elle juge "mal ", c'est qu'il y a bien une raison à cela, elle n'utilisera que ça en dernier recourt. Elle a toujours préféré voir une "douloureuse" vérité qu'un "joyeux" mensonge. Maxine a toujours voué une passion pour les choses simples, ciel bleu d'été, le vent, les oiseaux, le lait chaud près d'une cheminée. Elle n'est pas prise de tête et préfère souvent remettre à demain ce qu'elle peut faire aujourd'hui. Elle a beau le nier, elle est d'une paresse monstrueuse. Cependant, elle ne peut pas tenir une journée sans prendre l'air, qu'il pleut, qu'il neige ou qu'il grêle peu importe ! Maxine ira tout de même dehors.
Malgré tout, elle ne mélange pas travail et personnel. FOUTAISE, pardon .... On va dire que malgré ses aptitudes au combat, elle cherchera toujours à éviter de se battre, premièrement à cause de son caractère assez passif, mais aussi car elle sera vite prise d'émotion et rentrera dans la douleur de celle qu'elle devra juger ou interpeller. Ce qui est assez embêtant vous allez me dire quand on est dans l'armée ? Mais en même temps quand on n'a pas choisi d'être là, on ne peut pas non plus effacer tout ce qui fait de nous pour rentrer dans les cases ! Alors au lieu de la voir courir après les Pilleurs ou autres, vous la verrez souvent tenir la main aux plus démunis et servir de pierre des lamentations ... Enfin... C'est Maxine quoi.
Elle pense beaucoup aux autres et n'hésite pas à venir en aide à des inconnus. Malheureusement à cause de sa naïveté, elle se fait souvent avoir et en paye parfois les frais. On pourrait dire que la demoiselle ne voit pas assez la réalité en face, préférant vivre dans ses rêves hauts en couleurs, qu'elle est trop optimiste, mais c'est cela qui fait son charme. Elle n'accorde pas beaucoup d'importance aux bijoux qu'elle voit dans les vitrines ou que portent les gens, si quelqu'un lui offre un collier, celui-ci aura pour elle cent fois plus de valeurs que n'importe quelle pierre précieuse. On pourrait également croire qu'elle peut faire confiance à n'importe qui, dans certains cas cela s'avère vrai, mais quand une histoire y implique des personnes qui lui sont chères, elle n'hésite pas à ignorer des gens ou à être malhonnête. Cependant si Max fait quelque chose qu'elle juge "mal ", c'est qu'il y a bien une raison à cela, elle n'utilisera que ça en dernier recourt. Elle a toujours préféré voir une "douloureuse" vérité qu'un "joyeux" mensonge. Maxine a toujours voué une passion pour les choses simples, ciel bleu d'été, le vent, les oiseaux, le lait chaud près d'une cheminée. Elle n'est pas prise de tête et préfère souvent remettre à demain ce qu'elle peut faire aujourd'hui. Elle a beau le nier, elle est d'une paresse monstrueuse. Cependant, elle ne peut pas tenir une journée sans prendre l'air, qu'il pleut, qu'il neige ou qu'il grêle peu importe ! Maxine ira tout de même dehors.
Malgré tout, elle ne mélange pas travail et personnel. FOUTAISE, pardon .... On va dire que malgré ses aptitudes au combat, elle cherchera toujours à éviter de se battre, premièrement à cause de son caractère assez passif, mais aussi car elle sera vite prise d'émotion et rentrera dans la douleur de celle qu'elle devra juger ou interpeller. Ce qui est assez embêtant vous allez me dire quand on est dans l'armée ? Mais en même temps quand on n'a pas choisi d'être là, on ne peut pas non plus effacer tout ce qui fait de nous pour rentrer dans les cases ! Alors au lieu de la voir courir après les Pilleurs ou autres, vous la verrez souvent tenir la main aux plus démunis et servir de pierre des lamentations ... Enfin... C'est Maxine quoi.
Ce qui se passe dans ma tête
Ta petite histoire maintenant ? Et bien, c'est très simple. Tu es la seule fille, la petite dernière à la suite de deux beaux garçons d'une famille aux mœurs intègres. Ta maman, Frau Löverne et ton papa, Alexander Frayer, un lieutenant de l'Armée de Terre à la retraite. Pour ce qui est de ton prénom, pas très féminin comme prénom, vous allez me dire ? Mais c'est sans compter sur l'entêtement de tes parents qui pensaient dur comme fer que la dernière de cette fratrie de deux enfants, dont les premiers sont des garçons, aurait dû elle aussi être un petit homme. Mais le destin en avait voulu autrement. Et une petite demoiselle montra le bout de son nez un jour d'hiver, à la joie de sa mère et ses frères aînés. C'est ta mère qui, un jour, t'a révélé comment ils ont fait ce choix. En fait, ton père étant du genre vieux jeu, seul le sexe masculin régnait dans la demeure familiale, et ce fut un grand souffle frais pour ta mère et dépité pour ton père de voir que la troisième était une fille, et comme le père avait déjà prévu le prénom du dernier rejeton, Maxime, ta mère n'eut d'autre choix que de le féminiser un peu en le transformant en Maxine. Dans le passé, tu étais bourlingueuse, dynamique une vraie pile électrique. Tu te souviens d'une fois alors que tu avais que dix ans, tu avais décidé de monter sur un arbre pour suivre un écureuil qui ne voulait pas de tes noisettes ! Déterminée, tu voulais pour une raison qui t'échappe toujours aujourd'hui lui faire littéralement bouffer cette noisette. À ce moment-là, tu ne savais pas que tu avais le vertige et tu en as fait l'amère expérience, pleurant de toutes tes forces, tu restais bloquée sur une branche comme à une bouée de sauvetage. Tu as entendu ta mère te dire de ne pas bouger, qu'elle allait appeler ton père, mais toi, tu ne voulais pas attendre et tu voulais absolument reprendre ta descende alors tu as lâché prise et tu es tombée comme une masse, heureusement, tu n'étais pas monté bien haut et la chute ne t'a causé qu'une fracture du poignet. Tu ne te rendrais pas compte à quel point cette aventure était dangereuse, surtout pour une petite fille de dix ans.
Jusque là rien de dramatique, mais une petite chose aussi insignifiante peut se transformer en un drame familial. Direction l'hôpital, ta mère affolée comme toutes mamans qui se respectent et ton père furieux de ton comportement indigne d'une fille qui se respecte. Disputes, mise au point, morale. Le trajet en voiture te semble bien long pour une urgence, surtout que tes frères eux n'étaient pas là pour te remonter le moral. Après des examens, un plâtre fut posé sur le bras pour soigner la petite princesse vagabonde. Après plus d'une heure seule dans une chambre d'hôpital stérile et froide ton père vient te voir, toi souriante de toutes tes dents, lui .... Une mine d'enterrement. Tu sembles perplexe face à son attitude et t'empresses de lui demander ce qu'il y a. Intérieurement, tu commences à légèrement paniquer. Le verdict tombe comme le ciel sur sa tête, il t'annonce de but en blanc sans aucun tact possible. Que vous n'étiez pas parenté... À dix ans tu n'es pas censé connaître la vie dans son ensemble et c'est de ton minois naïf que tu penches la tête. Ne pas être parenté ? Cela ne rimait à rien pour toi, Alexander était ton père, tu le connais depuis ta naissance. Avant que tu puisses ouvrir la bouche ta mère entre aussi comme une vraie furie dans la chambre, ton père pose sur toi un véritable regard assassin qui te fait trembler de tout ton petit corps. Alors que ta chère mère, elle, vient te prendre dans ses bras, des larmes roulaient comme un robinet ouvert sur ses joues chaudes et rouges. Tu ne comprenais plus rien, mais sans le vouloir ton visage se défigure pour laisser de gros sanglots exploser. L'ambiance pesante avait fini par t'atteindre et t'emporter comme une vague qui te submerge.
Les jours passent et tu avais quitté la demeure familiale depuis déjà six mois. Tu étais installée dans un appartement avec ta mère. Dans la suite des choses, ta mère t'a expliqué ce qu'il s'était passé. C'est avec un mal fou que tu as mis deux ans pour assimiler ce que tu as appris. Une bâtarde, voilà ce que tu étais à présent, l'aventure d'une nuit de ta mère en mal d'amour avait donné naissance à la fille que tu es. Ton père te renia dès qu'il le sut à l'hôpital, suite à une simple prise de sang. Voilà comment une simple fracture du poignet à fait volé en éclats une famille sans histoire en apparence. Dans cette nouvelle maison, une nouvelle vie se dessine pour toi. Ta mère, ancienne fleuriste, retrouve facilement du travail pour vous faire vivre. Ce n'est pas misérable que tu reprends le cours de ta vie, au contraire, on pourrait dire que tu vis dans le luxe de l'amour maternel, mais tout ça ne remplace pas ce qui s'est brisé en toi. Plus les mois passent plus la présence d'une figure masculine ce fait rare. Tu repenses souvent à lui, ton père... Pardon Alexander Frayer comme il te l'a si bien fait remarquer, tes frères qui passent en catimini te voir ainsi que leur mère à tous les deux, leur vraie mère soit dit en passant. Tu t'ennuies et te renfermes, tu deviens vide et perds ta joie de vivre. Impossible de quitter la maison pour toi, ta mère t'inscrit donc à des cours à domicile. Plus d'amis, plus de vie, justes les cours et la musique qui te garde encore un peu humaine.
Lasse de te voir dans un tel état, la déterminée qui te sert de mère t'engage de force dans l'Armée à temps partiel, dans la division de l'Armée de Terre précisément, réputée pour ses taux de réussite et ses cours d'exceptions, qui selon elle te rassurera et t'épanouira. C'est sans mal que ta mère te fait entrer dans cet établissement, pour te soulager un peu de ne pas brusquement fréquenter une foule de gens inconnus, elle te pousse à aller vers là où tes frères, enfin demi-frères sont eux même engagés et ont tenu la promesse de veiller sur la boule rose. Cet univers est en total décalage avec ce que cette guimauve rose inspire, elle serait plus à sa place dans le social que dans la tactique et le militaire. Mais finalement, grâce à ce petit coup de pied aux fesses, la demoiselle commença à prendre sur elle et devenir une combattante. Studieuse l'école militaire était largement pour ton niveau. Tu devins un élément à part entier de l'Armée de Terre. Et grâce au soutien de tes frères, tu n'étais jamais seule à vrai dire. Mais ce que tu ne savais pas, c'est qu'ils se gardaient bien pour eux de ne rien dire à leur père, la colère et la rancune qu'il avait envers sa propre femme ne faisait que s'endurcir au fil des années, et ne parlons pas de ce qu'il pourrait faire s'il apprenait que la bâtarde qu'il a élevé marchait sur ses pas...
Jusque là rien de dramatique, mais une petite chose aussi insignifiante peut se transformer en un drame familial. Direction l'hôpital, ta mère affolée comme toutes mamans qui se respectent et ton père furieux de ton comportement indigne d'une fille qui se respecte. Disputes, mise au point, morale. Le trajet en voiture te semble bien long pour une urgence, surtout que tes frères eux n'étaient pas là pour te remonter le moral. Après des examens, un plâtre fut posé sur le bras pour soigner la petite princesse vagabonde. Après plus d'une heure seule dans une chambre d'hôpital stérile et froide ton père vient te voir, toi souriante de toutes tes dents, lui .... Une mine d'enterrement. Tu sembles perplexe face à son attitude et t'empresses de lui demander ce qu'il y a. Intérieurement, tu commences à légèrement paniquer. Le verdict tombe comme le ciel sur sa tête, il t'annonce de but en blanc sans aucun tact possible. Que vous n'étiez pas parenté... À dix ans tu n'es pas censé connaître la vie dans son ensemble et c'est de ton minois naïf que tu penches la tête. Ne pas être parenté ? Cela ne rimait à rien pour toi, Alexander était ton père, tu le connais depuis ta naissance. Avant que tu puisses ouvrir la bouche ta mère entre aussi comme une vraie furie dans la chambre, ton père pose sur toi un véritable regard assassin qui te fait trembler de tout ton petit corps. Alors que ta chère mère, elle, vient te prendre dans ses bras, des larmes roulaient comme un robinet ouvert sur ses joues chaudes et rouges. Tu ne comprenais plus rien, mais sans le vouloir ton visage se défigure pour laisser de gros sanglots exploser. L'ambiance pesante avait fini par t'atteindre et t'emporter comme une vague qui te submerge.
Les jours passent et tu avais quitté la demeure familiale depuis déjà six mois. Tu étais installée dans un appartement avec ta mère. Dans la suite des choses, ta mère t'a expliqué ce qu'il s'était passé. C'est avec un mal fou que tu as mis deux ans pour assimiler ce que tu as appris. Une bâtarde, voilà ce que tu étais à présent, l'aventure d'une nuit de ta mère en mal d'amour avait donné naissance à la fille que tu es. Ton père te renia dès qu'il le sut à l'hôpital, suite à une simple prise de sang. Voilà comment une simple fracture du poignet à fait volé en éclats une famille sans histoire en apparence. Dans cette nouvelle maison, une nouvelle vie se dessine pour toi. Ta mère, ancienne fleuriste, retrouve facilement du travail pour vous faire vivre. Ce n'est pas misérable que tu reprends le cours de ta vie, au contraire, on pourrait dire que tu vis dans le luxe de l'amour maternel, mais tout ça ne remplace pas ce qui s'est brisé en toi. Plus les mois passent plus la présence d'une figure masculine ce fait rare. Tu repenses souvent à lui, ton père... Pardon Alexander Frayer comme il te l'a si bien fait remarquer, tes frères qui passent en catimini te voir ainsi que leur mère à tous les deux, leur vraie mère soit dit en passant. Tu t'ennuies et te renfermes, tu deviens vide et perds ta joie de vivre. Impossible de quitter la maison pour toi, ta mère t'inscrit donc à des cours à domicile. Plus d'amis, plus de vie, justes les cours et la musique qui te garde encore un peu humaine.
Lasse de te voir dans un tel état, la déterminée qui te sert de mère t'engage de force dans l'Armée à temps partiel, dans la division de l'Armée de Terre précisément, réputée pour ses taux de réussite et ses cours d'exceptions, qui selon elle te rassurera et t'épanouira. C'est sans mal que ta mère te fait entrer dans cet établissement, pour te soulager un peu de ne pas brusquement fréquenter une foule de gens inconnus, elle te pousse à aller vers là où tes frères, enfin demi-frères sont eux même engagés et ont tenu la promesse de veiller sur la boule rose. Cet univers est en total décalage avec ce que cette guimauve rose inspire, elle serait plus à sa place dans le social que dans la tactique et le militaire. Mais finalement, grâce à ce petit coup de pied aux fesses, la demoiselle commença à prendre sur elle et devenir une combattante. Studieuse l'école militaire était largement pour ton niveau. Tu devins un élément à part entier de l'Armée de Terre. Et grâce au soutien de tes frères, tu n'étais jamais seule à vrai dire. Mais ce que tu ne savais pas, c'est qu'ils se gardaient bien pour eux de ne rien dire à leur père, la colère et la rancune qu'il avait envers sa propre femme ne faisait que s'endurcir au fil des années, et ne parlons pas de ce qu'il pourrait faire s'il apprenait que la bâtarde qu'il a élevé marchait sur ses pas...
L'histoire de ma vie
Rancker, comment décrire cette petite chose, c'est un peu le fourre-tout, le petit compagnon, le journal intime et le réveil de notre macaron rose ! Soyons plus clairs, cette petite chose ressemble à un crabe géant sans les pinces, a un truc rond avec quatre pattes. Rapide et léger sur terre ou sur l'eau ou même dans les airs, ce petit robot peut voler oui oui, je vous assure, ses petits pieds peuvent servir d'hélices ! Vous ne vous y attendiez pas à ça hein hein ! Bon passons, en quoi est-il utile à part juste garder au chaud le bazar de notre Max. Créer par l'un de ses frères, génie au service de l'armée comme petit compagnon et surtout moyen de la surveiller. Ce robot baptisé RANCKER. (ne cherchez pas il n'y a aucun nom composé derrière, c'est en référence à leur petit chien que tous les trois adoraient dans leur enfance, on se reperd là ! )
Bref, je disais ce petit robot peut aussi servir de moyen de défense, ce n'est pas juste un coffre fourre-tout, il peut créer des hologrammes, servir de transmetteur et aussi tirer, oui un peu a la manière d'un automatique, les recharges ne sont pas automatiques elles, on ne vit pas dans le monde des bisounours, il a un contenant d'au moins une vingtaine de munitions. Il est fourni avec un GPS, et un système de géolocalisation. En attendant on a toujours pas parlé de sa fonction première!
Cette petite boite de conserve est avant tout un système de défense, il peu créer un champ de force sur un périmètre de 5 mètres autour de lui. Ce qui permet que rien ne rentre et rien ne sorte de ce champ bien sûr.
Bref, je disais ce petit robot peut aussi servir de moyen de défense, ce n'est pas juste un coffre fourre-tout, il peut créer des hologrammes, servir de transmetteur et aussi tirer, oui un peu a la manière d'un automatique, les recharges ne sont pas automatiques elles, on ne vit pas dans le monde des bisounours, il a un contenant d'au moins une vingtaine de munitions. Il est fourni avec un GPS, et un système de géolocalisation. En attendant on a toujours pas parlé de sa fonction première!
Cette petite boite de conserve est avant tout un système de défense, il peu créer un champ de force sur un périmètre de 5 mètres autour de lui. Ce qui permet que rien ne rentre et rien ne sorte de ce champ bien sûr.
Familier
HRP
Dans la réalité je suis...
► Pseudo(s) fréquent(s): Hime
► Tu as quel âge? 22 ans
► Tu nous a trouvé où ? Sur top site
► Comment tu trouve le forum? très bien comme il est
► T'as un autre compte? Lequel? pas pour le moment
► T'as pas un truc à nous dire hein? je veux un cookie
► Code du règlement: Bouffé ! ( sans aucune civilité, tout à fait... éè )
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Code de Frosty Blue de Never Utopia
Dernière édition par Maxine Frayer le Dim 12 Oct - 20:46, édité 6 fois