Norya Rahal
Citation choupinette ou credo du personnage
Yona || Akatsuki no Yona
"Mon nom est Norya (signifie : éclatante) Rahal et je suis une fille de 15 ans ans. Je suis hétéro et je suis actuellement la soeur de Hamdi éè Célibataire. Mon principal défaut est que je m'énerve facilement et ma qualité majeure est protectrice."
► Nomade ou Citadin? Favorie de la Gazelle
► Le Groupe: Exode
► Taille: 1m52
► Poids: 45kg
► Arme: Une paire de saï
► Famille: Mon frère Hamdi et mon père
► Date de Naissance: Un jour de grand soleil
► Emploi: Cheffe de Famille ?
Je suis penchée sur l’étendue d’eau qui constitue l’Oasis. Observant mon reflet, la chose la plus frappante c’est bien la couleur de mes cheveux. Auburn, je n’échappe pas à la rousseur de la famille Rahal. Je passe une main dans cette tignasse rouge que j’aime beaucoup avant de continuer à regarder mon visage. Je souris. Alors la nouvelle chose que je peux voir, ce sont mes douces lèvres qui se dessinent sur mon visage fin et léger. Si je monte un peu, je peux apercevoir un nez légèrement pointu. Contrairement à mon frère, j’ai les yeux plus proches du bleu magenta que du vert. Ils sont très expressifs, surtout quand je suis dans une émotion forte. Ils ne mentent jamais, et les gens me dévisagent souvent quand ils ne me connaissent pas. Il faut dire, que la couleur bleuté violette est rare pour des pupilles humaines.
Globalement, je ne suis pas très grande. Je suis même très petite. Je peux ainsi facilement me fondre dans la masse. Déjà pour passer inaperçue, mais aussi pour savoir quand mon grand frère rentre de ses voyages. Je suis assez bruyante mais quand il est question d’être discrète, je sais me faire très petite. Je cache mes cheveux dans les tissus qui composent mes habits et pars en quête de trouver ce que je cherche.
D’un revers d’une main fine, je brouille l’eau, éclaboussant mes vêtements et mon visage. Un peu plus légers que ceux de Hamdi, ces derniers sont tout aussi confortables. Parfois de couleur rosée, ils sont souvent marrons ou couleur sable. J’aime beaucoup, le contraste des couleurs terre avec le rouge flamboyant de ma chevelure. Ils cachent une peau blanche, satinée. D’une douceur de bébé. Moins de poches, j’ai aussi moins de babioles que mon grand frère. Je ne comprends pas toujours pourquoi il garde tout cela d’ailleurs. Mais bon.. Le cliquetis de ses pas me facilite la tache pour le retrouver… Moi, je ne garde que ma paire de Saï et ma gourde mais je ne me sers que rarement de mes armes. Ils sont surtout là par prudence surtout avec les pilleurs ou les adorateurs du Scorpion qui traînent souvent dans le désert d’Agartha.
Globalement, je ne suis pas très grande. Je suis même très petite. Je peux ainsi facilement me fondre dans la masse. Déjà pour passer inaperçue, mais aussi pour savoir quand mon grand frère rentre de ses voyages. Je suis assez bruyante mais quand il est question d’être discrète, je sais me faire très petite. Je cache mes cheveux dans les tissus qui composent mes habits et pars en quête de trouver ce que je cherche.
D’un revers d’une main fine, je brouille l’eau, éclaboussant mes vêtements et mon visage. Un peu plus légers que ceux de Hamdi, ces derniers sont tout aussi confortables. Parfois de couleur rosée, ils sont souvent marrons ou couleur sable. J’aime beaucoup, le contraste des couleurs terre avec le rouge flamboyant de ma chevelure. Ils cachent une peau blanche, satinée. D’une douceur de bébé. Moins de poches, j’ai aussi moins de babioles que mon grand frère. Je ne comprends pas toujours pourquoi il garde tout cela d’ailleurs. Mais bon.. Le cliquetis de ses pas me facilite la tache pour le retrouver… Moi, je ne garde que ma paire de Saï et ma gourde mais je ne me sers que rarement de mes armes. Ils sont surtout là par prudence surtout avec les pilleurs ou les adorateurs du Scorpion qui traînent souvent dans le désert d’Agartha.
Je quitte le bort de l’eau et reviens sur mes pas. Au loin, je vois Kalil et Hamdi. Je rigole en voyant le jeune renard de mon frère lui courir autour alors qu’il porte l’eau . Je lui ai demandé d’alle en chercher. Mais je reste dans les parages. Si je ne le surveille pas, après il vagabonde, et quelquefois, je ne sais pas comment il fait, mais il arrive à manger le sable. Et il en tombe l’eau ! Alala… J’aime le sable moi aussi ! Mais de là à le manger ? Il est un peu maladroit, je dois bien le surveiller. Je le gronde souvent. Mais c’est par ce que je l’aime et que je ne veux pas le perdre. Il ne faut pas croire que je le fais par méchanceté. Et je le fais avec tout le monde. Je n’ai pas ma langue dans ma poche et j’ose dire aux gens que ce qu’ils font ce n’est pas bien. Ce qui a pour effet de faire monter l’hilarité dans tout le camp par ce que j’ai une voix mélodieuse qui porte loin comme dirait papa. Mais que voulez-vous… C’est dans ma nature d’être autoritaire. Et surtout très protectrice. Je dois tenir ça de papa.. Que je surveille aussi d’ailleurs. Je n’ai pas envie qu’ils fassent des choses dangereuses qui pourraient me les retirer violemment. Je suis toujours là, à regarder ce qu’ils font . ‘fin pas toujours hein :
Quand mon frère revient de ses expéditions, je suis à la fois la première à l’engueuler d’être parti aussi longtemps. Et la plus contente. Car, nous avons instauré un jeu de cache-cache quand il revient. Il est assez rare que je ne le trouve pas. Et puis.. Je suis aussi la plus curieuse de savoir ce qu’il a vu, entendu, trouver. J’écoute ses récits avec une curiosité dévorante, une gourmandise avide. J’aime écouter sa voix d’une oreille attentive. Bercer par le doux cliquetis de ses babioles quand il fait des gestes pour illustrer ses paroles. J’aime me perdre dans ses yeux pétillants alors qu’il raconte, des étoiles dans le regard.
Bon après, qu’ont se le dise, je ne tiens pas en place. Je suis une pille électrique et j’aime bouger. J’adore courir, et être partout. Je ne supporte pas être sans gestes, sauf quand c’est pour jouer à l’apprentie espionne. Notamment pour découvrir où ce cache mon frère, s’il va bientôt rentrer, si les gens l’ont vu… Et quand commence la partie de cache-cache je suis la plus heureuse. J’aime le chercher. Je suis toujours contente de le retrouver, mais je me cache bien de lui montrer, préférant lui reprocher d’être parti comme ça.
Je suis quelqu’un de joyeux et de très émotive. Je laisse mes émotions sortir avec une grande anarchie. Mais, ça doit être mon joli minois, qui fait que les gens ne m’en veulent pas. Et qui, au contraire, mes sautes d’humeur est apprécié. Surtout mes colères contre mon frère qui font rire la plus grande partie du camp. Je ris beaucoup. Je reste une enfant, et malgré mon sens des responsabilités, je suis comme tous les enfants du désert. J’aime l’aventure, j’aime jouer, j’aime rêver…
Quand mon frère revient de ses expéditions, je suis à la fois la première à l’engueuler d’être parti aussi longtemps. Et la plus contente. Car, nous avons instauré un jeu de cache-cache quand il revient. Il est assez rare que je ne le trouve pas. Et puis.. Je suis aussi la plus curieuse de savoir ce qu’il a vu, entendu, trouver. J’écoute ses récits avec une curiosité dévorante, une gourmandise avide. J’aime écouter sa voix d’une oreille attentive. Bercer par le doux cliquetis de ses babioles quand il fait des gestes pour illustrer ses paroles. J’aime me perdre dans ses yeux pétillants alors qu’il raconte, des étoiles dans le regard.
Bon après, qu’ont se le dise, je ne tiens pas en place. Je suis une pille électrique et j’aime bouger. J’adore courir, et être partout. Je ne supporte pas être sans gestes, sauf quand c’est pour jouer à l’apprentie espionne. Notamment pour découvrir où ce cache mon frère, s’il va bientôt rentrer, si les gens l’ont vu… Et quand commence la partie de cache-cache je suis la plus heureuse. J’aime le chercher. Je suis toujours contente de le retrouver, mais je me cache bien de lui montrer, préférant lui reprocher d’être parti comme ça.
Je suis quelqu’un de joyeux et de très émotive. Je laisse mes émotions sortir avec une grande anarchie. Mais, ça doit être mon joli minois, qui fait que les gens ne m’en veulent pas. Et qui, au contraire, mes sautes d’humeur est apprécié. Surtout mes colères contre mon frère qui font rire la plus grande partie du camp. Je ris beaucoup. Je reste une enfant, et malgré mon sens des responsabilités, je suis comme tous les enfants du désert. J’aime l’aventure, j’aime jouer, j’aime rêver…
Ce qui se passe dans ma tête
Il y a très peu de chose que je sais sur ma naissance. Mais ce que je sais, c’est mon frère qui me l’a raconté. Je suis née lors de soleil magnifique. Le ciel était bleu comme de la soie. Doux et plaisant à regarder. Et le soleil brillait comme une boule d’or au-dessus de la maison. C’est l’une des raisons pour laquelle j’ai reçu mon premier prénom. « Éclatante » comme le Soleil de ma naissance. Les oiseaux chantaient, et la vie était calme. Il m’a dit que maman s'était battue comme une lionne pour que je puisse respirer et voir cette lumière dorée. Quand je suis sortie du ventre de maman, elle était si fatiguée qu’elle s’est endormie pour rejoindre Mû, sous la forme magnifique d’une Gazelle. Bon, il ne me l’a pas dit comme ça, mais j’aime beaucoup cette idée ! J’aime imaginer maman sous la forme d’une Gazelle magnifique, à courir au milieu des prairies de sable, d’un endroit lointain. Papa a dit ensuite que mon premier cri fut tellement mélodieux qu’il savait que j’allais être une battante comme sa tendre femme. Il n’y a pas de doute que les deux premiers hommes de ma vie allaient prendre soin de moi…
C’est mon grand frère qui s’occupa le plus de moi. Je criais déjà quand il partait sans me prendre contre lui, et je gazouillais quand ses yeux verts croisaient les miens. Mes petits bras en l’air, un sourire, et j’avais gagné. Je me retrouvais dans ses bras et je jouais à tirer les quelques mèches rousses qui glissaient hors de ses tissus sur la tête. Déjà, il paraît que la curiosité me démangeait. Quand j’u l’âge d’attraper des objets, j’avais toujours mes mains dans les poches de mon grand frère pour chercher les trésors qui s’y trouvaient. C’était marrant ! Parce qu'il y avait beaucoup de choses à découvrir !
Puis, j’ai commencé à tenir sur mes deux jambes. Au début, je les faisais rire par ce que je tombais toujours sur les fesses ! Mais petit à petit j’arrivais à aller de l’un à l’autre sans tomber. Et quand leurs éclats de joie se faisaient entendre, je les suivais sans trop comprendre pourquoi, dans leurs chants heureux. J’ai ensuite commencé à courir partout, en criant dans tous les sens. Sautant dans les bras de papa, dans ceux d’Hamdi, qui, en fonction de ce qu’ils avaient à faire, m’amenaient me faire découvrir le monde. Toujours avec des billes à la place des yeux, je regardais partout, m’émerveillais devant le vol d’un oiseau, explosais de rire en regardant Hamdi faire des gestes joyeux et c’est tout sourire que je m’endormais dans les bras de l’un deux, souvent de mon frère, après une journée bien chargée en nouveauté.
Quand mes longs monologues de bébé constituaient de ah ! oh ! et de gazouillis tous plus mignons que les autres se transformèrent en des mots, le sourire de papa en fut resplendissant. Car c’est lui que j’ai appelé en premier. « Papa ». Tout était papa. Hamdi était papa, mon repas était papa, la voisine était papa.. Je savais dire que ça, et je ne me cachais pas de le montrer, fière de moi ! « Hamdi » fut plus dur. Quand pour la première fois je dis « Ham, j’étais aussi très fière et j’étais toujours à l’appeler. Je voulais qu’il reste avec moi !
J’ai grandi. Maintenant, je parle comme il faut et je sais me faire entendre. Mais des choses ne changent pas, et ne changeront jamais. Je suivais mon frère partout, lui posant mille et une questions. « Hamdi ! Pourquoi le ciel est-il bleu ? » « Hamdi ! Pourquoi le soleil est-il chaud ? » « Hamdi ! Comment on fait pour faire des colliers ? » « Hamdi ! Est-ce que l'on peut voler comme les oiseaux ? »Il riait à chacune de mes questions, me donnant toujours une réponse jolie. Puis, j’ai commencé à demander des choses. Et comme il me donnait toujours ce que je voulais, c’est rester. Maintenant, j’ai 10 ans, et je suis une grande fille. Mais ce fut un bien pour un mal. Âgé de 15 ans, mon frère commença à faire des voyages. De plus en plus long. Partant quelquefois plusieurs semaines ! Quand il n’est pas là, je pars jouer dans le sable. Je ne m’ennuie jamais, même si mon frère me manque.
J’ai 12 ans quand il reçoit son deuxième prénom. Je trouve qu’il lui va bien, et je suis contente. Car c’est en effet un grand protecteur. Si seulement il se protègeait lui-même… À ses retours de voyage, il arrive sur la pointe des pieds par ce qu’il sait que je vais le gronder. J’aime beaucoup ce jeu ! Puis, quand enfin je le trouve, au lieu de lui fait un câlin, je lui exprime mon mécontentement d’une voix forte qui fait rire tout le camp. Puis qui nous fait rire à la suite, par ce que, ne se cachons rien, c’est rigolo !
Pas longtemps après son passage à l’âge adulte, nous nous sommes tous réunis, pour prier Mû. Je n’ai pas trop bien compris pourquoi, mais nous nous sommes retrouvés dans un sommeil long. Très long. Vraiment beaucoup long. Quand nous nous sommes réveillés, je n’ai pas compris pourquoi ce long dodo. Je fis part de mes questions à mon grand frère qui me répondit avec un grand sérieux, que c’était à cause des Guerres. Je ne savais pas ce que c’était, mais je savais que ce n’était pas bien.
Mais ce long sommeil ne changea pas Hamdi. Après quelques mois à rester avec nous, il se laissa rappeler par le désert. Le regardant partir en soupirant, je ne pouvais pas faire autre chose que le laisser, même si je voulais le voir rester. Je retourne donc à mes occupations personnelles, surveillant mon père, grondant les gens qui font des choses pas bien. Et comme à mon habitude, au retour de. Hamdi, je jouais à cache-cache, hurlant son prénom complet. Et si des gens ignorés son retour, ils le savaient très vite. Mais une fois, une boule de poils sauta dans les tissus de mon frère, effrayé par mon hurlement. Le rire d’Hamdi en fut tellement cristallin, que j’ai ri avec lui. Puis une petite tête pointa le bout de son nez. Sinan me présente alors son nouveau compagnon de voyage. Au moins, il n’est plus seul quand il part. Mais la seule chose que je lui dis en le regardant, c’est d’aller chercher de l’eau. Et je le suis au bord de l’Oasis, regardant mon reflet dans l’eau, brouillant d’une main fine la surface de cette dernière…
C’est mon grand frère qui s’occupa le plus de moi. Je criais déjà quand il partait sans me prendre contre lui, et je gazouillais quand ses yeux verts croisaient les miens. Mes petits bras en l’air, un sourire, et j’avais gagné. Je me retrouvais dans ses bras et je jouais à tirer les quelques mèches rousses qui glissaient hors de ses tissus sur la tête. Déjà, il paraît que la curiosité me démangeait. Quand j’u l’âge d’attraper des objets, j’avais toujours mes mains dans les poches de mon grand frère pour chercher les trésors qui s’y trouvaient. C’était marrant ! Parce qu'il y avait beaucoup de choses à découvrir !
Puis, j’ai commencé à tenir sur mes deux jambes. Au début, je les faisais rire par ce que je tombais toujours sur les fesses ! Mais petit à petit j’arrivais à aller de l’un à l’autre sans tomber. Et quand leurs éclats de joie se faisaient entendre, je les suivais sans trop comprendre pourquoi, dans leurs chants heureux. J’ai ensuite commencé à courir partout, en criant dans tous les sens. Sautant dans les bras de papa, dans ceux d’Hamdi, qui, en fonction de ce qu’ils avaient à faire, m’amenaient me faire découvrir le monde. Toujours avec des billes à la place des yeux, je regardais partout, m’émerveillais devant le vol d’un oiseau, explosais de rire en regardant Hamdi faire des gestes joyeux et c’est tout sourire que je m’endormais dans les bras de l’un deux, souvent de mon frère, après une journée bien chargée en nouveauté.
Quand mes longs monologues de bébé constituaient de ah ! oh ! et de gazouillis tous plus mignons que les autres se transformèrent en des mots, le sourire de papa en fut resplendissant. Car c’est lui que j’ai appelé en premier. « Papa ». Tout était papa. Hamdi était papa, mon repas était papa, la voisine était papa.. Je savais dire que ça, et je ne me cachais pas de le montrer, fière de moi ! « Hamdi » fut plus dur. Quand pour la première fois je dis « Ham, j’étais aussi très fière et j’étais toujours à l’appeler. Je voulais qu’il reste avec moi !
J’ai grandi. Maintenant, je parle comme il faut et je sais me faire entendre. Mais des choses ne changent pas, et ne changeront jamais. Je suivais mon frère partout, lui posant mille et une questions. « Hamdi ! Pourquoi le ciel est-il bleu ? » « Hamdi ! Pourquoi le soleil est-il chaud ? » « Hamdi ! Comment on fait pour faire des colliers ? » « Hamdi ! Est-ce que l'on peut voler comme les oiseaux ? »Il riait à chacune de mes questions, me donnant toujours une réponse jolie. Puis, j’ai commencé à demander des choses. Et comme il me donnait toujours ce que je voulais, c’est rester. Maintenant, j’ai 10 ans, et je suis une grande fille. Mais ce fut un bien pour un mal. Âgé de 15 ans, mon frère commença à faire des voyages. De plus en plus long. Partant quelquefois plusieurs semaines ! Quand il n’est pas là, je pars jouer dans le sable. Je ne m’ennuie jamais, même si mon frère me manque.
J’ai 12 ans quand il reçoit son deuxième prénom. Je trouve qu’il lui va bien, et je suis contente. Car c’est en effet un grand protecteur. Si seulement il se protègeait lui-même… À ses retours de voyage, il arrive sur la pointe des pieds par ce qu’il sait que je vais le gronder. J’aime beaucoup ce jeu ! Puis, quand enfin je le trouve, au lieu de lui fait un câlin, je lui exprime mon mécontentement d’une voix forte qui fait rire tout le camp. Puis qui nous fait rire à la suite, par ce que, ne se cachons rien, c’est rigolo !
Pas longtemps après son passage à l’âge adulte, nous nous sommes tous réunis, pour prier Mû. Je n’ai pas trop bien compris pourquoi, mais nous nous sommes retrouvés dans un sommeil long. Très long. Vraiment beaucoup long. Quand nous nous sommes réveillés, je n’ai pas compris pourquoi ce long dodo. Je fis part de mes questions à mon grand frère qui me répondit avec un grand sérieux, que c’était à cause des Guerres. Je ne savais pas ce que c’était, mais je savais que ce n’était pas bien.
Mais ce long sommeil ne changea pas Hamdi. Après quelques mois à rester avec nous, il se laissa rappeler par le désert. Le regardant partir en soupirant, je ne pouvais pas faire autre chose que le laisser, même si je voulais le voir rester. Je retourne donc à mes occupations personnelles, surveillant mon père, grondant les gens qui font des choses pas bien. Et comme à mon habitude, au retour de. Hamdi, je jouais à cache-cache, hurlant son prénom complet. Et si des gens ignorés son retour, ils le savaient très vite. Mais une fois, une boule de poils sauta dans les tissus de mon frère, effrayé par mon hurlement. Le rire d’Hamdi en fut tellement cristallin, que j’ai ri avec lui. Puis une petite tête pointa le bout de son nez. Sinan me présente alors son nouveau compagnon de voyage. Au moins, il n’est plus seul quand il part. Mais la seule chose que je lui dis en le regardant, c’est d’aller chercher de l’eau. Et je le suis au bord de l’Oasis, regardant mon reflet dans l’eau, brouillant d’une main fine la surface de cette dernière…
L'histoire de ma vie
HRP
Dans la réalité je suis...
► Pseudo(s) fréquent(s): Ilyria ! et d'autres..
► Tu as quel âge? 21 ans maintenant (Mais j'ai oublier de grandir, je suis encore à 5 !)
► Tu nous as trouvé où ? EUH... Derrière un grain de sable ! Il y a combien de temps ? Deux ans ? 14/12/2014-2015-2016-2017... Bientôt trois ans......
► Est-ce que c'est ta première inscription sur un forum RPG? TOUTAFÉ ! Regarde la réponse au dessus ma/mon chou à la crème de marshmallow
► Comment tu trouves le forum?
► T'as pas un truc à nous dire hein? Moi ? Non... Juste que je vous aime, que vous m'avez BEAUCOUUUUUUUUUUUUUUUUUUP manquée tous autant que vous êtes !
► Code du règlement:
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► Est-ce que c'est ta première inscription sur un forum RPG? TOUTAFÉ ! Regarde la réponse au dessus ma/mon chou à la crème de marshmallow
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- Ceci est une réponse:
- Tu veux savoir ?:
- Vraiment ?:
- Tu es curieux hein ?:
- Voilà ce que j'en pense ! vu que tu insistes autant !:
Quand je vous dis que je suis rester à 5 ans...
► T'as pas un truc à nous dire hein? Moi ? Non... Juste que je vous aime, que vous m'avez BEAUCOUUUUUUUUUUUUUUUUUUP manquée tous autant que vous êtes !
► Code du règlement:
- Merci Zéphyr ! bah quoi ? z'on dit de remercier Zéph...:
- MANGÉ AVEC AMOUR PAR MATT !
Code de Frosty Blue de Never Utopia
Dernière édition par Norya Rahal le Dim 16 Juil - 12:49, édité 5 fois