D'Orsay Isabelle
Don't cry your heart out
Nill || DOGS: Bullets & Carnage
"Mon nom est D'Orsay Isabelle et je suis une fille de 13 ans ans. Je suis hétérosexuelle et je suis actuellement célibataire. Mon principal défaut est mon perfectionnisme et ma qualité majeure est ma vivacité d'esprit."
► Nomade ou Citadin? Citadine
► Le Groupe: Pilleur
► Taille: 1m49
► Poids: 46 kilos
► Arme: Sa seule arme est son esprit que ses différents professeurs se sont affairés à affûter depuis sa plus tendre enfance, dans le but de pouvoir succéder à son père. Ses compétences d'analyses, de déductions et décisions sont plus aiguisées qu'une enfant normale de son âge. Les pauvres, ils ne se seraient jamais doutés que ça se retournerait contre eux...
► Famille: Sa famille ? Elle n'en a plus. Son père, c'est elle-même qui l'a tué. Parce qu'elle avait compris qu'elle n'était rien pour lui et que, si elle désirait survivre et ne pas se faire tuer, c'était la seule solution. Et sa mère... Elle ne sait absolument pas ce qui lui est arrivé après son enlèvement. Peut-être qu'elle s'est tuée, peut-être qu'elle a repris les rênes de l'entreprise... Mystère et boule de gomme.
► Date de Naissance: 1er mars
► Emploi: Isabelle fait désormais partie du gang CRY, dirigé par Cathal R. Yvanoff. Elle y est arrivée à la base en tant qu'otage, mais y a gagné sa place en tuant son père. Son rôle consiste principalement à collecter les données et informations des différents membres du groupe afin de pouvoir en tirer des conclusions et pouvoir déterminer des stratégies tout comme pouvoir prédire les mouvements des autres groupes.
Pistolet à la main, tu observes cet homme qui te ressemble tant physiquement. Ses cheveux blonds se retrouvent chez toi, aussi fins et longs que les siens sont épais et courts. Ses yeux bleus s'écarquillent en voyant les détermination dans les tiens, l'absence de peur. Une légère hésitation, peut-être. Après tout, tu es encore jeune. Tu sais très bien qu'il t'a sacrifiée au profit de sa chère entreprise, tu ne devrais pas avoir de ressentiment à planter cette balle dans son corps... et pourtant si.
Cet homme qui est si grand, qui te dominait autrefois, tu le domines désormais. De ton petit mètre cinquante face à ce géant de presque deux mètres. C'est étrange comme sensation, il est bien vrai, mais c'est tellement jouissif. Toute ta vie on t'a rabâché que tu ne serais pas à sa hauteur, malgré tous tes efforts. Et toi, jeune fille frêle, tu as désormais l'objet de sa mort prochaine qui fait trembler tes bras sans muscles quand tu essaies de le lever. Tes fines lèvres rosées s'ouvrent dans le but de respirer un peu plus librement. Ton cerveau s'active à la recherche de l'endroit qui le ferait mourir vite et qui serait simple à viser pour toi.
Tu lèves l'arme du futur crime en agrippant la crosse des deux mains. Tes mains tremblent affreusement, tu essaies de les contenir. Ne pas s'effrayer. Ne pas avoir peur. Tu vises d'un oeil mal assuré son torse, pile au milieu, là où est censé être son cœur. Enfin, d'après ce qu'on t'a enseigné. Inspire. Expire. Tu appuies sur la gâchette et le coup part, retentissant dans tes oreilles. Le sang n'a pas giclé, contrairement à ce que tu pensais. Encore heureux, au moins ta jolie robe n'est pas tâchée.
Un dernier regard au cadavre frais. Il n'est plus ton père. Tu n'as désormais plus de famille. Cet homme, qui te ressemble pourtant tellement, n'est désormais plus rien pour toi.
C'est terminé.
Je ressemble à ça...
Et dire qu'il y a seulement un an de cela, tu étais tellement différente de ce que tu es maintenant Isa... Je peux t'appeler Isa, pas vrai ? Bien. Parfait.
Bon, globalement, tu n'as pas changé tant que ça.
Tu es toujours aussi appliquée qu'avant, c'est presque obsessionnel chez toi. Il faut que tout soit à sa place. Tout le temps. Rien ne doit dépasser ou être de travers. Déjà chez toi, ça te causait des problèmes. Parce que tu avais ta façon bien particulière de ranger les choses, et tu refusais que les femmes de ménage touchent à ta chambre.
Tu as grandis sans amour, tu ne sais même pas ce que c'est que l'amour. C'est juste une sensation très vague pour toi. Juste un nom. Tu sais ce qu'est l'amitié, le dégoût, la jalousie, mais l'amour ? Inconnu au bataillon.
Après, ce n'est pas parce que tu as grandi dans une ambiance froide que tu es devenue insensible, par la suite. Non. Loin de là. T'es quand même capable d'apprécier des personnes, la preuve avec CRY. Au début tu ne voulais même pas les voir et maintenant... Tu ne te verrais pas les quitter. C'est pas une preuve que tout le monde est capable de changer ? Enfin, c'est normal que toi tu le puisses. T'es encore jeune. Encore en "formation", si on peut dire ça comme ça.
Perfectionniste, tu cherches toujours à faire de ton mieux. C'est quelque chose qui te restes de tes longues années à devoir essayer d'égaler ton père. Quand tu fais quelque chose, tu ne t'arrêteras pas tant que ce ne sera pas parfait, peu importe la nature de cette chose. Non. Tu DOIS être la meilleure. Ce n'est même pas une option, c'est obligatoire. Et ça peut te valoir beaucoup d'ennuis, toujours vouloir surpasser les autres. Mais tu n'es qu'une gamine, tu peux encore changer. Qui sait.
Le fait d'être perfectionniste t'amènes une autre qualité qui est plutôt pas mal : la patience. Ouais. C'est plutôt cool ça, ça t'évites de t'énerver pour tout et n'importe quoi.
Avant, tu étais une petite fille plutôt innocente, sur certains sujet. C'est l'une des rares caractéristiques qui a réellement changé chez toi. Même si tu n'assistes jamais réellement aux scènes "gores", tu ne te berces plus d'illusion quant au monde dans lequel tu vis, tuer ton père a été d'une grande aide à ce niveau-là, c'est certain.
Malgré tout ça, tu restes tout de même une enfant et une adolescente en devenir. Et tu as besoin d'une figure adulte à qui te rattacher. Tes parents n'ayant jamais été capable d'être cette figure dont tu avais besoin, tu t'es repliée très vite sur la seule personne qui était capable de l'être : Cathal. Ouais. Le mec qui t'as enlevé et puis qui t'as ensuite en quelque sorte forcé à tuer ton père. Mais au fil du temps, t'as commencé à l'apprécier et c'est en quelque sorte devenu ton modèle, ton papa de substitution. Parce qu'il te protège des choses qui pourraient te faire du mal. Parce qu'il est malgré tout toujours là pour toi, chose qui n'étaient pas le cas pour tes parents. Triste mais vrai.
Au niveau de tes passions, c'est assez varié. Tu aimes lire, bien que tes parents t'empêchaient de lire autre chose que des livres instructifs. Étrangement, tu aimes aussi développer des stratégies. C'est une des séquelles qu'ont laissé dans ton esprit des années de conditionnement. T'aurais bien aimé essayer de t'en débarrasser, mais c'est ancré trop profondément en toi et puis ça aide beaucoup le gang. Alors autant s'en servir.
Ce qui se passe dans ma tête
Ton histoire commence bien avant ta naissance. À vrai dire, elle commence à la rencontre de tes parents. En fait, à la base, ce n'était pas réellement un mariage d'amour. C'était surtout pour permettre à la famille de ta mère d'être sûre d'avoir une partie des revenus de la boîte, par un moyen dérivé. Et, au fil des années, tes parents ont finalement réussi à s'apprécier.
Au début ils pensaient que ce serait tout beau, tout joli, d'avoir un enfant. Ils n'imaginaient pas le travail et l'entretien que ça demandait. Et avec le travail de ton père, et ta mère qui devait toujours être là pour le soutenir, ils n'avaient pas le temps de s'occuper de ce petit bout de chou qui venait d'entrer dans leur vie.
C'est ainsi que tu commenças à avoir des gouvernantes, des précepteurs, des professeurs particuliers, des adultes pour s'occuper de ton éducation étant donné que tes parents n'étaient pas capable d'assumer cette tâche. L'avantage étant que tu n'as pas eu trop de scrupules à les abandonner, par la suite, mais nous verrons cela plus tard. Tu as donc appris avec les meilleurs, pour devenir la meilleure. On te répétait ça à longueur de journée. Même si ton enfance n'a pas été triste, on ne peut pas dire qu'elle ait été très heureuse non plus. C'était un mixte des deux, quelque chose d'assez ennuyant, le fait de ne pas pouvoir s'amuser comme les autres enfants parce que tu étais "destinée" à devoir suivre les traces de ton père. Petite fille, disons 7 ou 8 ans, tu ne comprenais pas vraiment ce que ça voulait dire. Tu faisais ce qu'on te demandait, lisait ce qu'on te disait de lire sans réellement comprendre pourquoi tu ne pouvais pas lire ce que tu voulais, mais ne te plaignait pas réellement parce que tu avais tous les vêtements que tu voulais et pouvait, pas conséquent, faire comme une princesse. C'était drôle. Pendant un certain temps. Puis tu as commencé à te lasser. En plus, tes parents n'étaient jamais là et avaient bien ordonné aux domestiques de ne jamais te montrer ne serait-ce qu'un peu de sympathie.
Le peu de fois où tu voyais tes géniteurs, c'étaient seulement pour des repas où tu devais être bien habillée, ne pas trop parler et surtout, surtout, écouter les grands parler de longues longues heures. C'étaient très certainement les moments les plus ennuyeux de ta vie. Enfin, jusqu'à présent.
Et puis tout a changé, il y a un an. Quand on t'a pris, pour t'utiliser comme otage. Pour faire flancher ton père, ce qui n'a pas fonctionné. Evidemment, son entreprise était son bébé, ce que tu n'as jamais été. Tu ne voulais pas l'admettre, et tu ne l'admettrais très certainement pas si quelqu'un te le demandait, mais ça t'as fait mal quand tu t'es rendu compte de ça. Tu étais censée être sa fille, sauf que ce n'était évidemment pas le cas. Alors quand tu t'es rendue compte de ça, tu avais beau n'être qu'une gamine de 12 ans, tu as quand même choisi de rejoindre le côté des « méchants ». C'était le seul moyen de vivre.
Bon, en revanche, ce qu'il s'est passé après n'était pas prévu. Tuer ton père a été assez compliqué, même si tu ne ressentais pas grand chose pour lui. C'était ton premier meurtre — et le seul jusqu'à présent. C'est ainsi que tu es rentrée dans CRY. Cette organisation qui te rebutait tant au début. Cette organisation dont le chef t'as kidnappé et, ironiquement, qui t'as montré plus d'affection que tu n'avais jamais connu les douze précédentes années. Oh, et tu t'es aussi trouvée une famille de substitution et avec elle, au moins, tu sais à quoi t'en tenir.
L'histoire de ma vie
HRP
Dans la réalité je suis...
► Pseudo(s) fréquent(s): Loufoca.
► Tu as quel âge? 16 ans, bientôt 17 huhuhu.
► Tu nous as trouvé où ? Euh.... Je crois que je vaquais de forum en forum, si je me souviens bien.
► Est-ce que c'est ta première inscription sur un forum RPG? Nope, j'en fais depuis un sacré bout de temps maintenant.
► Comment tu trouves le forum? Vraiment très beau.
► T'as un autre compte? Lequel? Nope, premier compte sur le forum. c:
► T'as pas un truc à nous dire hein? Hmm hmm hmm... Voulez-vous un cookie ? c:
► Code du règlement: Validé par Cathal, in the flesh Pfeuh, j'l'avais déjà mangé.