Mourn
Clic, clac, sort de l'oeuf une petite chenille qui a très faim !
Roi des voleurs/Bakura|| Yugi-Oh
"Mon nom est Mourn et je suis un garçon de 26 ans. Je suis asexuel et je suis actuellement célibataire. Mon principal défaut est une chenille et ma qualité majeure est un papillon."
► Nomade ou Citadin? Nomade.
► Le Groupe: AdS.
► Taille: Assez grand - ne s’est jamais mesuré, mais ce n’est pas le plus grand de sa tribu, ni le plus petit -.
► Poids: ne s’est jamais pesé non plus. Cohérent avec sa taille.
► Arme: Une canne à sucre géante, que les gens voient généralement comme un cimeterre.
► Famille: Nope
► Date de Naissance: Le premier jour de l'été
► Emploi: Espion
La chose la plus marquante au sens de Mourn, lorsqu’il se fixe dans la glace, est l’immense papillon posé sous son oeil droit. Il se rappelle vaguement du moment où celui-ci s’est installé durablement sur sa peau. Le dernier qui l’ait choisi comme hôte…
Des papillons, il en a un certain nombre. En réalité, il lui arrive de revenir avec un ou plusieurs d’entre eux, lorsqu’il rentre de mission. Ils restent, ils s’en vont, tout cela ne dépend pas de lui. Parfois, ils prennent leur temps pour reprendre leur envol de sa peau sombre. Ce sont des amis, témoins des épreuves qu’il a passées avec succès. Peut-être qu’un jour, comme sur les torses de ses parents, un grand papillon éclora sur lui et l’emportera.
Son dos en est couvert, il en a quelques uns sur le torse et les jambes. Ils mettent en valeur ses muscles, son allure altière. Au milieu de son corps, par contre, c’est une chenille, à peine un cocon, qui n’éclora lui certainement jamais. Ses jambes et son ventre, autour, lui semblent même plus sombres, tant ce parasite le met mal à l’aise, contrairement aux autres.
Son regard change en fonction de son humeur. Souvent mauve, il tend vers un or vif ou un rouge en fonction de son humeur. Du moins, c’est ce que le miroir lui renvoie comme reflet. Ses cheveux ébouriffés et longs, eux, sont de la couleur d’une toile d’araignée dans le soleil, et parfois il y retrouve des insectes, qui se dissolvent dans ses doigts lorsqu’il cherche à les attraper.
Quant à ses vêtements, tout dépend. Chez lui, il aime les couleurs qui lui rappelleront ses parents. C’est comme s’il se parait des ailes des papillons qui étaient sur eux lorsqu’il porte un de ses longs manteaux rouges…
Des papillons, il en a un certain nombre. En réalité, il lui arrive de revenir avec un ou plusieurs d’entre eux, lorsqu’il rentre de mission. Ils restent, ils s’en vont, tout cela ne dépend pas de lui. Parfois, ils prennent leur temps pour reprendre leur envol de sa peau sombre. Ce sont des amis, témoins des épreuves qu’il a passées avec succès. Peut-être qu’un jour, comme sur les torses de ses parents, un grand papillon éclora sur lui et l’emportera.
Son dos en est couvert, il en a quelques uns sur le torse et les jambes. Ils mettent en valeur ses muscles, son allure altière. Au milieu de son corps, par contre, c’est une chenille, à peine un cocon, qui n’éclora lui certainement jamais. Ses jambes et son ventre, autour, lui semblent même plus sombres, tant ce parasite le met mal à l’aise, contrairement aux autres.
Son regard change en fonction de son humeur. Souvent mauve, il tend vers un or vif ou un rouge en fonction de son humeur. Du moins, c’est ce que le miroir lui renvoie comme reflet. Ses cheveux ébouriffés et longs, eux, sont de la couleur d’une toile d’araignée dans le soleil, et parfois il y retrouve des insectes, qui se dissolvent dans ses doigts lorsqu’il cherche à les attraper.
Quant à ses vêtements, tout dépend. Chez lui, il aime les couleurs qui lui rappelleront ses parents. C’est comme s’il se parait des ailes des papillons qui étaient sur eux lorsqu’il porte un de ses longs manteaux rouges…
Je ressemble à ça
Régulièrement, Mourn refait le même cauchemar. Il sait que c’en est un, parce que le monde autour de lui n’est pas comme ça. Le monde dans lequel il vit est coloré, rempli d’animaux et des rêves.
Dans son cauchemar, il est encore jeune, 16, peut-être 17 ans. Ses parents sont à terre, couverts de sang, et sa soeur aînée crie de douleur. Il ne la voit pas, mais il sait que jamais il ne réussira à retirer ces cris de ses oreilles. Et la douleur… il n’y a pas que celle de sa joue, dont le sang coule dans ses yeux et couvre le monde d’un voile carmin. Il y a plus bas, aussi. C’est là le pire. Ca l’étouffe, lui retourne l’estomac. Il sait qu’il s’est débattu parce qu’on lui a brisé le bras. Et le soldat sourit devant son impuissance…
Heureusement, le monde est loin d’être comme ça. Le monde, c’est quelque chose de coloré et joyeux. Le désert est un lit argenté, chaque oasis donne l’impression de plonger dans une pâtisserie très douce. Le monde l’émerveille, ce n’est que beauté et il ne faut surtout, surtout pas que les choses soient comme dans son cauchemar, surréalistes et tristes. Et les gens.. Ah, les gens !
Ce sont des curiosités, des choses étranges qui ne sont jamais tous les même.Mourn sait qu’il doit obéir, rapporter exactement ce qu’il a entendu et parfaitement retenu grâce à sa mémoire auditive parfaite. Même si parfois, ça n’a pas beaucoup de sens… Mais il sait qu’il ne doit se fier qu’à ce qu’il entend, et pas ce qu’il voit. Il n’a jamais compris pourquoi, d’ailleurs. Pourquoi ne pas parler des routes dorées, des ballons, des moulins à vents arc-en-ciel et des spirales brillantes ?
Par conséquent, il n’a aucun mal à rester en ville pour espionner les gens. On le prend pour un simplet qui n’a pas assez d’argent - de jolies grenouilles qu’on met dans une marre de poche - pour être dans un “asile”, ces bâtisses semblables à des pains d’épices géants. En se concentrant, il réussit à parler, échanger, car il a appris à faire comme s’il était bizarre comme les autres. Cela se voit lorsqu’il cesse de faire des efforts ou qu’il est surpris, où tout ce qu’il a appris passe en second plan.
Ce qu’il aime par dessus tout, c’est pouvoir utiliser son arme, et faire sortir des cotillons des gens. De jolis cotillons multicolores, qui lui retombent parfois dessus et font frémir le moindre de ses papillons. Les nomades, eux, ne sont pas composés de cotillons, par conséquent ça ne sert à rien de les attaquer. Puis, au fond… Ce sont les citadins contre qui il s’est battu qui lui ont laissé ses papillons sur le corps, c’est normal de leur rendre la pareille…
Dans son cauchemar, il est encore jeune, 16, peut-être 17 ans. Ses parents sont à terre, couverts de sang, et sa soeur aînée crie de douleur. Il ne la voit pas, mais il sait que jamais il ne réussira à retirer ces cris de ses oreilles. Et la douleur… il n’y a pas que celle de sa joue, dont le sang coule dans ses yeux et couvre le monde d’un voile carmin. Il y a plus bas, aussi. C’est là le pire. Ca l’étouffe, lui retourne l’estomac. Il sait qu’il s’est débattu parce qu’on lui a brisé le bras. Et le soldat sourit devant son impuissance…
Heureusement, le monde est loin d’être comme ça. Le monde, c’est quelque chose de coloré et joyeux. Le désert est un lit argenté, chaque oasis donne l’impression de plonger dans une pâtisserie très douce. Le monde l’émerveille, ce n’est que beauté et il ne faut surtout, surtout pas que les choses soient comme dans son cauchemar, surréalistes et tristes. Et les gens.. Ah, les gens !
Ce sont des curiosités, des choses étranges qui ne sont jamais tous les même.Mourn sait qu’il doit obéir, rapporter exactement ce qu’il a entendu et parfaitement retenu grâce à sa mémoire auditive parfaite. Même si parfois, ça n’a pas beaucoup de sens… Mais il sait qu’il ne doit se fier qu’à ce qu’il entend, et pas ce qu’il voit. Il n’a jamais compris pourquoi, d’ailleurs. Pourquoi ne pas parler des routes dorées, des ballons, des moulins à vents arc-en-ciel et des spirales brillantes ?
Par conséquent, il n’a aucun mal à rester en ville pour espionner les gens. On le prend pour un simplet qui n’a pas assez d’argent - de jolies grenouilles qu’on met dans une marre de poche - pour être dans un “asile”, ces bâtisses semblables à des pains d’épices géants. En se concentrant, il réussit à parler, échanger, car il a appris à faire comme s’il était bizarre comme les autres. Cela se voit lorsqu’il cesse de faire des efforts ou qu’il est surpris, où tout ce qu’il a appris passe en second plan.
Ce qu’il aime par dessus tout, c’est pouvoir utiliser son arme, et faire sortir des cotillons des gens. De jolis cotillons multicolores, qui lui retombent parfois dessus et font frémir le moindre de ses papillons. Les nomades, eux, ne sont pas composés de cotillons, par conséquent ça ne sert à rien de les attaquer. Puis, au fond… Ce sont les citadins contre qui il s’est battu qui lui ont laissé ses papillons sur le corps, c’est normal de leur rendre la pareille…
Ce qui se passe dans ma tête
Si on demande son histoire à Mourn, il y a des chances qu’il fronce les sourcils et cesse toute activité, perdu dans ses souvenirs. Du moins, le temps de s’assurer qu’ils sont parfaitement refoulés. Puis il sourira.
D’après lui, il est né il y a un moment, bien sûr, avant le grand sommeil. Il vous parlera de sa cérémonie de passage à l’âge adulte, de sa rencontre avec Irulan. Il ne se rappelle pas avoir dû rester trois jours dans un trou, même s’il l’a fait. Il ne se rappelle pas avoir déliré, il était avec des amis.
Cependant... Il se rappelle s’être battu, avec sa famille, contre les méchants de l’oasis. Puis ses parents sont partis, en laissant sortir de leurs enveloppes de grands papillons aussi brillants que sanglants. Et sa soeur… Elle, c’était différent. Il se rappelle avoir retrouvé sa chrysalide pendue à un arbre. Elle avait dû rejoindre leurs parents. Et lui ?
Lui, il ne se rappelle plus trop d’après. Vaguement, certainement, s’était-il jeté sur des méchants et avait-il fait jaillir des confettis. Beaucoup de confettis. Et il avait adopté en même temps plusieurs papillons. Un jour, il sait qu’il se transformera aussi et qu’il rejoindra sa famille.
Puis… Puis il a suivi sa tribu, et s’est endormi. Au réveil, il y a de cela une dizaine d’années, le monde avait changé. Le monde était devenu beau et fascinant. Il y avait toujours des méchants, mais ceux-ci avaient fait pousser des beautés fascinantes. Mourn aurait adoré pouvoir les éliminer et prendre possession, lui aussi, de ces beautés fantasmagoriques…
Parce qu’il aurait été inutile à la tribu, peut-être parce qu’on l’estimait incapable de dire quoi que ce soit de vital sur la tribu, tant il était… dans son monde. En tout cas, il se sentit très fier lorsqu’on lui apprit les règles pour ne pas se dévoiler. Sa tâche était simple : aller là où les choses étaient si fascinantes et étranges, où il y avait des gens qui explosaient en confettis mais dont il fallait laisser lesdits confettis à l’intérieur et écouter. Il ne fallait pas décrire les beautés qu’il voyait, quand il rentrait, mais ce qu’il entendait d’intéressant, concernant certains mots clefs qu’il n’avait aucun mal à retenir. Et il fallait être discret, ne pas montrer qu’il n’était pas un citadin… Alors, il n’était qu’un fou dans le secteur C, disparaissant parfois comme seuls ceux qui n’ont pas d’endroit où vivre le faisaient.
Peut-être qu’il aurait eu plus de mal à s’adapter si Zia, une amie d’enfance - du moins, c’était ce qu’elle disait, lui ne s’en rappelait pas réellement, mais son aura rose était rassurante - n’avait pas décidé de le prendre en main et de l’aider, de palier ses déficits. Elle est son lien entre son monde et celui incompréhensible des autres...
D’après lui, il est né il y a un moment, bien sûr, avant le grand sommeil. Il vous parlera de sa cérémonie de passage à l’âge adulte, de sa rencontre avec Irulan. Il ne se rappelle pas avoir dû rester trois jours dans un trou, même s’il l’a fait. Il ne se rappelle pas avoir déliré, il était avec des amis.
Cependant... Il se rappelle s’être battu, avec sa famille, contre les méchants de l’oasis. Puis ses parents sont partis, en laissant sortir de leurs enveloppes de grands papillons aussi brillants que sanglants. Et sa soeur… Elle, c’était différent. Il se rappelle avoir retrouvé sa chrysalide pendue à un arbre. Elle avait dû rejoindre leurs parents. Et lui ?
Lui, il ne se rappelle plus trop d’après. Vaguement, certainement, s’était-il jeté sur des méchants et avait-il fait jaillir des confettis. Beaucoup de confettis. Et il avait adopté en même temps plusieurs papillons. Un jour, il sait qu’il se transformera aussi et qu’il rejoindra sa famille.
Puis… Puis il a suivi sa tribu, et s’est endormi. Au réveil, il y a de cela une dizaine d’années, le monde avait changé. Le monde était devenu beau et fascinant. Il y avait toujours des méchants, mais ceux-ci avaient fait pousser des beautés fascinantes. Mourn aurait adoré pouvoir les éliminer et prendre possession, lui aussi, de ces beautés fantasmagoriques…
Parce qu’il aurait été inutile à la tribu, peut-être parce qu’on l’estimait incapable de dire quoi que ce soit de vital sur la tribu, tant il était… dans son monde. En tout cas, il se sentit très fier lorsqu’on lui apprit les règles pour ne pas se dévoiler. Sa tâche était simple : aller là où les choses étaient si fascinantes et étranges, où il y avait des gens qui explosaient en confettis mais dont il fallait laisser lesdits confettis à l’intérieur et écouter. Il ne fallait pas décrire les beautés qu’il voyait, quand il rentrait, mais ce qu’il entendait d’intéressant, concernant certains mots clefs qu’il n’avait aucun mal à retenir. Et il fallait être discret, ne pas montrer qu’il n’était pas un citadin… Alors, il n’était qu’un fou dans le secteur C, disparaissant parfois comme seuls ceux qui n’ont pas d’endroit où vivre le faisaient.
Peut-être qu’il aurait eu plus de mal à s’adapter si Zia, une amie d’enfance - du moins, c’était ce qu’elle disait, lui ne s’en rappelait pas réellement, mais son aura rose était rassurante - n’avait pas décidé de le prendre en main et de l’aider, de palier ses déficits. Elle est son lien entre son monde et celui incompréhensible des autres...
L'histoire de ma vie
Muad’dib : C’est un papillon géant aux ailes arc-en-ciel et au corps semblable à une corps en sucre d’orge blanc et bleu auquel personne d’autre que Mourn ne semble prêter attention. Il est tout le temps avec le nomade, et celui-ci lui parle dès qu’ils sont seuls - il a appris qu’il ne doit pas lui parler quand il y a du monde.
Familier
Irulan : son scorpion, qu’il a depuis ses 15 ans. C’est bien la seule chose dont Mourn ne déforme pas l’apparence en le regardant. Sa carapace est d’un bleu nuit profond.
Familier
HRP
Dans la réalité je suis...
► Pseudo(s) fréquent(s): Alia
► Tu as quel âge? Un an de plus que pour Ed. Je suis vieille D:
► Tu nous as trouvé où ? DC
► Est-ce que c'est ta première inscription sur un forum RPG? Du coup, non.
► Comment tu trouves le forum? Toujours de la même manière
► T'as un autre compte? Lequel? Edward Frayer
► T'as pas un truc à nous dire hein? I’d love to be a tree ! Oh. *Q* Copain. *Q*' I'd love to be one of them too. *QQQQ*'
► Code du règlement: Chakramisé par la Lionne Rousse.
► Tu as quel âge? Un an de plus que pour Ed. Je suis vieille D:
► Tu nous as trouvé où ? DC
► Est-ce que c'est ta première inscription sur un forum RPG? Du coup, non.
► Comment tu trouves le forum? Toujours de la même manière
► T'as un autre compte? Lequel? Edward Frayer
► T'as pas un truc à nous dire hein? I’d love to be a tree ! Oh. *Q* Copain. *Q*' I'd love to be one of them too. *QQQQ*'
► Code du règlement: Chakramisé par la Lionne Rousse.
Code de Frosty Blue de Never Utopia