La petite fille au bouquet de fleur
étape une : Arriver au bazar
Ah ! Le soleil, cette chaleur enivrante qui vous fournis de la vitamine D2, mais bien sûr, il ne pouvait pas se contenter de la vitamine, non, il apporte aussi des énormes coups de soleil par les rayons UV ! Vous allez me dire que j’aurais pu m’en douter, dans un désert généralement il fait très chaud, mais avec le dôme, j’avais complètement oublié l’effet que pouvait produire le soleil sur ma pauvre petite peau !
Je suis donc en train de marcher en plein milieu du désert, rouge comme une tomate, à la recherche du bazar des nomades. Je porte mon matériel de journalisme composé d’une petite caméra et d’un énorme appareil à hologramme.
Je ne suis pas photographe ou holographiste, mais bizarrement, mon patron a du mal à me dénicher un coéquipier et en plus il ose me rendre responsable de ce manque de personnel ! Monsieur prétend que si je ne faisais pas d’excursions aussi risquées, il aurait moins de mal à trouver un volontaire pour m’accompagner. Bien sûr je tente de me défendre en clamant que ses meilleures ventes de journaux étaient grâce à mon talent de dénicheuse de scoops.
Bref, me voilà donc à faire la journaliste, et l’holographiste. Je vous jure alors, on n’est jamais mieux servi que par sois même.
Mes jambes commencent sérieusement à me peser, et j’espère vraiment pouvoir enfin trouver ce foutu bazar (excusez mon langage, c’est la faute du soleil).
Au bout de cinq bonnes minutes, je me mis à admettre que je m’étais perdue. En même temps, ce n’est pas ma faute ! C’est quand même très mal indiqué ici ! Les nomades devraient penser un peu à nous, à 1400 au moins, il y a des panneaux qui indiquent une direction, ici tout ce que j’observe c’est du sable. Du sable à perte de vue ! Franchement, même avec un très bon sens de l’orientation c’est difficile de trouver son chemin dans le désert. Ils font comment les nomades ? Ils comptent les grains de sables ou regarde leur couleur pour s’orienter ?
A situation désespérée, mesure désespérée. Je suis sure qu’il rode par-là, en train de chasser ou de me surveiller. Je me penche donc sur mon sac et me met à la recherche de mon gant. Un fois trouvé, je l’enfile et siffle entre mon pouce et mon indexe pour l’appeler.
Bien sûr, monsieur ne perd pas de temps, il décrit une courbe parfaite avant de plonger sur mon gant et de ralentir au dernier moment. Je vous jure alors ce goinfre, je lui tends un en-cas acheté à l’animalerie du coin, et lui ordonne de me trouver une civilisation. Je ne sais pas s’il a compris, mais en tout cas, au bout de dix minutes à le suivre, j’atterris dans le bazar, presque entière.
Un instant, j’oublie mes pieds endoloris et contemple le paysage autour de moi. C’est la première fois que je viens ici, je pense que si une amie ne m’avait pas révélé une rumeur sur un citadin kidnappeur d’enfant nomade, je ne serais probablement jamais venue. Grosse erreur de ma part car je n’avais jamais vu une telle ambiance. Tous ces marchands à vendre de nombreux objets plus étranges les uns que les autres, ces citadins discutant nonchalamment avec des nomades et ces odeurs mystérieuses et attrayantes.
Une en particulier retint mon attention. Je ne pouvais la décrire, il s’agissait d’une odeur florale à la fois légère et captivante. Mes pieds endoloris me portèrent jusque à une petite fille tenant des fleurs que je n’avais jamais vues de ma vie. Bien sûr, en tant que grande curieuse, je ne pus m’empêcher de venir lui parler :
« Salut ! Elles sentent super bon ces fleurs, où les as-tu trouvées ? »
Je suis donc en train de marcher en plein milieu du désert, rouge comme une tomate, à la recherche du bazar des nomades. Je porte mon matériel de journalisme composé d’une petite caméra et d’un énorme appareil à hologramme.
Je ne suis pas photographe ou holographiste, mais bizarrement, mon patron a du mal à me dénicher un coéquipier et en plus il ose me rendre responsable de ce manque de personnel ! Monsieur prétend que si je ne faisais pas d’excursions aussi risquées, il aurait moins de mal à trouver un volontaire pour m’accompagner. Bien sûr je tente de me défendre en clamant que ses meilleures ventes de journaux étaient grâce à mon talent de dénicheuse de scoops.
Bref, me voilà donc à faire la journaliste, et l’holographiste. Je vous jure alors, on n’est jamais mieux servi que par sois même.
Mes jambes commencent sérieusement à me peser, et j’espère vraiment pouvoir enfin trouver ce foutu bazar (excusez mon langage, c’est la faute du soleil).
Au bout de cinq bonnes minutes, je me mis à admettre que je m’étais perdue. En même temps, ce n’est pas ma faute ! C’est quand même très mal indiqué ici ! Les nomades devraient penser un peu à nous, à 1400 au moins, il y a des panneaux qui indiquent une direction, ici tout ce que j’observe c’est du sable. Du sable à perte de vue ! Franchement, même avec un très bon sens de l’orientation c’est difficile de trouver son chemin dans le désert. Ils font comment les nomades ? Ils comptent les grains de sables ou regarde leur couleur pour s’orienter ?
A situation désespérée, mesure désespérée. Je suis sure qu’il rode par-là, en train de chasser ou de me surveiller. Je me penche donc sur mon sac et me met à la recherche de mon gant. Un fois trouvé, je l’enfile et siffle entre mon pouce et mon indexe pour l’appeler.
Bien sûr, monsieur ne perd pas de temps, il décrit une courbe parfaite avant de plonger sur mon gant et de ralentir au dernier moment. Je vous jure alors ce goinfre, je lui tends un en-cas acheté à l’animalerie du coin, et lui ordonne de me trouver une civilisation. Je ne sais pas s’il a compris, mais en tout cas, au bout de dix minutes à le suivre, j’atterris dans le bazar, presque entière.
Un instant, j’oublie mes pieds endoloris et contemple le paysage autour de moi. C’est la première fois que je viens ici, je pense que si une amie ne m’avait pas révélé une rumeur sur un citadin kidnappeur d’enfant nomade, je ne serais probablement jamais venue. Grosse erreur de ma part car je n’avais jamais vu une telle ambiance. Tous ces marchands à vendre de nombreux objets plus étranges les uns que les autres, ces citadins discutant nonchalamment avec des nomades et ces odeurs mystérieuses et attrayantes.
Une en particulier retint mon attention. Je ne pouvais la décrire, il s’agissait d’une odeur florale à la fois légère et captivante. Mes pieds endoloris me portèrent jusque à une petite fille tenant des fleurs que je n’avais jamais vues de ma vie. Bien sûr, en tant que grande curieuse, je ne pus m’empêcher de venir lui parler :
« Salut ! Elles sentent super bon ces fleurs, où les as-tu trouvées ? »
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