(EN COURS) Eliy'el Haël Eole Mu'Lander

Ouvrant doucement les yeux, je regarde autour de moi, ébloui par les rayons du soleil de midi. J’écoute un instant la nature m’entourant, avant de me redresser afin de me lever. J’étire mon corps encore endormi et endolori après cette courte sieste à même le sol, avant de m’avancer d’un pas léger et feutré, jusqu’aux limites de cette source d’eau. Mon reflet me fait face. Je parais grand. Je le suis. Du haut de mes un mètre quatre-vingt-un, mes longs cheveux fins d’un blond doré tombent jusqu’au milieu de mes bras, dont les mèches se trouvant près de mes tempes ont été délicatement tressées afin d’y être attachés à l’arrière de ma tête, par un fin filament vert qui m’est précieux. Mes traits fins, ma mâchoire légèrement marquée, et ma peau laiteuse, malgré les nombreuses heures à suivre le soleil, entourent mes yeux en amandes, d’un doux mélange entre la couleur du ciel et celle de la pierre, légèrement parsemés de tâches vertes. Mon corps, quant à lui, n’est ni trop musclé, ni trop maigre et, bien qu’il paraisse chétif au premier abord, a toute la souplesse dont j’ai besoin afin de pouvoir me déplacer agilement lors d’éventuels combats. L’attaque n’est pas mon domaine de prédilection, toutefois, s’il le faut, je peux très bien me débrouiller. Un pantalon ample marron d’un tissu chaud recouvre mes jambes avant d’être surplombé par une paire de botte en cuir marron foncé, montant jusqu’en dessous de mes genoux et possédant un fin laçage à l’arrière de chaque paire. Une tunique chaude d’un vert feuille aux arabesques plus foncées près de l’encolure, au bout des manches et vers le bas de celles-là, recouvre mon torse, sans toutefois cacher l’entièreté d’une de mes cicatrices partant du haut de mon épaule gauche jusqu’à mon flanc droit. Sur ma tunique se trouve une ceinture faite à partir d’un tissu marron, portant mes deux dagues dans leurs fourreaux respectifs, dagues précieuses qui ne m’ont jamais quitté. L’une se repose sur ma hanche droite et sa jumelle sur l’opposée. Habituellement, une longue et grande cape repose sur mes épaules cachant mon sac à bandoulière en cuir et mes armes, ne laissant aucun éventuel détail corporel passer la couche du vêtement, hormis ma taille, mais celle-là se trouve à la place que j’occupais précédemment. Je détourne mon regard, préférant poser mes orbes aux multiples couleurs sur la voûte bleutée se trouvant juste au-dessus de moi.

Accenderat super his incitatum propositum ad nocendum aliqua mulier vilis, quae ad palatium ut poposcerat intromissa insidias ei latenter obtendi prodiderat a militibus obscurissimis. quam Constantina exultans ut in tuto iam locata mariti salute muneratam vehiculoque inpositam per regiae ianuas emisit in publicum, ut his inlecebris alios quoque ad indicanda proliceret paria vel maiora.

Accenderat super his incitatum propositum ad nocendum aliqua mulier vilis, quae ad palatium ut poposcerat intromissa insidias ei latenter obtendi prodiderat a militibus obscurissimis. quam Constantina exultans ut in tuto iam locata mariti salute muneratam vehiculoque inpositam per regiae ianuas emisit in publicum, ut his inlecebris alios quoque ad indicanda proliceret paria vel maiora.