"Est-ce que vous pourriez traduire... ? Je ne sais pas déchiffer ces signes biz... enfin... Cette écriture."
Käjil hocha la tête avec un sourire distrait.
"Oui bien sur." dit-il avant de se plonger dans la lecture du document.
Une partie de son cerveau nota que Matt avait commencer a fouiller le reste de la pièce mais ce n'était qu'une fraction minuscule. Il était happé par ses caractères qu'il n'avait plus l'occasion de lire depuis son réveil. Il devait admettre qu'il avait toujours eut une affection particulière pour l'ancienne écriture. Revoir ses signes tracés sur du vieux parchemins était un peu comme revenir sur le lieu de sa naissance, alors qu'on le pensait disparu à jamais.
Ses yeux blanc lisait attentivement chaque signe, décryptant phrase par phrase le journal de cette mystérieuse femme. Car il s'agissait effectivement d'une femme. Dans ce qui semblait être le début du journal, elle avait indiqué ses noms. Et il y avait quelque chose de très mystérieux dans la façon dont elle avait été nommée. Käjil n'avait pas put s'empêcher de froncer les sourcils en voyant les caractères par lesquelles la femme s'identifiait. Le premier indiqué était le signe de l'obscurité, Käjil pensait qu'il se lisait Afya lorsqu'il s'agissait d'un prénom féminin. Celui-ci était potentiellement son nom d'enfant ce qui était étrange. Un nom d'enfant n'était jamais si...négatif. Leur croyance était que le nom porterait malchance à l'enfant. Si aucun nom positif ne venait à l'esprit, le nom donné ne signifiait rien. Käjil était un bon exemple de cette tradition.
Le deuxième signe, qui était apparemment son nom d'adulte, était tout aussi étrange comme prénom. Asrar, les secrets. Le prénom existait mais à sa connaissance n'avait été utilisé que de très rares fois. Les nomades avaient tendance à favoriser les significations poétiques. Donné un mot simple comme prénom n'était pas fréquent. Et pourtant cette femme en avait trois ainsi, le troisième, son 'titre' étant Fadwa, le sacrifice.
Obscurité, secrets et sacrifice.
Cela ne laissait envisager rien de bon. Comme en écho aux pensées de Käjil, Matt vint apporter une autre pierre à l'édifice d'anormalité.
"Pourquoi diable mettre du sable blanc là comme s'il avait une grande valeur... ? En plus ça n'existe pas. Ou ça n'existe... plus...Le journal révèle-t-il la raison de cet endroit magnifiquement...étrange ?"
Käjil écarquilla les yeux. Du sable blanc?
"Non, c'est impossible." murmura-t-il.
Malheureusement, lorsqu'il alla regarder dans le sachet que tenait Matt, il fut forcer d'admettre que si, le sable qui n'aurait du se trouver qu'au sanctuaire de son 'père' était bien là. Il resta à regarder les grains immaculée, la bouche entrouverte pendant quelques minutes avant de se reprendre.
"Il s'est passé quelque chose de très étrange ici." dit-il enfin. "De ce que j'ai lu, une femme vivait ici. Une femme de mon clan. Elle s'appelait Afya Asrar Fadwa. Ils signifient: obscurité, secrets et sacrifice. Ce sont des noms étranges..."
Il plongea à nouveau dans le silence, ses yeux fixés sur le parchemin dans ses mains, ses pensées déjà bien loin du militaire.
Käjil hocha la tête avec un sourire distrait.
"Oui bien sur." dit-il avant de se plonger dans la lecture du document.
Une partie de son cerveau nota que Matt avait commencer a fouiller le reste de la pièce mais ce n'était qu'une fraction minuscule. Il était happé par ses caractères qu'il n'avait plus l'occasion de lire depuis son réveil. Il devait admettre qu'il avait toujours eut une affection particulière pour l'ancienne écriture. Revoir ses signes tracés sur du vieux parchemins était un peu comme revenir sur le lieu de sa naissance, alors qu'on le pensait disparu à jamais.
Ses yeux blanc lisait attentivement chaque signe, décryptant phrase par phrase le journal de cette mystérieuse femme. Car il s'agissait effectivement d'une femme. Dans ce qui semblait être le début du journal, elle avait indiqué ses noms. Et il y avait quelque chose de très mystérieux dans la façon dont elle avait été nommée. Käjil n'avait pas put s'empêcher de froncer les sourcils en voyant les caractères par lesquelles la femme s'identifiait. Le premier indiqué était le signe de l'obscurité, Käjil pensait qu'il se lisait Afya lorsqu'il s'agissait d'un prénom féminin. Celui-ci était potentiellement son nom d'enfant ce qui était étrange. Un nom d'enfant n'était jamais si...négatif. Leur croyance était que le nom porterait malchance à l'enfant. Si aucun nom positif ne venait à l'esprit, le nom donné ne signifiait rien. Käjil était un bon exemple de cette tradition.
Le deuxième signe, qui était apparemment son nom d'adulte, était tout aussi étrange comme prénom. Asrar, les secrets. Le prénom existait mais à sa connaissance n'avait été utilisé que de très rares fois. Les nomades avaient tendance à favoriser les significations poétiques. Donné un mot simple comme prénom n'était pas fréquent. Et pourtant cette femme en avait trois ainsi, le troisième, son 'titre' étant Fadwa, le sacrifice.
Obscurité, secrets et sacrifice.
Cela ne laissait envisager rien de bon. Comme en écho aux pensées de Käjil, Matt vint apporter une autre pierre à l'édifice d'anormalité.
"Pourquoi diable mettre du sable blanc là comme s'il avait une grande valeur... ? En plus ça n'existe pas. Ou ça n'existe... plus...Le journal révèle-t-il la raison de cet endroit magnifiquement...étrange ?"
Käjil écarquilla les yeux. Du sable blanc?
"Non, c'est impossible." murmura-t-il.
Malheureusement, lorsqu'il alla regarder dans le sachet que tenait Matt, il fut forcer d'admettre que si, le sable qui n'aurait du se trouver qu'au sanctuaire de son 'père' était bien là. Il resta à regarder les grains immaculée, la bouche entrouverte pendant quelques minutes avant de se reprendre.
"Il s'est passé quelque chose de très étrange ici." dit-il enfin. "De ce que j'ai lu, une femme vivait ici. Une femme de mon clan. Elle s'appelait Afya Asrar Fadwa. Ils signifient: obscurité, secrets et sacrifice. Ce sont des noms étranges..."
Il plongea à nouveau dans le silence, ses yeux fixés sur le parchemin dans ses mains, ses pensées déjà bien loin du militaire.
- HRP:
Hmm, ouais, je te laisse un peu avec pas grand chose pour continuer ^^'
Si tu y arrive pas je peux continuer avec les explications mais je voulais te donner une chance d'écrire quelque chose. D'autant que je pense qu'après les explications, ça sera plus ou moins la fin du RP...