Il ne manquait plus que ça
Je ne sais pas trop pourquoi je traîne comme ça. Je trouverai sûrement de quoi faire. Le soleil tapait doucement sur le tissus de mon chapeau de fortune. Je lâchais un petit soupir. J'étais contraint et forcé à prendre une pause. Je n'ai rien trouvé de mieux que m'affliger une ballade sous le soleil. Se faufiler dans les ombres était quelque chose de normal. Mais éviter trop le soleil n'était pas normal. Surtout pour un nomade comme moi. Je me sens faible chaque seconde de plus sous l'astre du jour. Mais je garde un sourire. Déprimer n'était pas mon genre. Puis grâce à ce que j'avais fait, des vies avaient été sauvés.
Je fini par m'installer près d'un point d'eau. Ça m'amuse de voir les gens aller et venir. Je me demande si je trouverait une personne qui a besoin de moi. Je salue simplement les gens autour de moi. Je suis relativement connu. Même si à mes yeux je n'ai pas fat grand chose pour mériter cette attention. Je ne m'en plains pas pour autant. Loin delà. Je ne veux pas que cette popularité éloigne certaines personnes, ça serait dommage. Mon regard est attiré par les passants un peu en difficulté. Je me lève et je les aide comme je peux. Un sourire sur mon visage. Je vois que mon aide est utile, certains me regarde comme si j'étais un être venu d'ailleurs. Je ne suis pas vexé.
Mon rituel d'aide continue, à chaque fois, je repose un peu avant d 'aider d'autres gens. Je commençais à avoir la tête qui tourne. Je cache un peu le soleil avec la man, elle est un peu humide. Je dois avoir transpiré, génial. Je sens déjà que mon retour chez moi sera encore ponctué de cris. Je ne peux pas leur en vouloir. Ils s'inquiète pour moi. Et moi je reste là, à me tenir la tête. Sûr que ça me passera. Super, je crois que j'ai choppé une insolation. Il est bien le guérisseur, j'en riais presque. Bon, je dois m'appuyer sur un mur. Je respire à fond. Mes yeux sont fermé, je sais que je si je les ouvre, je vais tourner telle une roue de chariot. Dans ma tête, mais pour l'équilibre, je repasserai. Heureusement, je sais que ça va passer. Ça passe toujours. Je respire, la poussière chatouille mon nez. Je plissais le nez pour éviter d'éternuer.
Je fini par m'installer près d'un point d'eau. Ça m'amuse de voir les gens aller et venir. Je me demande si je trouverait une personne qui a besoin de moi. Je salue simplement les gens autour de moi. Je suis relativement connu. Même si à mes yeux je n'ai pas fat grand chose pour mériter cette attention. Je ne m'en plains pas pour autant. Loin delà. Je ne veux pas que cette popularité éloigne certaines personnes, ça serait dommage. Mon regard est attiré par les passants un peu en difficulté. Je me lève et je les aide comme je peux. Un sourire sur mon visage. Je vois que mon aide est utile, certains me regarde comme si j'étais un être venu d'ailleurs. Je ne suis pas vexé.
Mon rituel d'aide continue, à chaque fois, je repose un peu avant d 'aider d'autres gens. Je commençais à avoir la tête qui tourne. Je cache un peu le soleil avec la man, elle est un peu humide. Je dois avoir transpiré, génial. Je sens déjà que mon retour chez moi sera encore ponctué de cris. Je ne peux pas leur en vouloir. Ils s'inquiète pour moi. Et moi je reste là, à me tenir la tête. Sûr que ça me passera. Super, je crois que j'ai choppé une insolation. Il est bien le guérisseur, j'en riais presque. Bon, je dois m'appuyer sur un mur. Je respire à fond. Mes yeux sont fermé, je sais que je si je les ouvre, je vais tourner telle une roue de chariot. Dans ma tête, mais pour l'équilibre, je repasserai. Heureusement, je sais que ça va passer. Ça passe toujours. Je respire, la poussière chatouille mon nez. Je plissais le nez pour éviter d'éternuer.
Codage par Libella sur Graphiorum